L'accouplement permet à la reine de remplir sa spermatèque, ce stock dans l'abdomen de 6 millions de spermatozoïdes provenant de mâles différents lui permet de pondre continuellement tout au long de sa vie et ainsi pérenniser sa ruche.
Elle ne s'accouple qu'une seule fois dans sa vie avec des mâles d'une autre colonie, au cours d'un vol nuptial. Ensuite, elle revient dans la ruche et peut pondre jusqu'à 1 500 œufs par jour en été. Elle est ainsi la mère des 20 000 à 50 000 abeilles ouvrières qui constituent la colonie !
La reine est fécondée en plein vol par les faux-bourdons.
Au bout de quelques jours, elle s'envole pour être fécondée : c'est le vol nuptial. La reine connaît plusieurs accouplements avec différents mâles, les faux-bourdons. Lorsque sa spermathèque est pleine, elle retourne dans la ruche, dont elle ne sortira plus.
Reproduction. Une nouvelle reine s'élance dans son vol nuptial 6 à 10 jours après sa naissance car elle a besoin d'une journée chaude et ensoleillée pour rejoindre une congrégation de faux bourdons. Elle va s'y accoupler avec plusieurs mâles (12 à 15), en plein vol, jusqu'à ce que sa spermathèque soit remplie.
Un faux bourdon (parfois appelé aussi abeillaud ou bourdon), est le mâle de l'abeille. Il est important de le distinguer du bourdon en tant que tel, un animal différent, du genre Bombus. Le faux bourdon est le produit de l'éclosion d'un œuf non fécondé.
La guêpe est plus agressive que l'abeille et peut piquer plusieurs fois à intervalles rapprochées. Son dard est rétractable et lisse, il ne s'accroche pas quand il pénètre dans la peau, il n'y a donc aucun risque de mort après la piqûre. Seule la femelle pique car son dard fait partie de son appareil de reproduction.
Première chose à savoir : toutes les abeilles ne piquent pas. Seules les abeilles femelles peuvent piquer. Les abeilles mâles, ou faux bourdons, n'ont pas de dard et ne peuvent donc pas piquer.
Le chant est le plus souvent émis par la première reine vierge éclose pour annoncer sa présence à la colonie. S'il y a d'autres cellules royales prêtes à éclore dans la ruche, les autres reines vierges – souvent empêchées d'éclore par les ouvrières – peuvent y répondre de l'intérieur de leur cellule.
Les abeilles ne voient pas dans le noir
Un filet de lumière pénètre dans la ruche par le trou d'envol et permet de voir un peu, mais c'est par ses autres sens très développés que l'abeille se repère dans la ruche. Les abeilles n'y voyant pas dans le noir, elles ne sortent pas de la ruche la nuit.
Essaimer, c'est le modèle naturel de reproduction des colonies : la reine, accompagnée des butineuses (l'essaim) quitte la ruche pour reconstruire un nouvel habitat ailleurs. C'est un processus bénéfique qui permet la régénération et la multiplication de leur population.
Le déclenchement de l'attaque collective
Les ouvrières veillent sur leur colonie en harcelant et piquant celui qui est repéré comme une menace (un animal, un être humain). L'attaque collective est déclenchée par les phéromones libérées par l'abeille « lanceuse d'alerte » (celle qui a la première repéré le danger).
La pupe et l'imago
Une fois adulte, il sort de l'alvéole et bat des ailes.
Nous pouvons aborder la problématique différement : si je met une reine dans un nucléi, elle se retrouve très rappiddement limité par le manque de place : toutes les cellules sont remplies, la reine ne peut donc plus pondre. On parle d'un blocage de ponte.
Les insectes peuvent tordre leur sexe pour l'accouplement
Pour éviter d'être à l'envers et d'être traîné par la femelle, certains mâles-mouches subissent des torsion génitales : entre 90º 180º avant ou pendant les rapports sexuels, pour quelques espèces, il existe des torsions à 360 degrés .
Rôle du mâle chez les guêpes
Leur principale fonction est de fertiliser les reines. Une fois que les reines ont été fertilisées, elles passent le reste de leur vie à pondre des œufs. Les mâles meurent après avoir accompli cette tâche et ne vivent généralement pas assez longtemps pour voir le fruits de leur travail.
La reine (abeille femelle fertile)
Seul individu fertile de la ruche, la reine est capable de pondre jusqu'à 2000 œufs par jour. Par la diffusion de signaux olfactifs (phéromones), elle "dirige" le travail des ouvrières. Une reine de bonne qualité est donc essentielle pour avoir des colonies fortes et productives.
L'abeille ne perçoit pas non plus le même spectre de couleur que les hommes. Elles voient du vert à l'ultraviolet en passant par le bleu, soit entre 300 et 500 nanomètres, alors que l'homme perçoit du bleu-violet au rouge, soit de 400 à 800 nanomètres. Les ouvrières ne voient donc pas le jaune, ni le rouge.
La phase de sommeil se caractérise chez l'abeille par une inclinaison de la tête et un relâchement musculaire ainsi qu'un repli des antennes contre la tête. Elle demeure immobile et s'accroche aux rayons la tête positionnée en haut.
Pourquoi le blanc ? Outre l'aspect esthétique indéniable ?, il y a une véritable raison sécuritaire à la couleur blanche. Le blanc est considéré comme apaisant pour les abeilles. Les couleurs sombres quant à elles semblent être assimilées aux prédateurs ou aux trous naturels où elles peuvent s'engouffrer.
Au centre de la ruche on enlèvera deux cadres bâtis pour y insérer deux cadres gaufrés. On laissera néanmoins un cadre bâti entre les deux. La reine viendra pondre immédiatement sur les deux nouveaux cadres. L'apiculteur devra alors enlever la reine pour que la colonie devienne orpheline.
La reine se trouve très souvent dans des rayons ouverts, à jeune couvain, c'est-à-dire avec œufs et jeunes larves. Examinez d'abord attentivement chaque cadre, l'un après l'autre. Il peut s'avérer très utile, après examen, de suspendre les cadres dans le porte-cadres ou dans le corps de ruche vide préparé à cet effet.
Appelée également mère, la reine des abeilles est la seule abeille féconde de la colonie. Elle est unique et son rôle est de pondre des œufs femelles pour assurer la relève : elle peut en pondre environ 2 500 œufs en 24 heures.
pour éviter d'être attaqué Les apiculteurs passent la plupart de leur temps avec les abeilles, ils ne sont donc pas à l'abri des piqûres. Les abeilles ne sont pas des insectes agressifs mais si elles se sentent menacées, utiliser leur dard est leur meilleur moyen de défense.
Leur communication repose sur des échanges tactiles. Par exemple, les abeilles se touchent les antennes pour transmettre des informations. Elles utilisent aussi des messagers chimiques que l'on appelle les phéromones.
Après la période de fécondation et dès que le nectar et le pollen commencent à se faire rare, les mâles sont chassés de la ruche. Et si certains font de la résistance pour continuer à manger “gratis” au frais de la reine, les abeilles ouvrières n'hésitent pas à les piquer pour les tuer.