La myrtille est un fruit modérément sucré, puisque sa teneur en glucides est de l'ordre de 15 g aux 100 g (avec des extrêmes allant de 6,1 g pour la myrtille sauvage, à plus de 15 g pour certaines variétés cultivées).
Les principaux sucres présents dans la myrtille sont le fructose (4,97 g pour 100 g), le glucose (4,88 g pour 100 g) et le saccharose (0,11 g pour 100 g). Sa quantité en glucides reste inférieure à la moyenne des glucides dans les fruits frais : 11,31 g pour 100 g environ.
Manger des myrtilles, parmi d'autres fruits serait, conseillé pour réduire son risque de diabète. Mais le bénéfice ne serait visible que s'il s'agit de fruits crus. Quelques myrtilles, des pommes ou des raisins frais réduiraient le risque de diabète de type 2.
Manger trop de myrtilles entraîne des effets secondaires : Problèmes digestifs à cause de leur teneur en fibres. Augmentation des saignements si vous prenez un traitement anticoagulant. Réaction allergique.
Il serait particulièrement efficace à la fois contre la diarrhée et contre la constipation en agissant comme laxatif doux.
Des apports réguliers en myrtilles (et notamment en anthocyanes) contribuent à réduire les risques de maladies cardiovasculaires et de diabète de type 2. Ils ont aussi des effets bénéfiques sur l'équilibre glycémique, la fonction vasculaire et la microflore intestinale.
Fruits frais.
Prendre de 55 g à 115 g, 3 fois par jour.
Fruits à indice glycémique bas : Cerise, prune, groseille, pamplemousse, pomme, pêche en boîte, pêche, poire, raisin, orange, mangue, kiwi. Fruits à indice glycémique modéré à fort : Banane, abricot, pêche au sirop, papaye, melon, ananas, pastèque.
Le totum de myrtille pour freiner la progression du diabète
L'usage traditionnel de la feuille et de la racine de myrtille (ou de bleuet) est confirmé par quelques recherches qui ont démontré leurs propriétés modulatrices sur la glycémie chez l'animal, notamment la souris et le chien.
Les pommes de terre cuites à l'eau ont un indice glycémique élevé (IG = 70) et entraînent de ce fait une hausse importante du taux de glucose dans le sang.
Mieux vaut privilégier des fruits peu sucrés et riches en fibres (les fibres ralentissant l'absorption des sucres) : poires, pommes, pêches, oranges, agrumes, fruits rouges (fraises, framboises, cassis...).
Ce sont les dattes fraîches, qui renferment 27 g d'un mélange de fructose et de glucose pour 100 g de fruits. Un taux de sucre presque deux fois plus élevé que celui des autres fruits.
Régulation du transit intestinal
Concrètement, les myrtilles permettent donc de calmer les colites, les diarrhées infectieuses et les spasmes intestinaux. De plus, la myrtille aide à relancer le transit en cas de constipation et elle soulage le syndrome de l'intestin irritable.
Réfrigérez les myrtilles dans leur boîte d'origine (si elles ont été achetées dans une boîte) ou mettez-les, sans les serrer, dans un récipient peu profond et recouvrez-les d'un film plastique. Jetez les myrtilles abîmées ou moisies avant de les conserver au réfrigérateur.
La pleine saison de la dégustation de la myrtille est la fin de l'été, aux mois de juillet, août et septembre.
Pour se désintoxiquer et arrêter le sucre, l'idéal est de faire des bonnes nuits, de se détendre, de trouver du positif et du réconfort ailleurs. Le sport est bien sûr recommandé, mais aussi la consommation de tisanes pour se nettoyer et couper l'envie de sucre chaque fois qu'elle advient.
Etant donné les caractéristiques spécifiques de la plupart des fruits et légumes frais (produits fragiles, périssables, peu stockables) et leur sensibilité à la météo, leurs prix sont particulièrement impactés par la loi de l'offre (volumes de produits disponibles) et de la demande (consommation).
Le myrtillier Blue Crop (Vaccinium corymbosum Blue Crop)
Le myrtillier le plus cultivé au monde donne en quantité généreuse des myrtilles légèrement acidulées. Installé dans votre jardin, cette variété de myrtillier tiendra ses promesses : chaque année il produira une belle quantité de myrtilles !