La première attitude à adopter est de garder le silence. Contrairement à une idée préconçue, le pouvoir n'appartient pas à celui qui prend la parole, mais à celui qui parvient le plus longtemps possible à se taire. Pendant que l'autre parle, vous décelez des traits de caractères, une personnalité, etc.
Se préparer pour le succès. Parlez avec confiance et politesse. Lorsque vous vous rapprochez de quelqu'un avec une proposition ou une question, vous devez vous comporter de manière à partir du bon pied. Vous améliorerez nettement vos chances de faire dire « oui » à quelqu'un si vous peaufinez votre technique d'approche ...
Pour soutenir un point de vue, une opinion, l'énonciateur utilise des arguments. Ce sont des faits ou des idées qui prouvent qu'il a raison. On utilise des des exemples pour rendre plus clair et illustrer un argument.
Première chose : pour être convaincant, il faut éviter de reprendre les mots de la personne dont on essaie de changer l'avis. Ce changement de vocabulaire est perçu comme l'apport de nouvelles idées, d'un autre schéma de pensée. De même, plus une phrase est longue, plus elle est considérée comme convaincante.
Vous pourriez lui dire : « Je sais que tu as parlé de rupture ces derniers temps, mais je veux garder notre relation. Je t'aime et j'espère que tu vas y réfléchir. » Si vous ne pouvez pas discuter dans un moment au calme, essayez d'être la plus calme possible. Restez rationnelle, écoutez-le et n'élevez pas la voix.
Trouvez des solutions. Au lieu de vous focaliser sur les points négatifs de la discussion, essayez de trouver un dénouement ensemble. Défendez votre position calmement et, si la personne n'est pas d'accord ou ne répond pas, laissez lui le temps de réfléchir à ce que vous avez dit. Il/elle reviendra vers vous plus tard.
Avant d'aborder les différentes techniques pour convaincre et persuader, sachez que la durée d'attention de votre interlocuteur se situe entre 10 et 12 minutes. Pas plus. Un court laps de temps qui demande donc une préparation en amont pour être synthétique et donc… Efficace.
Il s'agit de s'adapter au contexte, à la personnalité de l'interlocuteur et de choisir les bons arguments. Assertivité, considération positive, empathie, cohérence et persévérance sont des qualités essentielles à la persuasion. La maîtrise du verbal, para-verbal et non verbal est indispensable.
Pour cela on utilise un certain nombre de petits mots, comme par exemple : "vous affirmer que", "je suppose", "j'ai l'impression", "je crois", "j'imagine", "vous semblez croire que", "vous prétendez que"… Vous voyez que là, vous êtes en train de reprendre l'argumentation de l'individu.
Pour commencer votre argumentation il faut être clair sur vos objectifs : annoncez-les clairement puis argumentez pour les atteindre. Dans la mesure du possible, vos arguments doivent être nourris par des faits précis et indiscutables, afin d'éviter que votre interlocuteur puisse les remettre en cause.
« C'est pour ça », c'est plus familier, c'est moins joli que « c'est pour cela », mais ces deux expressions sont les mêmes : c'est pour ça, c'est pour cela. C'est pareil : ce qui vient après est expliqué par ce qui vient avant.
« Fais comme tu le sens, mais tout est déjà prêt pour le 15 juillet » « Libre à toi de participer, mais ça va être super j'espère que tu viendras ! » « Si tu ne peux pas m'aider tant pis, mais je t'en serais infiniment reconnaissant si tu arrives à faire quelque chose. »