Non, il n'y a pas lieu d'associer un AINS et du paracétamol. De la même façon, il ne faut jamais associer deux AINS. Si la douleur ou la fièvre persistent après la prise de l'un ou de l'autre, il faut consulter son médecin traitant qui cherchera la cause du problème pour donner le traitement nécessaire.
Si la douleur ne baisse pas après un ou deux jours de traitement, on peut alors tenter de la soulager avec un anti-inflammatoire non stéroïdien, seul ou en alternance avec le paracétamol. L'ibuprofène se prend d'abord en comprimé de 200 mg, puis de 400 mg si nécessaire, sans dépasser 1 200 mg par jour.
Il faut aussi respecter un délai minimum de quatre à six heures entre chaque prise. L'important est d'utiliser la plus faible dose, le moins souvent possible ».
L'administration de paracétamol et d'ibuprofène peut se faire simultanément en cas de fortes douleurs ou fièvres qui résistent à l'action d'une première prise de l'un ou l'autre de ces médicaments. Bon à savoir : il est alors nécessaire d'espacer les prises de 6 heures minimum.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (Ibuprofène®, Voltarene®, Diclofénac®…)
Anti-vitamine K : AVK (Coumadine®, Previscan®, Warfarine)
En effet, lors de la prise de 4g de paracétamol par jour pendant au moins 4 jours, il y a un risque d'augmentation de l'effet des AVK et donc une augmentation du risque hémorragique.
Dans quel cas le médicament IBUPROFÈNE MYLAN 200 mg est-il prescrit ? Ce médicament est un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS). Il lutte contre la douleur et fait baisser la fièvre.
Privilégier le paracétamol
L'ibuprofène et le kétoprofène, eux, doivent être pris « à la dose minimale efficace, pendant la durée la plus courte, c'est-à-dire pas plus de 3 jours en cas de fièvre et de 5 jours en cas de douleur.
Au-delà de 4 grammes par jour, le paracétamol peut être toxique pour le foie. Mais même en-deçà de ces doses, cet antalgique pourrait présenter d'autres effets secondaires préoccupants, chez les personnes qui en consomment sur une base régulière.
Prendre plusieurs médicaments (ou molécules) en même temps peut modifier leur efficacité ou leur toxicité. On parle alors d'interaction médicamenteuse. Celle-ci peut prendre plusieurs formes : Les effets des produits peuvent être diminués ou supprimés, les rendant ainsi moins efficaces.
A titre d'information générale, sachez tout d'abord que les interactions médicamenteuses figurent toujours sur la notice de votre médicament et que votre médecin et votre pharmacien sont vigilants sur une éventuelle incompatibilité.
Par contre le Doliprane au coucher devrait faciliter votre endormissement du fait qu'il peut diminuer la température du corps, condition indispensable à l'apparition du sommeil.
Les anti-inflammatoires stéroïdiens, eux, sont des corticoïdes, dérivés du cortisol et de la cortisone, et ont un effet plus puissant. " Parmi les anti-inflammatoires stéroïdiens, on trouve le prednisone, prednisolone, méthylprednisolone ,ou encore, avec un effet plus prolongé, le bêtaméthasone ou le dexaméthasone.
Par exemple, les lymphocytes, un type de cellules immunitaires particulièrement important pour la régénération des tissus, sont actifs le soir. En prenant des anti-inflammatoires en soirée, on empêcherait les lymphocytes de faire leur travail de guérison.
Ne pas prendre d'anti-inflammatoires en cas d'infection
Mieux vaut éviter de prendre des anti-inflammatoires en cas d'infection. S'ils soulagent efficacement la douleur et la fièvre, l'ibuprofène et le kétoprofène exposent à des risques de complications infectieuses parfois graves.
Quatre AINS sont vendus sans ordonnance : l'ibuprofène (Motrin, Advil et autres marques), le naproxène (Aleve, Motrimax), le diclofenac (Voltaren Emulgel) et l'acide acétylsalicylique (AAS, Aspirine et autres marques).
Les AINS peuvent être responsables de maux de tête ou de vertiges, d'effets indésirables digestifs plus ou moins graves (nausées, douleurs ou brûlures d'estomac, ulcère ou hémorragie du tube digestif), de réactions allergiques (éruption cutanée, asthme) et d'insuffisance rénale dans certaines circonstances rares.
Non, dans la plupart des cas, les anti-inflammatoires (comme l'ibuprofène ou le naproxène) ne favorisent pas la guérison.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens ont une propriété calmante et antalgique. Ils soulagent donc les douleurs et la fièvre selon la dose administrée. Les AINS peuvent atténuer plusieurs maux et douleurs.
La morphine est l'antalgique puissant de référence aujourd'hui, même si d'autres molécules dérivées de la morphine ont été développées depuis. L'usage de la morphine n'est plus aujourd'hui réservé aux cas extrêmes ou aux soins palliatifs.
À la différence de l'aspirine et de l'ibuprofène, le paracétamol n'est pas anti-inflammatoire. Il soulage donc moins bien que ces deux médicaments les douleurs de ce type. Par contre, il a l'avantage de ne pas irriter l'estomac. Il est commercialisé sous divers noms: Doliprane, Dafalgan, Efferalgan, etc.
Le Curcuma (Curcuma longa) est l'une des plantes ayant les meilleures propriétés anti-inflammatoires. En effet, les curcumines qui la composent sont des molécules largement utilisées dans la médecine Ayurvédique Indienne, pour leurs propriétés dans le processus d'inflammation(1).
Le Doliprane contient du paracétamol, le seul principe actif incorporé dans ce médicament. Le paracétamol est l'antalgique et antipyrétique de référence indiqué en première intention pour soulager les douleurs (maux de tête, douleurs musculaires…) et en cas de fièvre.
En 1er choix : le paracétamol
Le paracétamol (Doliprane, Dafalgan, Efferalgan...) présente le meilleur bénéfice/risque pour les douleurs courantes (mal de tête, fièvre, douleurs dentaires...), et pour un dosage inférieur à 3 g par jour, soit trois comprimés de 1000 mg espacés toutes les quatre à six heures.