Adopter une alimentation saine, c'est-à-dire 5 fruits et légumes par jour, avec un féculent à chaque repas, moins de produits sucrés ou frits et moins d'alcool. Augmenter l'activité physique, par exemple marcher d'un pas vif, pour atteindre un rythme de 3 à 5 fois par semaine, pendant au moins 30 minutes.
Avec un diagnostic à 80 ans, l'espérance de vie était la même que celle des contrôles, alors qu'un diagnostic avant 20 ans était associé à 10 années de vie en moins. Dans l'ensemble, les sur-risques étaient numériquement plus élevés chez les femmes atteintes de diabète de type 2.
Est-ce que je peux vivre longtemps avec le diabète ? Oui, il est heureusement possible de vivre très longtemps avec le diabète. Tou- tefois, par rapport à une personne non-diabétique, le diabète est un facteur de risque supplémentaire de complications affectant les organes vitaux comme le cœur, le cerveau et les reins.
Si le diabète de type 2 ne se guérit pas définitivement, il est possible de réduire le temps passé en hyperglycémie tout au long de la vie pour retarder la survenue des complications et d'augmenter l'espérance de vie. L'activité physique et le rôle du muscle sont indispensables pour atteindre cet objectif.
L'âge moyen au décès est de 79 ans, et est plus élevé chez les femmes que chez les hommes (81 vs 76 ans), comme en mortalité générale.
Le diabète peut-être une cause d'altération du sommeil. Certaines insomnies sont en effet liées à des troubles de la régulation glycémique (notamment en cas d'hypoglycémies nocturnes, fréquentes chez les diabétiques de type 1).
Le sucre ne peut plus assurer son rôle de source d'énergie chez le diabétique, il en résulte un état de fatigue intense même au repos. Cela résulte des hypoglycémies qui sont fréquentes. D'où l'importance de contrôler son taux de glycémie régulièrement lorsqu'on est diabétique.
Le diabète de type 2 (également appelé « diabète non insulinodépendant » (DNID) ou « diabète gras »), plus fréquent que celui de type 1, touche essentiellement les personnes de plus de 40 ans. Cette maladie est grave par ses complications, notamment sur le cœur, les vaisseaux sanguins, les reins et les nerfs.
Limiter, voire supprimer, votre consommation de produits sucrés (sucre en morceaux, sucre en poudre, miel, bonbons, friandises, pâtisseries, viennoiseries, et céréales du petit déjeuner chocolatées ou au miel ou fourrées) car ils provoquent une forte augmentation de la glycémie.
On considère généralement que le diabète de type 2 est une maladie chronique irréversible, dont on ne peut espérer guérir, et que la seule option thérapeutique demeure de limiter les dégâts causés par l'hyperglycémie.
Le diabète n'est pas une contre-indication à la vie sexuelle. Au contraire, celle-ci peut être considérée comme une forme d'activité physique douce, qui est recommandée.
le diabète et l'obésité! Contrairement à ce que veulent nous faire croire les marques qui produisent des boissons allégées, elles sont loin d'être meilleures pour la santé. Elles favoriseraient même certaines maladies, voire l'obésité…
Si le glucose dans le sang demeure trop souvent élevé avec le temps, cela a un impact dommageable sur plusieurs organes du corps, principalement : les reins (néphropathie) les yeux (rétinopathie) le système neurologique (neuropathie)
La HAS recommande de prescrire la metformine seule en première intention. Si le traitement par metformine ne permet plus d'atteindre l'objectif glycémique cible, une bithérapie puis éventuellement une trithérapie pourra être envisagée sur la base d'une association de metformine et de sulfamide hypoglycémiant.
La pression artérielle
On estime que les personnes atteintes d'hypertension artérielle ont un risque accru de 50% de devenir diabétiques. A noter, le risque survient lorsque la pression systolique est supérieure à 14 et la pression diastolique à 9.
Dans le cas du diabète de type 1, ce dérèglement est dû à un déficit d'insuline, une hormone régulatrice de la glycémie. Potentiellement très grave s'il n'est pas contrôlé, le diabète de type 1 est aujourd'hui très bien pris en charge (mais pas guéri) grâce à un apport d'insuline exogène.
Les diabétiques n'ont pas la frite
Les amateurs de frites sont les plus à risque, avec un ration de 1,19 pour 3 portions consommées par semaine, contre 1,04 pour les versions à l'eau ou en purée.
picotements, chatouillements, chair de poule, sensations étranges comme une piqûre d'épingle ou une décharge électrique; engourdissements (pertes de sensibilité d'une partie du corps); brûlures, démangeaisons, douleurs; transpiration, gonflement, froid ou chaleur injustifiée.
Maintenir une bonne hydratation grâce à l'eau peut vous aider à contrôler le taux de glycémie dans le sang, d'après une étude citée par Best Health Mag (Source 1). En cause, une hormone appelée vasopressine, qui augmente lorsqu'une personne est déshydratée, et qui stimule le foie afin qu'il produise plus de sucre.
Le pied diabétique peut se manifester par de véritables lésions cutanées de nature ulcéreuse (plaies), qui se développent généralement au niveau des doigts ou de la région plantaire. Elles peuvent, à leur tour, provoquer une gangrène et, dans des cas extrêmes, une amputation du membre.
La soupe minceur est un aliment pour diabétique seulement si son index glycémique est bas. Prudence donc, car pour un diabète de type 2, le régime alimentaire doit être strict afin de limiter les risques de complications.
L'étude a mis en évidence trois principaux problèmes émotionnels causés par la vie avec le diabète : la dysphorie, l'anxiété et l'irritabilité. La dysphorie se manifeste par des sentiments d'insatisfaction, d'apathie, de perte d'intérêt, de malaise et de tristesse.