Elles sont près de deux fois plus nombreuses à vivre dans un ménage pauvre en conditions de vie, le plus souvent confronté à des insuffisances de ressources et des restrictions de consommation. Ces personnes handicapées présentent aussi des indicateurs de santé dégradés par rapport à l'ensemble de la population.
L'apragmatisme (c'est-à-dire l'incapacité à décider et à agir, pouvant entraîner l'inactivité et le confinement chez soi), l'enfermement dans le délire, le repli autistique, la dépression.
Elle prévoit de compenser le handicap de la personne afin de l'aider au quotidien : pour les repas, la toilette, l'aménagement de son logement ou les éventuels appareils comme les fauteuils roulants ou des prothèses… Cette loi a aussi pour but de favoriser l'égalité des chances et la participation de tous à la société.
sensibiliser, communiquer et orienter les actions vers l'emploi : communiquer sur les situations de handicap au travail, communiquer sur la multiplicité des formes de handicap et sur le handicap invisible. sensibiliser sur le fait que toute personne peut devenir un jour en situation de handicap.
Accompagner une personne handicapée, c'est être au service de l'autre, apprendre à écouter sa souffrance et à la comprendre. Pour autant, le compagnon de l'invalide ne doit pas s'oublier lui-même. Tout d'abord, il ne faut pas hésiter à prendre du recul et pour cela l'humour est une bonne arme !
Qu'elles soient liées à l'ignorance, à la peur, à un manque de compréhension ou à la haine, certains comportements et certaines perceptions peuvent devenir des obstacles qui empêchent les personnes handicapées de poursuivre leurs rêves et leurs aspirations.
Les missions de bénévolat au profit des personnes souffrant de handicap concernent de nombreux domaines, dont : l'aide au déplacement. le parrainage vers l'emploi. l'animation culturelle ou sportive.
L'être humain porteur d'un handicap est perçu comme un problème, constitue un «cas social» et est tenu pour incapable de poursuivre des activités normales: c'est une personne chez qui tout ne fonctionne pas bien.
La peur de la différence, c'est donc aussi la peur de se voir soi-même dans l'autre. Enfin l'incapacité n'est jamais qu'une question de valeurs. La société en général voit le handicap avant tout en terme d'incapacité : la personne à mobilité réduite, l'aveugle, le déficient mental etc.
L'aquagym, la natation, les étirements passifs et l'hydrothérapie thérapeutique sont quelques-uns des exemples d'activités qui améliorent fortement les capacités fonctionnelles, motrices et la condition physique des participants.
La Vie Autonome est bien plus qu'une philosophie, c'est un « mode de vie » par lequel les personnes handicapées, malgré les barrières encore existantes, sont libres et responsables d'envisager différents choix de vie possibles, de faire des erreurs, de connaître des échecs, en un mot d'assumer leurs propres choix.
Les maladies mentales représentent 23 % des handicaps générés par des maladies non-mortelles dans le monde. Une recrudescence inquiétante qui se heurte à l'absence de politique publique. Les tabous ont la vie dure.
« Toute personne ayant une déficience entraînant une incapacité significative et persistante et qui est sujette à rencontrer des obstacles dans l'accomplissement d'activités courantes. » Cette définition s'applique à tout individu, femme ou homme, ayant une déficience.
Le handicap c'est une question de moment, d'environnement et de personne. On peut être handicapé lourdement, parfois de façon permanente. A l'inverse, on peut avoir une maladie grave et ne pas être handicapé dans sa vie de tous les jours. Le handicap, c'est une notion plus sociale que médicale.
Le Défenseur des droits est placé, par les missions qui lui sont conférées par la loi, au cœur des problématiques rencontrées par les personnes handicapées. La Défenseure des droits rappelle que le handicap constitue encore le premier motif de saisine de l'institution en matière de discrimination.
Accompagnant / Accompagnante educatif et social - AES
L'accompagnant éducatif et social (AES) intervient quotidiennement auprès de personnes jeunes ou adultes ayant un handicap physique ou mental important ainsi qu'auprès des personnes âgées dépendantes...
L'accompagnement d'une personne au quotidien ne doit pas être intrusif. L'intervenant extérieur rentre dans la sphère privée de la personne aidée mais aussi de l'aidant. Tout cela se fait dans l'union, la communication : il faut cerner les besoins et surtout, respecter les habitudes de vie, la dignité de la personne.
Faute de reconnaissance officielle, ils sont privés de protection juridique et exclus des services sociaux "essentiels à leur survie et à leur avenir", rappelle l'Unicef. Malnutrition, carence de soins, hygiène défaillante sont autant de facteurs déclencheurs possibles du handicap ou l'aggravant.
Les troubles associés peuvent être des troubles sensoriels, des troubles de la vision et de l'audition, des troubles résultant de l'épilepsie, des troubles du sommeil, des troubles de la motricité, des troubles des fonctions exécutives (processus cognitifs), des troubles somatiques et/ou psychiatriques, des troubles de ...
Familiarisez-vous avec les issues de secours et les équipements d'urgence du lieu où vous habitez et travaillez. Faites installer un bouton d'alarme à votre domicile et à votre lieu de travail pour qu'en cas d'urgence vous puissiez signaler l'endroit où vous êtes et le fait que vous avez besoin d'une aide particulière.
– Échanger et travailler avec une personne en situation de handicap en respectant ses choix et décisions. – Savoir dissocier le handicap moteur ou physique des capacités psychiques. – Participer à la vie sociale et culturelle de la personne.