Le stress, notamment dans le cadre d'une dépression, peut entraîner une perte de poids importante en raison de deux facteurs majeurs : un appétit diminué ou altéré et un métabolisme accéléré.
Lors d'une dépression, la perte d'appétit peut survenir en raison d'une absence de plaisir générale. Lors d'un état de stress ou d'anxiété, une poussée d'adrénaline peut avoir lieu et dirige le sang vers le cerveau, le cœur et les muscles en délaissant le système digestif ce qui peut provoquer un manque d'appétit.
Une fois le taux de cortisol en baisse, on ressentirait des sentiments plus heureux et une perte de poids plus facile. Une bonne raison de se laisser aller pour évacuer !
En effet, la perte de poids (tout comme la prise de poids d'ailleurs) est une conséquence possible des troubles anxieux tels que le trouble anxieux généralisé (TAG), l'anxiété sociale ou le trouble panique.
Une fatigue (asthénie), souvent plus marquée le matin. Une perte d'appétit, souvent associée à une perte de poids. Des troubles du sommeil, avec souvent une insomnie en deuxième partie de nuit et un réveil matinal précoce. Des troubles de l'attention, de la concentration et de la mémoire chez la plupart des malades.
Le stress, notamment dans le cadre d'une dépression, peut entraîner une perte de poids importante en raison de deux facteurs majeurs : un appétit diminué ou altéré et un métabolisme accéléré.
Lorsqu'elle est récurrente et d'intensité modérée ou sévère, la dépression peut devenir une maladie grave. Elle peut entraîner une grande souffrance et altérer la vie professionnelle, scolaire et familiale de la personne touchée. Dans le pire des cas, la dépression peut conduire au suicide.
On grignote en raison de la sécrétion hormonale et du réconfort qu'apporte le plaisir sucré. Ces deux raisons expliquent pourquoi on risque de prendre du poids quand on est stressé. Mais dans certains cas, il se produit l'effet inverse. Une anorexie s'installe avec plutôt des manifestations physiques digestives.
"La perte de poids doit inquiéter s'il n'y a pas eu du tout de modification du régime alimentaire. Si on n'a pas changé son alimentation, ni son mode de vie, si on ne fait pas plus de sport, de marche… si on n'a rien changé et si on maigrit, cela peut être un signe inquiétant.
Lorsqu'il perçoit une menace, l'organisme active instantanément l'hypothalamus, une structure du cerveau limbique qui assure l'homéostasie, c'est-à-dire le maintien à l'équilibre des constantes biologiques (pression artérielle, fréquence cardiaque et respiratoire).
Le malade dépressif s'isole, son visage se fige et devient moins expressif. Il est ralenti, prostré et s'occupe de moins en moins de son apparence jusqu'à même négliger son hygiène. Il possède de moins en moins d'initiatives ; il parle, d'un ton monocorde et lent, de moins en moins souvent.
Lorsque la perte de poids n'est pas le résultat d'une action volontaire, elle peut être causée par une maladie, par exemple : une maladie gastro-intestinale chronique, une intolérance ou une allergie alimentaire, une hyperthyroïdie, une maladie cancéreuse, un abus de consommation de drogues...
La fatigue ne fait pas perdre du poids
Il est très important de dormir autant qu'on en a besoin pour être en bonne santé. En aucun cas la fatigue n'aide à perdre du poids. Pendant un régime il est conseillé de bien dormir et de surveiller son état de santé général pour ne pas mettre à mal son organisme.
Les personnes souffrant de lypémanie ou dépression sévère présentent une humeur dépressive presque toute la journée, presque tous les jours, une tristesse constante voire des pleurs, une fatigue et perte d'énergie, une perte de l'intérêt et du plaisir (elles n'ont plus envie de rien et plus rien ne leur fait plaisir).
La plupart du temps, la perte de poids survient parce que les personnes absorbent moins de calories que nécessaire. Elles peuvent absorber moins de calories parce que leur appétit a diminué ou parce qu'elles sont atteintes d'un trouble qui empêche leur tube digestif d'absorber des nutriments (appelé malabsorption ).
La cachexie se manifeste essentiellement dans le cas de cancers des poumons, de l'œsophage, de l'estomac, de l'intestin et du pancréas.
Pour arrêter de perdre du poids, augmentez l'apport calorique, modifiez vos séances d'entrainement, faites le choix d'une alimentation saine et contactez un médecin si vous pensez que la perte de poids est due à une maladie sous-jacente.
Boire de l'eau gazeuse en début de repas permet d'améliorer les saveurs. Le gingembre accélère la digestion et réveille la sensation de faim. Les jus de citron et de pamplemousse stimulent les papilles. Les légumes amers comme l'endive ou la roquette stimulent l'appétit.
Le rythme de perte de poids conseillé pour rester en bonne santé est de 0,5 à 1 kg par semaine. Perdre du poids à ce rythme vous aidera à maintenir votre poids par la suite en plus de vous donner le temps d'intégrer vos nouvelles habitudes de vie.
Le stress affecte non seulement la santé mentale, mais aussi la santé physique. Par exemple, il peut causer : une augmentation de la pression artérielle et du risque de maladies cardiaques, des problèmes gastro-intestinaux (diarrhée, brûlures ou ulcères d'estomac, etc.), des maux de tête, de dos ou de cou, etc.
La dépression se retrouve également chez les personnes présentant d'autres troubles physiques, variés et non spécifiques, d'ordre : digestif (diarrhée, douleurs abdominales, constipation, nausées, vomissements) ; cardiaque (palpitations, douleurs thoraciques) ; neurologique (crampes, maux de tête).
Les symptômes physiques de la dépression
Ainsi, les symptômes physiques sont nombreux : Troubles du sommeil : le sommeil est souvent mauvais, moins profond, et peu réparateur avec des réveils précoces.
La durée d'un premier épisode dépressif est variable (de quelques semaines à plusieurs mois). La plupart des épisodes dépressifs dure moins de six mois. Si l'épisode dépressif est isolé, on parle de guérison.