On met la majuscule au substantif qui désigne un peuple, une race ou les habitants d'une région déterminée. Lorsque cette désignation est un nom composé, chacun des éléments reliés par le trait d'union prend la majuscule : les Canadiens.
Majuscule au nom propre
Employé comme nom propre, l'expression Canadien français s'écrit sans trait d'union et prend la majuscule à Canadien : Les Canadiens français sont les francophones du Canada.
Tout d'abord, sachez que la majuscule est nécessaire pour tous les noms qui désignent un peuple, une nationalité ou un habitant : un Belge, la Québécoise, etc. Si le nom est composé, alors les deux mots qui le forment nécessiteront une majuscule : les Anglos-Saxons, le Nord-Américain, etc.
Lorsqu'on nomme les habitants d'une ville, d'une région ou d'un pays, on emploie la majuscule : À Londres, des Belges et des Français discutaient avec des Anglais. Les Montréalais sont très accueillants. Cependant, lorsqu'on emploie l'adjectif relatif à ces habitants, on ne met pas de majuscule.
* En général, pour former le féminin des adjectifs de nationalité, on ajoute un -e à l'adjectif masculin. * Dans le cas des adjectifs qui se terminent en -ien, -yen ou -éen au masculin, on double le n au féminin. * Les adjectifs qui se terminent en -e au masculin sont identiques au féminin.
La majuscule.
Au Ministère, il est d'usage d'employer la majuscule pour désigner les Autochtones, comme on le fait pour tous les noms de peuples, par exemple, un Français, un Arabe, un Suédois.
chum n. Au Canada, ami, copain, copine. chum n.m. Au Canada, petit ami, amoureux ou conjoint.
Québécois, québécoise prend deux accents aigus.
On sait que la règle générale veut que les gentilés ou ethnonymes (noms ou adjectifs désignant les peuples, les habitants d'un lieu) prennent la majuscule quand il s'agit du nom désignant une personne (un Français vivant à Paris) et prennent la minuscule quand il s'agit du nom de la langue (j'apprends le français) ou ...
La France (), en forme longue depuis 1875 la République française (), est un État souverain transcontinental dont le territoire s'étend en Europe de l'Ouest et outremer (dans les océans Indien, Atlantique, Pacifique et Austral ainsi qu'en Amérique du Sud).
La CIA World Factbook définit les groupes ethniques de la France comme étant « celtique et latin avec des minorités germaniques, slaves, d'Afrique du Nord, d'Afrique subsaharienne, indochinoise et des minorités basques. Et pour les départements d'outre-mer : noirs, blancs, mulâtres, indien, chinois et amérindien ».
Un nom propre désigne un individu (ou un groupe d'individus), un lieu ou une chose unique, contrairement au nom commun qui désigne des classes de personnes, de lieux, de choses ou d'abstractions. La France, Belgrade, la Volga, les Anglais, Louis Aragon sont des noms propres.
peuple n.m. Ensemble de personnes vivant en société sur un même territoire... peuple adj.
Il ne faut pas confondre français québécois et français canadien. En effet, à strictement parler, le français canadien constitue un ensemble qui comprend le français québécois et les français de diverses autres régions et origines.
Fait que les habitants du Québec parlent exactement le même français qu'à Paris, parce qu'ils viennent de France. C'est d'ailleurs un vieux français où l'on ne prononcait pas toutes les syllabes des mots.
Localement ou à certaines époques, le terme indigène dans le domaine des sciences ethnologiques et historiques a pu prendre une connotation péjorative, désignant des individus ou des arts « non-civilisés », ou avec un sens équivalent à celui de barbare ou de sauvage, en particulier en Amérique du Sud au XVII e siècle.
Le terme « autochtone » est le plus utilisé, étant reconnu internationalement, par exemple avec la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones.
La Constitution canadienne reconnaît 3 groupes de peuples autochtones : les Indiens (plus souvent appelés les « Premières Nations »), les Inuit et les Métis. Ces 3 groupes distincts ont leur propre histoire ainsi que leurs propres langues, pratiques culturelles et croyances.
a) La nationalité française est attribuée à la naissance
pour l'enfant né en France ou à l'étranger dont l'un au moins des parents est Français (droit du sang) ; pour l'enfant né en France de deux parents apatrides.