Le 4 août 1532, les délégués des états de Bretagne acceptent l'union de la Bretagne au royaume de France.
À partir de 1154, la Bretagne est encerclée par l'Empire d'Henri II Plantagenêt qui, par le jeu des mariages et successions, a réuni l'Anjou, la Normandie, l'Aquitaine et le royaume d'Angleterre. En 1166, Henri II force le duc de Bretagne Conan IV à abdiquer au profit de sa fille Constance.
C'est « l'édit d'union de Nantes », promulgué par François Ier le 13 août 1532. Le lendemain, le dauphin de France, âgé de 14 ans, est couronné duc de Bretagne sous le nom de François III dans la cathédrale de Rennes.
Aujourd'hui, la langue maternelle de la majorité des Bretons est le français. D'autre part, aucun des deux parlers traditionnels de Bretagne, breton et gallo, n'ont de reconnaissance officielle, mais ils restent encore aujourd'hui utilisés au quotidien par une petite partie des Bretons, en particulier les plus âgés.
L'union de la Bretagne et de la France est un processus politique entamé à la fin des années 1480, à la suite de la guerre folle, culminant le 13 août 1532 avec l'édit d'Union, scellant l'annexion du duché de Bretagne par le royaume de France.
La Loire-Atlantique a été séparée administrativement de la région Bretagne par un décret signé le 30 juin 1941 par le Maréchal Pétain... lequel aurait pourtant préféré une Bretagne historique à cinq départements.
Comment dire bonjour en breton ? « Demat », « mont a ra » ou encore « salud ».
Forme de nom commun. Forme mutée de genoù par adoucissement (g > cʼh). Tais-toi (Ferme la bouche) !
En fait, l'hérédité est un facteur de prédisposition des pikoù panez. Plus on est roux et plus on peut présenter des pikoù panez. Les Celtes sont les peuples les plus roux sur terre. Ainsi 13% des Écossais sont roux et 40% portent le gène récessif porteur de la rousseur.
Le 4 août 1532, les délégués des états de Bretagne acceptent l'union de la Bretagne au royaume de France.
Sur le plan de l'histoire, Nantes – et la majeure partie de la Loire-Atlantique – appartient à la Bretagne.
Créé en 1925 par le militant breton Morvan Marchal, le Gwenn ha du s'affiche désormais comme le symbole incontesté de la Bretagne. Neuf bandes alternativement noires et blanches, accompagnées d'un semis d'hermines, neuf pays, neuf évêchés : tel est le Gwenn ha du, le drapeau de la Bretagne.
Bien sûr, les deux régions ont été formées en même temps par le temps, mais c'est la Grande Bretagne (Great Britain) qui existe la première sous le nom de Bretagne, dès l'an 43 après Jésus Christ. On lui donne le nom de Grande car elle est la plus grande des îles britanniques.
Concarneau, Saint-Malo, Perros-Guirec, Erquy... de beaux lieux à découvrir si vous ne connaissez pas déjà.
Comme les autres langues celtiques actuelles, le breton provient historiquement des îles britanniques. Il est également apparenté au gaulois, langue aujourd'hui éteinte qui se parlait au début de notre ère dans une bonne partie de l'Europe occidentale (Belgique, France, Suisse, Nord de l'Italie).
On a longtemps parlé d'une origine mongole expliquant les yeux bridés (ou plutôt en amande) de nombreux Bretons bigoudens.
Ce dysfonctionnement est provoqué par une anomalie génétique dont l'origine est plus vieille que Jésus Christ. Ce sont les Celtes, en effet, qui l'ont développée les premiers face à la carence de leur nourriture en fer, sel minéral indispensable à la bonne santé.
Ne croyez pas que Vikings, Celtes et Bretons soient des entités différentes. Bien au contraire, ils ont une origine commune qui est d'ailleurs inscrite profondément dans le patrimoine et la géographie de la France actuelle. : Indo-Aryenne, elle-même fille d'une branche plus lointaine.
Trugarez. C'est la façon la plus connue et la plus utilisée par les bretonnants.
Hollgaret : Chéri(e) Ma ael : Mon ange. Ma kalon : Mon cœur. Ma boudig koant : Ma jolie fée.
Étymologie. Du moyen breton mam.
Pour certains, la présence des 11 hermines sur le drapeau breton symbolise le clergé dans cette région où le catholicisme était très présent, pour d'autres, elles représentent les saints de la région bretonne.
"Papa" se dit tadig. C'est le mot affectueux pour "père", ou tad. "Bonne fête des pères" en breton s'écrit gouel laouen tad.
OUI YA : ya da (& laouen, 'vat...), loc. EYA (ouais)...