Chacun peut imaginer qu'à la question : "Peut-on pleurer devant ses enfants ?", la réponse est oui. En soi personne ne l'interdit ; au contraire, cette expression de sentiment est même conseillée.
Selon une pédopsychiatre, il vaut mieux éviter de pleurer devant son enfant. Lorsque cela arrive, docteur Agnès Pargade conseille aux parents d'expliquer calmement la raison de ce chagrin, pour que l'enfant comprenne et soit rassuré.
Les larmes sont très utiles, à la fois sur le plan physique et psychologique. Dans certains cas, lorsque les pleurs deviennent trop fréquents, il est important de se poser la question d'une maladie mentale plus profonde.
Pleurer plus souvent ou sans savoir pourquoi peut évoquer une affection mentale telle qu'une dépression, de l'anxiété, une dépression post-partum ou un trouble bipolaire. Si vous pensez que vos pleurs sont liés à un problème de santé mentale, il est nécessaire de consulter votre médecin généraliste.
On peut également se détendre les sourcils, car lorsque l'on est triste, ceux-ci ont tendance à se resserrer. Se pincer la peau entre le pouce et l'index stoppe également immédiatement les larmes. Si vous voulez cacher votre tristesse face à quelqu'un, pensez à pincer votre main dans votre dos, c'est plus discret.
"Les larmes sont nécessaires pour que l'œil reste humide et elles contiennent des protéines et d'autres substances qui maintiennent l'œil sain et permettent de combattre les infections", affirme Michael Trimble, l'auteur de Pourquoi les humains aiment pleurer, publié dans la revue Scientific American.
Définition de pleureur
nom vieilli (Personne) qui pleure facilement. Enfant pleureur. Par extension Air, ton pleureur. ➙ pleurard, ➙ pleurnicheur.
La tristesse peut créer une fatigue intense, l'impression d'être en décalage, comme si le monde allait à un autre rythme. Dans le mal être, la perte d'énergie et la sensation d'épuisement sont importants et s'accompagnent d'un manque de concentration et de difficultés de mémorisation.
ADAPTATION / VALIDATION. Des changements d'émotions (pleurs, rires, humeur, moral) sont souvent tout à fait normaux, selon les périodes de vie traversées. Cependant, ils peuvent devenir graves lorsqu'ils empêchent certaines activités quotidiennes ou amènent des idées noires, voire des idées de mort ou de suicide.
Lorsqu'on pleure, les vaisseaux sanguins autour des yeux se dilatent ce qui contribue au gonflement. En produisant beaucoup de larmes, vous augmentez cette dilatation pour augmenter le flux sanguin autour des yeux. Car, comme toute glande de votre corps, la glande lacrymale est en lien direct avec le flux sanguin.
« Pleurer n'est pas un mal en soi, même dans une dépression car les sentiments sont encore exprimés. A l'inverse, un patient atteint de dépression sèche, sans larmes, rend la communication plus difficile car il n'arrive plus à extérioriser ses sentiments », explique le Dr Lemoine.
Elle s'imprimerait jusqu'aux cellules et accélérerait leur vieillissement, selon une nouvelle étude. La dépression donne un sérieux coup de vieux. Et ce n'est pas que dans la tête que ça se passe. Cette maladie affaiblirait l'organisme jusqu'aux cellules, qu'elle fait vieillir plus vite.
Par ailleurs, pleurer permet de brûler des calories. Les scientifiques pensent que l'on élimine une quantité similaire à celle que l'on dépense lorsque l'on rit, à savoir 1,3 calorie par minute. Ainsi, en pleurant une trentaine de minutes, ce sont environ 30 calories qui sont éliminées.
Laisser pleurer bébé n'est pas dangereux pour sa santé
Maternel, paternel ou plus généralement parental, le burn out découle de plusieurs facteurs : fatigue, surmenage, dépression... Lorsque le temps leur manque et qu'elles arrivent au bout du rouleau, certaines mamans craquent.
On peut pleurer pour beaucoup de raisons, parfois abondamment, mais pas de manière illimitée. Le corps a en effet une capacité de stockage restreinte, le liquide lacrymal étant contenu dans une poche de 0,425 millilitre par œil. Longues d'environ 15 millimètres chacune, ces poches sont situées entre les yeux et le nez.
La production de ces hormones par les glandes surrénales induit une demande accrue d'adénosine triphosphate (ATP), la molécule énergétique utilisée par les organes. Les réserves d'ATP diminuent donc comme après un effort physique. Le taux de cortisol baissant aussi, l'organisme ressent une faiblesse.
Le cortisol est produit par la glande surrénale (qui se trouve au niveau des reins), avec des pics de sécrétion en réponse au stress, à la peur ou la colère. En outre, le niveau de cortisol subit des fluctuations au cours de la journée avec un pic le matin après le réveil.
Les signes moteurs
Un ralentissement moteur : tout est plus ralenti, on parle plus lentement, on perd de l'énergie, la fatigue se fait sentir. La concentration est également affectée : prendre une décision devient compliqué, l'imagination s'en ressent.
Des différences chimiques et humaines
Pour exprimer ses sentiments, pour se libérer d'un poids et se remettre d'une émotion forte, pour montrer qu'on est vulnérables, pour créer des liens humains, et parfois, pour manipuler les autres.
Le "psy" est là pour accueillir vos émotions, dont vos pleurs, votre colère, vos peurs... : c'est son "job"... Ceci étant, lui parler vrai de tout ce que vous sentez et pensez, votre envie de le "préserver" inclue, est très important pour qu'il puisse vous aider à avancer et à sortir de votre dépression.