La croissance économique est souvent un facteur d'amélioration du niveau de vie. Ce fut ainsi le cas dans de nombreux pays pendant la période des Trente Glorieuses. La croissance enclenche le processus de développement et donc favorise une amélioration de l'IDH.
La croissance économique conduit à l'épuisement progressif de certaines ressources naturelles non renouvelables. Si le processus se poursuit, il faudra trouver de nouvelles sources d'énergie et de nouveaux modes de consommation et de production pour assurer leur développement.
La croissance économique n'est pas obligatoirement synonyme de développement. En effet, elle peut entraîner un mal développement, ainsi qu'un appauvrissement du niveau de vie dû aux inégalités dans la répartitions des richesses.
La croissance économique permet le développement dans la mesure où elle améliore le niveau de vie des individus qui peuvent mieux satisfaire leurs besoins et connaître une vie plus longue en meilleure santé ce qui leur permet de construire des projets.
La croissance va entraîner l'implantation de nouvelles usines qui viendront concurrencer les anciennes. Cette augmentation du nombre d'usines va entraîner la pollution de l'atmosphère donc une dégradation des conditions de vie aussi. Il y'aura aussi destruction de la couche d'ozone, donc réchauffement de la terre.
Autrement dit, on parle de croissance, lorsque le PIB (produit intérieur brut, somme des valeurs ajoutées) d'un pays augmente d'une année sur l'autre, sur de long termes, et donc si la croissance n'est pas en hausse, le développement ne pourra pas augmenter.
A) La croissance économique aide au développement durable : 1) Les pays riche ont les moyens de dépollué grâce à leur croissance économique qui a déjà eu lieu. 2) L'importance de la croissance économique afin de se consacrer au développement durable. B)
Le développement est une fin en soi, la croissance est un instrument subordonné au développement, d'autant qu'elle entraîne la destruction d'une dotation limitée en ressources naturelles non reproductibles et soulève donc la question de sa soutenabilité à long terme.
La croissance est un des objectifs en soi : une croissance du PIB supérieure à celle de la population (croissance du PIB par habitant) améliore le revenu moyen de la population et la capacité des individus à satisfaire leurs besoins par la consommation ou à préparer l'avenir par l'épargne.
La croissance se heurte à des limites sociales (les inégalités) et écologiques (les externalités négatives, les gaz à effets de serre, l'épuisement des ressources naturelles). Une externalité est un effet non voulu de la production.
La croissance physique correspond à l'augmentation des dimensions corporelles. Le développement correspond à la croissance et à la maturation, des différentes fonctions et capacités fonctionnelles. Ces deux processus dépendent de facteurs génétiques, nutritionnels et environnementaux.
La croissance économique a des conséquences négatives sur l'environnement. Elle est responsable de l'augmentation de la pollution et des risques d'épuisement du capital naturel (car les ressources sont non-renouvelable ou que l'utilisation intensive de ces ressources ne permet pas leur renouvellement).
1. Augmentation des dimensions de l'ensemble d'un corps organisé ou de l'une ou l'autre de ses parties ; période pendant laquelle se fait cette augmentation de taille : Enfant en pleine croissance. 2. Développement, extension, augmentation de quelque chose : La croissance de la production industrielle.
la concentration. l'intégration verticale. la diversification. la globalisation (internationalisation)
Social, économique et environnemental : les 3 piliers du développement durable sont également ses enjeux principaux. L'avenir des générations futures ne saurait en effet être prospère sans une organisation cohérente et responsable de ces 3 enjeux dès aujourd'hui.
En augmentant le nombre de biens et services disponibles, la croissance améliore le bien-être des populations, mais elle peut aussi avoir des effets négatifs comme la pollution, la destruction des ressources ou l'augmentation des inégalités.
Aujourd'hui, la croissance démographique rapide, provoquée par un taux de fécondité élevé et durable, est associée à des taux de pauvreté plus élevés, de faibles taux d'éducation primaire et des taux de mortalité infantile et maternelle qui restent élevés.
Pour les partisans de la thèse nataliste, les investissements démographiques augmentent la production par tête, la croissance démographique facilite les adaptations de la structure pro- fessionnelle et constitue, au surplus, un facteur de plein emploi.
Ces vingt dernières années, la croissance du capital économique se heurte à des limites écologiques. Que ce soit l'augmentation des gaz à effet de serre, les sécheresses, l'épuisement des ressources naturelles, etc.
La croissance verte signifie promouvoir la croissance économique et le développement tout en veillant à ce que les actifs naturels continuent de fournir les ressources et services environnementaux dont dépend notre bien-être.
1. Facteurs généraux : · Intrinsèques : génétiques, endocriniens ; · Extrinsèques : nutritionnels, socio-économiques, affectifs.
On distingue traditionnellement trois sources de la croissance économique : l'accumulation du facteur travail, l'accumulation du facteur capital physique et les gains de productivité générés principalement par le progrès technique.
Le développement économique désigne la transformation active du milieu de vie et concerne l'ensemble de l'écosystème de l'organisation. Chaque partie prenante doit participer dans le milieu de vie, que ce soit d'un point de vue économique, social, communautaire, ou autre.