Les données du problème sont les suivantes : Mars a des journées un peu plus longues que la Terre puisqu'elle tourne sur son axe en environ 24 heures 39 minutes (2,75% plus lentement que la Terre); elle a aussi des années plus longues puisqu'on y compte environ 668,59 jours martiens (qu'on appelle « sol »), ce qui fait ...
Les astronautes vieillissent lentement à l'espace parce que l'on s'y déplace très vite. Rien de mieux que l'espace pour voyager à de très grandes vitesses et conserver plus longtemps sa jeunesse.
Cependant à 20 000 km d'altitude, ils ne subissent que le quart de l'attraction gravitationnelle terrestre ce qui au contraire accélère leur vieillissement et augmente leurs journées de 45 microsecondes. La différence totale entre une journée sur Terre et une journée à bord du satellite est de 38 microsecondes !
Plus généralement, les ingénieurs craignent que le temps ne joue pas en leur faveur. Il faudra un à deux ans pour que le MAV produise son carburant. L'équipage humain fera ensuite un voyage de 200 à 350 jours vers Mars, suivi d'une exploration de la planète rouge d'une durée pouvant aller jusqu'à 500 jours.
Le voyage Terre-Mars pourrait utiliser un système de propulsion plasma capable d'atteindre en théorie une vitesse de 198 000 km/h.
Le premier atterrissage est réussi en 1971 par la sonde soviétique Mars 3, mais ce sont les deux engins américains Viking qui parviennent à déposer en 1976 sur le sol martien une charge utile scientifique significative.
Mars est aujourd'hui un monde désolé, balayé par les tempêtes de poussières, et plus aride que les déserts terrestres. Les températures moyennes, bien inférieures à 0°Celsius, et la faible pression atmosphérique, 6 hectopascals en moyenne, interdisent la présence d'eau liquide à sa surface.
Vénus et Mercure
Quelques engins spatiaux ont visité Vénus, la planète la plus proche de la Terre. Autrefois, Vénus était considérée comme la jumelle de la Terre en raison de sa taille similaire. Mais cela a changé quand nous l'avons visitée. En 1962, Vénéra 1 a été le premier engin spatial à survoler une planète.
Pourquoi l'atmosphère a disparu
Si la pression n'est pas assez forte, c'est tout simplement à cause de l'érosion de l'atmosphère consécutive à la disparition du champ magnétique de Mars. Ce dernier est censé protéger la planète des particules émises par le soleil.
La durée du voyage depuis la Terre est de l'ordre d'une décennie et demie avec la technologie actuelle. L'énergie constitue un autre problème majeur, le flux solaire représente au maximum 0,11 % de ce qui est disponible sur Terre, l'énergie nucléaire reste donc la seule option actuellement envisageable.
L'eau ne peut pas s'envoler de la planète ; la molécule d'eau est trop lourde pour échapper à la gravité de la planète.
Une autre caractéristique est l'effet d'entraînement sur l'espace-temps. En effet, l'influence du trou noir sur la géométrie de l'espace-temps est très forte. La rotation de l'astre doit se répercuter sur cette géométrie, donc également sur le mouvement des corps passant à proximité.
« La vitesse de la lumière, c'est en fait la vitesse de propagation de l'énergie, quelle que soit cette forme d'énergie. » Nos connaissances actuelles ne permettent à aucun objet de se déplacer plus vite que 300 000 kilomètres par seconde.
Et concernant le vieillissement, Libération précise que les artères sont également touchées puisqu'après six mois en microgravité les astronautes "ont vieilli l'équivalent de vingt à trente ans de vie terrestre". L'absence de gravité se répercute également sur les muscles et le squelette des astronautes.
Selon lui, ce ressenti de passage accéléré du temps serait en fait lié au vieillissement de notre cerveau. Cette première explication est donc d'ordre cérébral : avec l'âge, les réseaux de nerfs et de neurones du cerveau grandissent et se complexifient. L'information y circule de plus en plus lentement.
Plus long vol spatial habité
Valeri Polyakov, parti le 8 janvier 1994 (Soyouz TM-18), resté sur Mir LD-4 pendant 437,7 jours, durant lesquels il a effectué 7 075 révolutions autour de la Terre et parcouru 300 765 000 km (186 887 000 miles, soit plus de 2 UA). Atterrissage le 22 mars 1995 (Soyouz TM-20).
La Lune possède assez d'oxygène pour permettre à 8 milliards de personnes de respirer pendant 100.000 ans.
Les cyanobactéries transforment le dioxyde de carbone en oxygène et pourraient donc permettre aux humains de respirer librement sur la Planète Rouge. Les scientifiques ont trouvé la solution pour que les humains puissent respirer sur Mars. L'atmosphère de la Planète Rouge est composé à 96% de dioxyde de carbone !
De plus, Mars est aride (dénuée d'eau sous forme liquide) et plus éloignée du Soleil. La combinaison de ces éléments explique pourquoi la planète rouge se révèle si froide.
Pour qu'une terre soit habitable, il faut que ses conditions de température et de pression soient optimales en surface pour posséder de l'eau à l'état liquide. L'eau a ce formidable avantage de faciliter les réactions chimiques.
Kepler-452 b
De fait, elle orbite autour d'une étoile semblable au Soleil à une distance de 1,046 unité astronomique en 384,8 jours. Les scientifiques croient que Kepler-452 b est âgée de six milliards d'années.
RÉVOLUTION - En utilisant une nouvelle méthode de calcul, des scientifiques ont découvert que notre plus proche voisine serait la planète Mercure, et non pas Vénus.
Selon les chercheurs de l'agence spatiale nord-américaine, le robot Curiosity aurait trouvé des roches dont la surface serait marquée par des ondulations liées à des vagues. Il s'agirait, à ce jour, de "la meilleure preuve" de l'existence d'un lac sur la planète rouge.
Au-delà de Mars, les planètes volumineuses que sont Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune sont moins bien connues : elles contiennent en profondeur de la vapeur d'eau et des nuages de glace d'eau, récemment identifiés sur Jupiter par la sonde Galileo. Il est également probable que leurs noyaux renferment de la glace.
Sur la Lune, l'eau provient de différentes sources. Une partie de cette eau a pu être déposée par les météorites entrées en collision avec sa surface et une autre provient probablement de la réaction de l'hydrogène du vent solaire avec l'oxygène de surface pour former un groupe hydroxyle.