La perte d'appétit est un trouble fréquent, bénin la plupart du temps, mais qui peut parfois être la conséquence d'une maladie plus grave. Elle se caractérise par une faim inexistante, une disparition de l'envie et du besoin de manger.
La néophobie alimentaire — aussi appelé trouble d'alimentation sélective (TAS) — se caractérise par une sélectivité alimentaire prononcée c'est-à-dire que ceux qui en souffrent ne mangent que certains aliments (ou groupes d'aliments) et refusent de goûter aux autres.
Les causes
Dans la plupart des cas, la perte d'appétit est liée à des causes psychiques et des maladies gastro-intestinales. Les causes psychiques La perte d'appétit a souvent des origines psychiques. Certaines personnes oublient tout simplement de manger dans des situations de stress professionnel ou privé.
Les causes de cette perte d'appétit sont multiples : l'isolement social, la perte de goût et d'odorat qui apparaissent avec l'âge, diminution de la sensation de faim, les troubles bucco-dentaires et de déglutition, les traitements médicamenteux au long court, la douleur, les troubles digestifs, les régimes restrictifs ...
L'anorexie: diminution de l'appétit, voire perte totale d'appétit. Comment s'assurer qu'il s'agit bien d'un refus alimentaire ?
Ne pas manger suffisamment peut avoir à long terme des impacts désastreux sur votre état de santé : fatigue chronique, perte de cheveux, troubles digestifs, ostéoporose, …
Après un repas trop important, trop gras ou trop rapide, l'estomac est complètement rempli et ne parvient pas à brasser correctement les aliments, et donc ne peut pas suffisamment les évacuer vers l'intestin grêle : le sphincter du pylore, à la base de l'estomac, reste fermé, ce qui ralentit la vidange gastrique.
La perte d'appétit (ou anorexie) correspond à la disparition de la sensation de faim. Lorsqu'elle passagère, elle reste en général bénigne. Mais lorsqu'elle se manifeste de manière fréquente ou prolongée, la perte d'appétit peut être à l'origine de graves problèmes de santé.
Pour être qualifié de « trouble de la déglutition», ce phénomène doit se répéter plusieurs fois. Ces difficultés, plus fréquemment présentes chez la personne âgée en fin de vie, peuvent avoir différentes causes : des maladies telles que mycoses, œsophagites. des maladies neurologiques ou vasculaires (Alzheimer, AVC)
Parfois, l'ado peut trouver l'alimentation familiale trop monotone, inadaptée ou plus simplement, elle ne lui convient pas. Cette réaction peut être tout à fait acceptable ; il faut aussi savoir se remettre en question... Votre adolescent peut également refuser de manger tout simplement parce qu'il n'a plus faim.
Ce sont entre autres les cancers de la bouche, de la lèvre et des gencives, du nez, de la gorge, du larynx et des glandes salivaires. La plupart des cancers de la tête et du cou sont des carcinomes épidermoïdes, sauf le cancer des glandes salivaires, qui comprend différents types de tumeurs.
Une absence d'appétit passagère peut survenir dans le cadre d'une grippe, une indigestion ou lors de stress. Une perte de l'appétit prolongée peut toutefois indiquer une maladie physique sérieuse. L'absence d'appétit survient également lors de troubles psychiques, toxicomanies (alcool, drogues, etc.)
Si vous n'avez pas envie de manger
Fractionnez vos repas. Prenez plusieurs petits repas au cours de la journée ainsi que des collations. Ne prêtez pas attention à l'heure, mangez dès que vous ressentez une sensation de faim. Conservez vos aliments favoris à portée de main et mangez-en dès que vous en avez envie.
La cibophobie est de loin le trouble alimentaire le plus contraignant car il s'agit ici de la peur de la nourriture au sens large. Les cibophobes angoissent à l'idée même de manger par peur d'attraper une intoxication alimentaire ou de contracter une réaction allergique à un aliment.
Le terme orthorexie est-il nouveau pour vous? L'Office québécois de la langue française le définit comme étant : « Un comportement névrotique caractérisé par l'obsession d'une alimentation saine. » En ajoutant que l'orthorexie nerveuse n'est pas reconnue comme une maladie dans le milieu médical.
L'angoisse de goûter se traduit par un évitement des aliments inconnus (même les toucher sans but de les manger est compliqué), et une paralysie face à un aliment qu'on nous demande de goûter, un réflexe nauséeux systématique à l'approche de la bouche ou au moment de goûter.
Le stress, notamment dans le cadre d'une dépression, peut entraîner une perte de poids importante en raison de deux facteurs majeurs : un appétit diminué ou altéré et un métabolisme accéléré.
Lorsque le corps est en alerte, le cerveau se concentre sur la gestion des menaces immédiates, même s'il n'y en a pas toujours. Il est donc moins concentré sur l'envie de prendre un gouter ou de préparer un repas, et les personnes souffrant d'anxiété chronique peuvent donc avoir un appétit réduit.
Pourquoi ai-je des nausées après un repas ? Si des nausées surviennent après un repas, il y a de fortes chances que vous souffriez d'une intoxication alimentaire. Elles peuvent apparaitre juste après le repas, ou quelques heures plus tard et s'accompagnent généralement de vomissements et de diarrhée.
Les symptômes communs incluent la faim, les tremblements, l'anxiété, les vertiges, la transpiration, la fatigue, et des sauts d'humeur. Une sous-alimentation peut facilement provoquer une l'hypoglycémie, en particulier lorsqu'elle est combinée avec un entrainement sportif intense.
Les troubles des conduites alimentaires (TCA) sont caractérisés par des comportements alimentaires différents de ceux habituellement adoptés par les personnes vivant dans le même environnement. Ces troubles sont importants et durables et ont des répercussions psychologiques et physiques.
Entre 6 et 72 heures sans apport de nourriture, l'organisme va puiser dans ses réserves de graisses, qui sont ensuite dégradés en corps cetoniques que le cerveau pourra utiliser. Cela peut provoquer des changements d'humeur et une baisse des fonctions cognitives.
Le jeûne 1 jour sur 2
Selon plusieurs études, ce jeûne serait la méthode la plus efficace pour la longévité. Certains résultats observés chez les souris montrent par exemple une augmentation de la durée de vie de 20%.