Consommer beaucoup d'alcool (de quatre à cinq consommations par jour pendant plusieurs années) entraîne un affaiblissement du muscle cardiaque. Cet affaiblissement devient encore plus important lorsqu'une personne consomme de l'alcool en quantité excessive.
Une consommation régulière d'importantes quantités d'alcool peut causer des modifications dans les tissus de l'oreillette du cœur, ce qui accentue le risque de fibrillation, dont les principaux signes sont des battements rapides, inconfortables et accélérés.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Le vin rouge permettrait donc un plus grand flux dans les artères et les vaisseaux sanguins sans en modifier les capacités coagulantes. Ces bienfaits ont aussi été observés chez les buveurs de bière et de vin blanc, mais dans une moindre mesure. Le whisky et l'eau n'ont provoqué aucune modification.
Parmi les alcools les plus forts du monde vous trouverez l'Everclear, fabriqué aux Etats-Unis. Comme le Balkan, il est incolore, inodore, et n'as pas de goût ! C'est de l'alcool quasiment pur qui pourrait même être classé dangereux à s'en trouer l'estomac.
Entre 24 et 72 heures sans alcool
Votre corps se met en mode détox intensive et essaie d'évacuer tout l'alcool qu'il a absorbé. En plus des frissons et des nausées, vous ressentez une fatigue profonde et avez l'impression que plus jamais vous ne vous sentirez bien.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
Comment faire ? Inspirer par le nez ou par la bouche pendant 5 secondes pour remplir les poumons, puis expirer par la bouche à nouveau pendant 5 secondes pour les vider. À faire pendant 2 à 3 min pour calmer les palpitations (puis plusieurs fois par jour pendant une minute ou deux).
Consommé en excès et sur au moins cinq ans, il peut par exemple engendrer de la rigidité artérielle. Cela fait en sorte que les artères perdent leur capacité à se dilater ou à se contracter en réaction aux fluctuations de pression sanguine, exerçant ainsi une pression indue sur le muscle cardiaque.
Les conclusions de leur étude ont montré qu'une pinte de bière par jour diminuerait de 25% le risque de maladies cardiaques. L'explication des chercheurs est simple : la faible teneur en alcool de la bière augmenterait le taux de "bon" cholestérol pour réduire le risque de maladie cardiaque.
Pratiquer une activité physique : l'exercice physique contribue à renforcer le cœur pour qu'il travaille plus efficacement. Choisissez une activité modérée en accord avec votre médecin (marche à pied, natation) car l'exercice ne doit pas déclencher de fatigue, d'essoufflement ou de palpitations.
Au moins 30 minutes d'exercice physique chaque jour et en continu sont donc indispensables pour entretenir votre cœur. Elles vous aideront aussi à éviter d'autres ennemis de votre cœur qui ont tendance à faire équipe, comme l'hypertension artérielle, l'excès de cholestérol ou le diabète !
Ce peut être aussi un essoufflement à l'effort. Il est souvent déclenché par des facteurs précis : allergie, tabac, pollution, stress, rire, parfums, sport, cycle menstruel... ». L'essoufflement peut être en rapport avec des maladies plus graves mais aussi plus rares : cancer, fibrose pulmonaire, etc.
Un ventre qui dégonfle
Le manque d'eau occasionné par la consommation d'alcool cause une rétention d'eau par l'organisme ce qui fait gonfler.
En arrêtant brusquement une consommation excessive d'alcool, vous risquez de faire une crise d'épilepsie (que vous ayez déjà fait précédemment une crise d'épilepsie ou non n'a pas vraiment d'incidence).
Quand le cerveau et le système nerveux central sont habitués à un taux élevé d'alcool, les conséquences d'un arrêt brutal peuvent être dangereuses. Pour chaque personne aux prises avec une addiction, l'arrêt brutal peut avoir des effets dévastateurs.
L'alcool est un cancérogène avéré pour l'homme (groupe 1 du CIRC). Les cancers dont le lien avec la consommation d'alcool est avéré sont les cancers des voies aérodigestives supérieures (VADS) , de l'œsophage, du foie, du sein chez la femme, et le cancer colorectal (WCRF/AICR, 2018).
Ces chercheurs se positionnent donc à contre-courant de la plupart des études qui démontrent un effet globalement néfaste de l'alcool sur les reins dû à une augmentation de la tension artérielle, facteur de risque de l'insuffisancerénale.