Trop de sucre favorise trop souvent un passage vers un état pré diabétique.
Ingéré à de trop fortes doses, le sucre peut provoquer des « sudations prolongées et des tremblements intempestifs », qui viennent s'ajouter aux douleurs de ventre, explique le professeur américain Robynne Chutkan, médecin au service de gastro-entérologie de l'université de Georgetown à Washington.
La malabsorption du fructose - à ne pas confondre avec l'intolérance héréditaire au fructose, une maladie congénitale rare - peut elle aussi provoquer des troubles gastro-intestinaux. Ce sucre naturel est présent dans les fruits, le jus de fruits et le miel.
"Quand on mange du sucre, le pancréas secrète de l'insuline trop rapidement, et quand ce taux baisse on se retrouve en hypoglycémie et donc fatigué", précise la médecin nutritionniste.
Mieux vaut donc les consommer à distance des repas si vous êtes sujets aux ballonnements. À noter que l'alcool contient aussi du sucre et peut vous ballonner.
Ventre gonflé chez la femme enceinte
Ce phénomène apparaît souvent au cours du premier trimestre à cause de l'augmentation de production d'une hormone : la progestérone. Conséquence ? L'intestin est ralenti et les ballonnements surviennent. D'où certains problèmes digestifs, en particulier la constipation.
On met de côté les boissons gazeuses et on boit de l'eau en dehors des repas. Surtout pas à la paille car cette mauvaise habitude, comme le chewing-gum, fait ingérer plus d'air. Le thé vert a l'avantage de faciliter le transit, en plus d'avoir un effet détox non négligeable. Attention aux jus de fruits.
Un système immunitaire renforcé Le sucre contribue à l'inflammation chronique, ce qui réduit la capacité de notre système immunitaire à combattre le rhume et la grippe. En diminuant la consommation de sucre, vous renforcez les défenses de l'organisme et vous réduisez les symptômes d'allergie et d'asthme.
Le soir, le corps va stocker les graisses et même, transformer le sucre en gras au niveau du ventre, des hanches et des fesses. Logique, car il n'a pas besoin de beaucoup d'énergie pendant le sommeil.
Essayez autant que possible de résister à la tentation d'engloutir encore du sucre, qui ne fera qu'aggraver le problème, et buvez un grand verre d'eau. Puis préparez-vous un repas à base de protéines, quelques graisses et peu de glucides.
La consommation excessive de boissons gazeuses ou de chewing-gum dits "sans sucre" contenant du sorbitol favorise également la production de gaz. Un transit plus lent ou un épisode de constipation ont pour conséquence de prolonger la fermentation des aliments dans l'intestin et donc, génèrent plus de gaz.
Un excès de sucre sur deux jours seulement suffirait à aggraver une inflammation intestinale chez les personnes sujettes aux colites, selon une nouvelle étude publiée dans la revue Scientific Reports.
Le chocolat noir, un prébiotique
Lorsque vous mangez du chocolat noir, ils poussent et fermentent, produisant des composés anti-inflammatoires. Les autres bactéries dans l'intestin sont associées à une inflammation et peuvent provoquer des gaz, des ballonnements, de la diarrhée et de la constipation.
Le sucre favorise les inflammations, la perte de mémoire, la prise de poids, la fatigue chronique, les problèmes rénaux, les aigreurs d'estomac, les fermentations intestinales (ce qui affaiblit le système immunitaire), le stress, le diabète, les caries, la cataracte.
Avec les nouvelles recommandations de l'OMS consistant à consommer 25 g maximum de sucres ajoutés par jour, le but est de ne pas dépasser 5% de l'apport calorique quotidien.
Cette “hormone de la zénitude” est synthétisée en fin d'après-midi et en soirée, dans le but de ralentir l'organisme, de le relaxer : elle joue un rôle de frein et agit sur la satiété. En effet, la sérotonine modère notre appétit, nos envies de sucre. La sérotonine est l'hormone de la sérénité, de la prise de recul.
Un dérèglement hormonal en cause dans l'excès de graisse abdominale chez la femme. La situation hormonale détermine l'endroit du corps où les graisses seront stockées. Chez la femme, c'est l'insuline, le cortisol, les oestrogènes, la progestérone et la testostérone qui jouent un rôle dans la localisation des graisses.
En vieillissant, le métabolisme basal diminue. À partir de 30 ans, le métabolisme baisse de 2 à 3 % tous les 10 ans . Cette baisse joue sur la masse musculaire. Ainsi, si nous ne changeons pas nos habitudes alimentaires et notre activité physique, nous prenons du poids sous forme de graisse.
En effet, un ventre gonflé ou ballonné peut être le signe d'une pathologie sous-jacente comme le syndrome de l'intestin irritable, la maladie de Crohn et le cancer du côlon.
Objectif ventre plat après 50 ans : faites du sport
Faire du sport devient alors une option très intéressante pour garder un ventre plat : il n'y a pas de meilleure manière pour forcer votre organisme à brûler plus de calories. L'idéal pour garder la ligne étant bien sûr de muscler les abdominaux.
L'ascite se manifeste le plus souvent en présence d'un cancer de l'ovaire, de l'utérus, du col de l'utérus, colorectal, de l'estomac, du pancréas, du sein ou du foie. Un cancer qui se propage au foie peut aussi causer l'ascite.
La douche rectale : "se fait à la maison, a l'aide d'un bock ou poche à lavement qui consiste en l'introduction de 1 à 3 litres d'eau dans le côlon via une canule anale. Après 5-15 minutes, on va à la selle pour se vider par un effet mécanique" explique le naturopathe.