Donc, pour vérifier une opération de division, il faut à la 3ème étape, multiplier le quotient par le diviseur et puis ajouter le reste. Donnons un exemple : 3454 : 15 = 230 et reste = 4. En haut c'est la somme des chiffres du diviseur. C'est-à-dire 1+5=6.
Pour la multiplication
Supposons qu'on ait calculé 17 × 35. On remplace 17 par la somme de ses chiffres : 1 + 7 = 8, de même pour 35, remplacé par 3 + 5 = 8. Le résultat de 17 × 35 devrait avoir pour somme de ses chiffres la même que 8 × 8 = 64, soit 6 + 4 = 10, lui-même remplacé par 1 + 0 = 1.
Pour vérifier le résultat d'une division, il faut multiplier le quotient par le diviseur. On doit ainsi retrouver le dividende.
C'est une méthode qui propose de procéder rapidement à une première estimation de l'étendue de la brûlure en associant 9% (ou multiples de 9) de surface totale à chaque partie du corps, pour un total de 100, avec 1% pour la zone des parties génitales.
En mathématiques, la règle de trois est une méthode pour trouver le quatrième terme parmi quatre termes ayant un même rapport de proportion lorsque trois de ces termes sont connus. Elle utilise le fait que le produit des premier et quatrième termes est égal au produit du second et du troisième.
En effet, deux nombres congrus modulo 9 ont le même reste quand on les divise par 9. Si l'erreur commise dans l'opération est un multiple de 9, comme c'est le cas lorsque l'on permute deux chiffres, la preuve par neuf ne fonctionne pas, car le bon et le mauvais résultat sont congrus modulo 9.
Prenez l'exemple de l'addition : si un nombre A plus un nombre B est égal à un résultat R, si vous prenez la somme des chiffres du nombre A et que vous les additionnez à la somme des chiffres du nombre B vous obtiendrez aussi la somme des chiffres du résultat R.
Formule utilisée: formule de Boyd : Surface = 0,0003207 x Poids(0,7285 - 0,0188 x log(Poids))) x (Taille0,3).
On peut aussi estimer la surface brûlée (pour les zones disséminées notamment) en utilisant la surface de la paume de la main du patient (doigts compris) qui représente 1% de la surface corporelle.
Pour verifier le resultat d une division il faut connaitre l egalite : D=d x (q+r). Le diviseur mutiplier par le quotient ajouter le reste egal le dividende. Le quotient peut etre un nombre decimal.
En effet, pour vérifier le résultat d'une soustraction, on peut utiliser le résultat trouvé et faire l'opération réciproque, c'est-à-dire une addition. Si on retombe sur le nombre de départ, c'est que le résultat est correct.
Preuve de la division écrite
La preuve de la division se fait par la multiplication du quotient par le diviseur. Quand il y a un reste, on l'ajoute au produit. Si le résultat final est le même nombre que le dividende, c'est que la division était correcte.
La technique la plus naturelle pour démontrer une telle assertion est la preuve directe. Elle consiste simplement à supposer que P est vrai, à faire des déductions logiques à partir de cette hypothèse et à parvenir à montrer que Q est vrai. Montrer que si x et y sont des nombres impairs, alors x+y est un nombre pair.
Pour cela, on trace une croix (type multiplication). Dans la case du haut, on écrit le reste par 9 de la somme des chiffres du premier nombre. Dans notre exemple, 263 donne 2+6+3 soit 11, et on écrit donc 2. En bas, on écrit le reste par reste de la somme des chiffres du deuxième nombre, ici 2.
Un nombre divisé par 9 donne le même reste que la somme de ses chiffres divisé par 9. Cela découle directement de la propriété précédente.
Le poids d'une feuille de papier s'exprimer en m2. Par exemple, quand vous achetez des feuillez pour votre imprimante, il est souvent noté Feuilles A4 en 80 grs / m2. Cela signifie que un m2 de cette feuille pesera 80 grs. Vous l'avez compris, ce n'est pas le poids réel de la feuille, mais le m2.
L'IMC se calcule à l'aide de la formule suivante : poids (kg) / [taille (m) x taille (m)].
Pour tester une égalité, on remplace chaque lettre identique par une même valeur, et on dit si l'égalité est vraie ou fausse pour cette valeur. Dans tout ce cours, on considère l'égalité 3 − 1 = 2 + 5, qui est vraie pour certaines valeurs de , et fausse pour d'autres.
Propriété : une égalité peut être vraie ou fausse. Exemples : 2 + 3 = 6 − 1 est une égalité vraie. 3 + 5 = 9 + 2 est une égalité fausse.
Pour déterminer la solution de l'équation, il faut remplacer l'inconnue par chacune des valeurs proposées et voir celle pour laquelle l'égalité est vérifiée. Si la racine est la bonne alors nous obtiendrons la même valeur numérique dans chaque membre de l'équation.
Le produit est le résultat d'une multiplication. La somme est le résultat d'une addition. Le quotient est le résultat d'une division. La différence est le résultat d'une soustraction.
Par exemple si je fais 56-21, j'enlève 21, il reste 35. Mais si j'ajoute à nouveau les 21 aux 35 restants, je retrouve 56.
Il établit, dans son livre VII, la règle sur les proportions entre nombres entiers : quatre nombres sont proportionnels si et seulement si le produit du premier par le quatrième est égal au produit du second par le troisième.