La conduite elle-même génère une fatigue physique et mentale du conducteur. Lors d'un long trajet, il est indispensable de faire une pause de 15 à 20 minutes toutes les deux heures au minimum, et de s'arrêter dès les premiers signes de fatigue.
Le conducteur doit impérativement s'arrêter pour se reposer au moins 15 minutes avant de reprendre la route. La fatigue et la somnolence au volant augmentent le risque d'accident. La somnolence est en effet la 1ère cause de mortalité sur autoroute.
Est-ce que conduire fatigue ? Oui, si vous conduisez longtemps, vous pouvez fatiguer. Sur l'autoroute notamment, la monotonie et les lignes droites sont des ennemies de la vigilance. Pour cette raison, il est indispensable de faire des pauses régulières, au moins toutes les 2 heures de conduite.
La somnolence multiplie par 8 le risque d'accident. La conduite d'un véhicule est une activité fatigante, car elle mobilise toute notre attention. Cette fatigue, qui entraîne inévitablement une baisse des capacités du conducteur et de sa vigilance, peut amener jusqu'à l'assoupissement.
Une étude australienne incrimine les vibrations du véhicule, qui induisent un état de somnolence au bout d'une quinzaine de minutes. Peut-être parce que les ondes cérébrales se synchronisent avec elles.
Pour les passagers, la peur en voiture vient souvent d'un manque de maîtrise de la situation (sensation de faiblesse) mais aussi, parfois, d'un manque de confiance en la personne qui conduit. Ces pics d'anxiété peuvent être apprivoisés grâce à une gestion du stress optimisée et à un travail sur soi.
Dans la vitesse, cette sensation de pouvoir s'accentue car plus on va vite, plus les neurones travaillent et le cerveau aime être occupé tant qu'il n'est pas dépassé. On a alors un sentiment de domination, de réaliser quelque chose de fort et cela produit des endorphines, qui correspondent à un plaisir réel.
Respirer. Cela peut paraître tout bête, mais la respiration joue un rôle essentiel dans la gestion de la peur et du stress. Lorsque l'angoisse commence à monter, concentrez-vous sur votre respiration en essayant de la contrôler, de la ralentir. L'idéal est de respirer par le ventre en le gonflant à chaque inspiration.
Pour une position idéale en voiture, réglez votre dossier pour qu'il soit légèrement orienté vers l'arrière, à un angle d'environ 110 ° C avec l'assise de votre siège.
Lorsque vous conduisez, pensez à avoir le dos bien droit.
La tête ne doit pas reposer sur l'appui-tête et votre siège doit être suffisamment haut pour bien voir ce qui se passe autour de vous. Plus vous serez avachi dans votre fauteuil, plus vous prendrez le risque de vous assoupir.
Lorsqu'elle empêche de prendre le volant dans de bonnes conditions, la peur de conduire devient une véritable phobie qui a un nom spécifique : l'amaxophobie.
Pour limiter les risques d'accident, il est recommandé de s'arrêter toutes les 2 heures et plus fréquemment encore si vous conduisez la nuit. Si vous ne souhaitez vraiment pas vous arrêter afin de ne pas ralentir votre progression, vous devez impérativement donner le volant à un autre conducteur s'il y en a un.
La marche, le yoga, les Pilates, la natation (même légère) ou le fitness dans une salle de sport suffisent amplement. Une vingtaine de minutes d'activité régulière vous garantiront un meilleur sommeil et un regain d'énergie tout au long de la journée. Enfin, essayez de pratiquer des activités extérieures.
Le plus important est de continuer à apprendre et de ne pas vous démotiver. » Sortez avec un membre de votre famille ou un ami. Le fait de conduire aux côtés d'une personne en qui vous avez confiance peut vous permettre de vous sentir à l'aise dans la voiture.
On appelle "amaxophobie" la peur de conduire. Une phobie bien spécifique, qui se traduit généralement par des crises d'angoisse à l'idée de devoir prendre le volant, et dont les causes sont multiples.
Une seconde solution possible est de pratiquer un sport ou des techniques de relaxation avant de prendre le volant. Le conducteur, reposé et libéré de ses soucis, pourra alors prendre la route bien plus en confiance.
Rouler trop lentement peut gêner la marche normale des autres usagers de la route, ce qui ets interdit sans raison valable (embouteillage, problème de visibilité, etc.).
Permis B – AUTO
N.B. Après 3 mois minimum, vous pourrez, si vous voulez conduire seul avant l'examen pratique, échanger votre permis provisoire 36 mois pour un permis provisoire 18 mois. Filière libre SANS GUIDE (et donc après 20h min de cours en AE) : permis provisoire 18 mois.
En bref, les hommes aiment les voitures de sport parce qu'elles sont rapides, audacieuses, fortes, cool, puissantes, attrayantes et toujours au centre de l'attention – c'est tout ce que les hommes sont, ou souhaitent être. Ils s'identifient à ces voitures, les envient et essaient d'être tout aussi séduisants.
2 - Équipez-vous. N'oubliez pas que vous allez passer de longues heures dans votre auto, avec toute la petite famille. Pensez à emporter de quoi distraire vos enfants (livres, musique, jeux, etc.). Pensez aux rideaux pare-soleil, emportez des boissons fraîches, des en-cas.
Moins de stress = moins de fatigue. 3/ Des pauses toutes les deux heures minimum : au-delà de la classique pause-pipi, rien ne vaut le bon air frais (celui de l'aire d'autoroute fera l'affaire). Quelques pas pour se dégourdir les jambes, s'étirer, passer un coup de fil...