Les complications sont plutôt rares si les calculs sont bien soignés. Cependant, il peut arriver qu'en plus d'une obstruction d'un uretère par un calcul, une infection s'installe. Cela peut entraîner une infection sanguine (septicémie) qui nécessitera une intervention d'urgence.
La majorité des calculs qui ne s'éliminent pas spontanément peuvent être enlevés ou détruits grâce à des techniques mini-invasives. Parmi celles-ci la lithotritie extracorporelle, l'urétéroscopie (souple ou rigide, avec ou sans utilisation d'un laser) ou la chirurgie percutanée.
Elle se manifeste par la production de calculs, qui sont des sortes de "cailloux", qui bloquent l'écoulement de l'urine des reins vers la vessie. Ce blocage provoque de violentes douleurs au niveau latéral de l'abdomen (région lombaire), appelées colique néphrétique.
Les calculs rénaux peuvent survenir lorsque des bactéries colonisent les reins ou lorsque des maladies du métabolisme ou des reins changent les paramètres de l'urine (son acidité, la quantité excrétée de calcium, de phosphate, d'oxalate ou de cystine, etc.).
Les symptômes peuvent comprendre de la douleur lorsque le malade essaie d'uriner, un besoin urgent d'uriner, le fait d'uriner plus souvent que d'habitude, la présence de sang dans l'urine, une urine trouble ou qui sent mauvais, de la nausée, des vomissements, de la fièvre et des frissons.
Boire trop de café
La caféine augmente la pression artérielle. Boire trop de café sur le long terme risque ainsi de conduire à une insuffisance rénale chronique.
Pour les calculs d'oxalate de calcium
- Limiter les aliments riches en oxalate: chocolat, épinards, poivre, rhubarbe, thé... -Eviter les excès de protides : ne pas consommer de viande ou de poisson plus d'une fois par jour. Ne pas manger trop de fromage et de légumes secs.
La chirurgie n'est utilisée que pour les plus gros calculs rénaux, au-delà de 2 à 3 centimètres, qui sont de plus en plus rares.
"Le calcul rénal n'est pas douloureux. Quand il s'engage dans le canal du rein (l'uretère), le calcul bloque et empêche l'écoulement des urines. Du coup, les urines s'accumulent dans le rein qui se dilate, et c'est la dilatation qui fait mal. Ces douleurs sont d'ailleurs insupportables.
Ce n'est pas rare qu'une situation de stress ou d'anxiété comme un burnout ou un chagrin d'amour soit un facteur déclencheur d'un calcul. Il faut savoir que le calcul rénal peut aussi « annoncer » un déséquilibre potentiellement plus sévère au niveau de l'organisme comme un risque d'infarctus.
Les calculs des voies urinaires commencent à se former dans un rein et peuvent s'agrandir dans un uretère ou dans la vessie. Selon la localisation du calcul, on parle d'une lithiase rénale, uretérale ou vésicale. Le processus de formation des calculs est appelé urolithiase, lithiase rénale ou néphrolithiase.
Buvez de l'eau normalement. Prenez un comprimé antalgique de type paracétamol ou anti-inflammatoires non stéroïdiens (sauf contre-indication) ou également du Spasfon°. Prenez rendez-vous rapidement avec un médecin généraliste qui vous prescrira peut-être un autre traitement.
Une faible consommation de potassium combinée à un apport élevé en sodium participe à la formation de lithiases calciques. Il faut donc couvrir les besoins en potassium en choisissant des aliments qui en sont riches. Les aliments sources de potassium à consommer en cas de calculs rénaux sont les fruits et légumes.
L'eau du robinet, ou une eau en bouteille faiblement minéralisée (Évian, Volvic, eau de source...) fait parfaitement l'affaire. Lorsqu'il s'agit de calculs à base d'acide urique, une eau gazeuse riche en bicarbonates (Badoit, La Salvetat, Perrier...) diminuera l'acidité des urines et préviendra ainsi leur formation.
Leur taille peut atteindre plusieurs millimètres, parfois plus d'un centimètre. Leur composition chimique est variable. Une fois formé, un calcul peut migrer dans les voies urinaires et causer une crise de colique néphrétique (voir : « Symptômes »).
L'intervention n'est absolument pas douloureuse en soi mais la présence du drain interne peut être une source d'inconfort urinaire. L'intensité de ces désagréments est extrêmement variable d'un patient à l'autre (envie fréquente et impérieuse d'uriner, douleurs mictionnelles, urines rouges).
Calcul rénal : éviter les récidives
Dans la plupart des cas, le manque de liquide provoque les calculs rénaux. Pour éviter les récidives, il donc essentiel est de boire régulièrement, au moins 1,5 litre d'eau par jour, et jusqu'à deux litres lorsqu'il fait chaud.
Après la pose d'une sonde double J, il est possible de ressentir des douleurs et des brûlures lors des mictions. Le frottement du tube contre la paroi de la vessie peut également provoquer des irritations causant la présence de sang dans les urines en faible quantité (urines rosées).
Cette douleur intense, souvent décrite comme « atroce », est ressentie le plus souvent dans le bas du dos, mais peut irradier vers l'aine, le flanc, puis l'abdomen, toujours d'un seul côté du corps.
Les excès de calcium, sel, sucre, protéines animales, oxalate et acide urique favorisent la formation des calculs.
Les calculs rénaux peuvent être la conséquence d'un grand nombre de facteurs. Le plus souvent, ils sont dus à un manque de dilution des urines, c'est-à-dire à une consommation trop faible d'eau. Une alimentation déséquilibrée, trop riche en sucre ou en protéines, peut également être en cause.
Le chocolat contient aussi de la théobromine : un alcaloïde amer de la même famille que la caféine. Il agit sur les reins, c'est un diurétique, et il a un effet antitussif.
Les reins sont en charge de l'équilibre de notre organisme. En filtrant le sang, ils régulent la quantité d'éléments présents dans le corps. Si vous mangez une banane par exemple, ils s'activent pour éliminer l'excès de potassium.
Le citron accélère la digestion et la décomposition des aliments, ce qui permet au corps d'assimiler les bons nutriments et d'éliminer les toxines. Selon les dernières études, le citron est également un allié important dans la lutte contre les calculs rénaux.