Malgré tout le verre, au contact des rayons UV s'abime et devient un polluant, il prend des années avant d'être broyé et de se mêler au sable des plages. Les débris tranchants sont très dangereux pour la faune océanique.
L'utilisation du verre dans nos emballages, malgré sa possibilité d'être recyclé, s'avère donc une source de pollution.
Les déchets en mer sont de nature et de taille très diverses : mégots, cotons-tiges, filets et équipements de pêche, bourres de chasse, biomédias, ballons de baudruche, etc. Parmi eux, les déchets plastiques (emballages, sacs, granulés industriels …) sont de loin les plus répandus dans l'environnement marin.
Pékin – La Chine et l'Indonésie sont responsables de plus d'un tiers des débris plastiques dans l'océan, révèle une récente étude menée par une équipe de chercheurs américano-australienne après avoir procédé à une analyse des déchets plastiques dans les océans.
Comme nous avons pu le voir, le verre pose également un problème environnemental, mais il reste tout de même la solution la plus écologique et la plus respectueuse de la santé. En effet, le verre est recyclable à l'infini sans jamais perdre de sa qualité et son taux de recyclage est supérieur à celui du plastique.
En effet, le verre est un matériau qui nécessite des précautions et donc un coût supplémentaire lors de son transport et de son installation. L'autre inconvénient du verre est sa tendance à s'user sur les surfaces régulièrement utilisées, comme le plan de travail ou la table. Ce matériau est sujet aux micro rayures.
L'essentiel des émissions de gaz à effet de serre est généré par le processus de fabrication ». Chaque tonne de verre émet 510 kg de CO2, une quantité qui tombe à moins de 360 kg lorsqu'il est issu de verre recyclé, détaille-t-elle.
Les Îles Vierges des États-Unis, un ensemble d'îles et d'îlots posés sur la mer des Caraïbes (4,5 µg/m³), et Porto Rico complètent le podium (4,8 µg/m³).
La Méditerranée détient le triste record d'être à ce jour la mer la plus polluée au monde avec plus de 600 000 tonnes de plastique qui y sont rejetées chaque année.
Arrêter le plastique à usage unique. Sacs plastiques, cotons tiges, pailles, bouteilles d'eau en plastique, sont ultra polluants car non biodégradables. Remplacez-les par des alternatives durables (sacs en tissus, des pailles en inox, des cotons tiges réutilisables) et dites non au tout jetable. Nettoyer les plages.
Ainsi, en 2020, la Chine arrive en tête d'un tel classement avec des émissions de CO2 représentant 9 899 millions de tonnes, soit plus de 30 % des émissions mondiales. Les États-Unis sont à la deuxième place avec 4 457 millions de tonnes de CO2 émis (13,8 % du total mondial).
Mais qui sont les plus gros pourvoyeurs de déchets plastiques ? Avec une population nombreuse (102 millions d'habitants) vivant majoritairement au bord de l'eau et un taux de déchets mal gérés qui atteint 95 %, l'Égypte contribue massivement à cette pollution (environ 75.000 tonnes par, soit près d'un tiers du total).
Les sacs à usage unique, les bouteilles, les contenants et les emballages alimentaires sont les quatre articles les plus répandus qui polluent les mers. En tout, 10 objets représentent les 3/4 des déchets plastiques retrouvés et sont – sans surprise – des objets de notre consommation quotidienne.
Le chanvre
Le chanvre est la matière naturelle la plus écologique sur le marché du textile. Elle ne pollue ni lors de sa culture, ni lors de sa transformation en tissu. Comme une mauvaise herbe, le chanvre ne nécessite pas d'irrigation, il résiste aux insectes et aux maladies et se développe très rapidement.
Le GPL et le GNV, les nouvelles alternatives écologiques
Le GPL ou Gaz de Pétrole Liquéfié et le GNV, Gaz Naturel Véhicule, sont des carburants qui rejettent très peu d'oxyde d'azote et pas de particules polluantes. Ils ne produisent que très peu de produits polluants.
Le vélo ne pollue pas, et, en ville, il permet de se déplacer plus vite qu'en voiture sur une distance de moins de cinq kilomètres. Un voyage en avion ruine tous les efforts que vous accomplissez par ailleurs pour vivre de façon écologique.
Le golfe de Guinée: la mer «la plus dangereuse du monde»
Cette année encore, la ville de Berck-sur-Mer s'est vue décerner le titre de Pavillon Bleu. Cette distinction récompense les actions mises en place par la commune pour préserver l'environnement marin.
Les pays ayant à gérer un petit nombre de sites peuvent être avantagés, c'est le cas de la Slovénie et de ses quelques kilomètres de côte adriatique dont la totalité des zones de baignade sont de qualité excellente.
Tenant la première position du classement des pays les plus propres au monde, la Suisse affiche une excellente note de 95,5. Réputée pour ses forêts, ses montagnes abritant une faune et flore variée et riche, la Suisse veille à maintenir une propreté impeccable. La propreté est une véritable culture en Suisse.
« Les dépôts naturels constitutifs de la laisse de mer (algues, cailloux, coquillages, bois flottés etc.) ne doivent pas être ramassés. Ils font partie intégrante du système littoral et participent à la lutte contre l'érosion, à la reproduction d'un certain nombre d'espèces et à leur nutrition.
La mer Morte ne contient pas moins de 27,5 % de sel. Un chiffre presque incroyable lorsqu'on le compare au taux de salinité moyen des autres mers et océans de notre planète qui oscille entre 2 et 4 %.
– au niveau environnemental les bénéfices sont multiples : économie de matières premières (sable, calcaire), d'eau, d'énergie, limitation de l'impact sur l'effet de serre, – le verre est recyclable à 100% et à l'infini. C'est un matériau idéal !
Le verre nait du verre, recyclons-le ! Evidemment, tous les verres ne sont pas recyclables. Sachez que seuls les verres d'emballage peuvent être recyclés, c'est-à-dire les bouteilles, pots, bocaux, et flacon (verre sodo-calcique majoritairement).
Il est pur et imperméable. Le verre est facile à nettoyer, à stériliser et à réutiliser. Le verre est le seul matériau en contact avec des denrées alimentaires que la U.S. Food and Drug Administration considère comme généralement sûr.