La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
Dans 20 ans, «nous devrions comprendre le climat bien mieux qu'aujourd'hui», répond Alain Royer. Présentement, on a du mal à prévoir les effets de rétroaction. Par exemple, le réchauffement climatique, dû principalement au CO2 dans l'atmosphère, permet aux plantes de pousser plus vite et plus tard en automne.
En 2050, la région verra son nombre de jours de vagues de froid – ces épisodes durant lesquels les températures minimales sont inférieures de 5 °C aux normales pendant plusieurs jours – divisé par deux. Il passera ainsi de 6 à 10 selon les secteurs, à une fourchette de 2 à 5.
Le destin le plus probable pour la planète consiste en son absorption par le Soleil dans environ 7,5 milliards d'années, après que l'étoile sera devenue une géante rouge et que son rayon aura dépassé celui de l'orbite terrestre actuelle.
Le monde est de plus en plus connecté, mais il est aussi plus divisé et plus fragmenté que jamais. Un vrai paradoxe! L'industrie de l'«Internet des objets», qui représentera 64 milliards de dollars en 2025, devrait atteindre plusieurs trillions d'ici 2040.
Vivre ensemble en 2030
Selon eux, dans moins de 10 ans : on aura majoritairement adopté la mobilité douce en ville comme la marche, le vélo, la trottinette ; les villes laisseront plus de place à la nature ; la consommation sera plus durable privilégiant les produits locaux et les circuits courts.
Lorsque nous serons en l'an 2100, beaucoup de choses vont changer. Les robots seront plus présents dans notre vie de tous les jours. Ils feront la cuisine, le ménage et nous livreront les colis, la nourriture et le courrier. Les maisons seront des maisons flottantes car la ville sera une ville flottante.
En 2025, la population mondiale pourrait atteindre de 7,5 à 9,5 milliards d'habitants, contre 5,8 aujourd'hui. En 2040, l'accumulation des gaz à effet de serre pourrait avoir entraîné un réchauffement de 1° C à 2° C de la température moyenne de la planète et une élévation de 0,2 à 1,5 mètre du niveau des océans.
Notre planète va mal: réchauffement climatique, épuisement des ressources naturelles, pollutions des sols et de l'eau provoquées par les industries civiles et guerrières, disparité des richesses, malnutrition des hommes, taux d'extinction effarant des espèces vivantes, etc.
Il y a de fortes chances pour qu'il n'y ait plus la moindre trace d'humanité puisque le réchauffement climatique aura rendu la planète si aride qu'on ne pourra plus survivre aux fortes chaleurs (et ça risque d'arriver un peu plus tôt que dans 3000 ans, mais bon finissez quand même votre tasse de café).
Par exemple, en 2050, l'océan Atlantique pourrait avoir grignoté les côtes de l'estuaire de la Gironde. Saint-Nazaire, Nantes et les rives de l'estuaire de la Loire risquent de ne pas être épargnées non plus, et Noirmoutier pourrait être engloutie.
Du côté du littoral méditerranéen, la Camargue et les villes de Sète, Marseille, Toulon et Nice, subiraient le même sort.
Ce pourrait être le cas, d'ici 2050, de l'Asie du Sud, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen). D'ici 2070, l'est de la Chine et une partie du Brésil pourraient aussi dépasser les 35°C.
La vie sur la terre s'arrêtera dans environ 2,8 milliards d'années, selon une étude menée par Jack o'Malley-James, astrobiologiste à l'université de St. -Andrews.
En septembre 2019 , il publie Devant l'effondrement : Essai de collapsologie, dans lequel il annonce que par effets systémiques l'effondrement mondial devrait se produire entre 2020 et 2040, période durant laquelle la population serait décimée par la famine, les maladies, les guerres, jusqu'à être réduite à deux ou ...
Si la fin du monde c'est la fin de l'univers on en est à des milliards d'années. Si c'est la fin du système solaire, il faut compter 5 milliards d'années. Si on parle de la fin de l'humanité, on ne peut pas trop prévoir. Super explosion volcanique, chute d'une grosse météorite, bombardement cosmique…
Les faits: la Terre est attirée par le Soleil; elle ne tombe pas dessus, mais tourne autour. C'est la même chose qu'un satellite artificiel qui tourne autour de la Terre: il est attiré par elle, mais ne tombe pas parce qu'il tourne.
« Cependant, certains s'inquiètent d'un monde surpeuplé, avec bien trop d'habitants et des ressources insuffisantes pour vivre ». En seulement 250 ans, la population mondiale a été multipliée par sept. Selon les projections de l'ONU, 10,4 milliards de personnes pourraient vivre sur Terre dans les années 2080.
Les scientifiques conviennent que la planète se réchauffe plus rapidement que jamais en raison des grandes quantités de gaz à effet de serre que l'homme rejette dans l'atmosphère, notamment par la combustion d'énergies fossiles (charbon, pétrole et gaz), l'utilisation des voitures et l'abattage des forêts.
Nous ne ferons plus face à de simples gratte-ciel, nous habiterons dans des méga-structures gigantesques, regroupant plusieurs tours. Mais le monde souterrain commencera lui aussi à être colonisé avec des structures d'habitations qui s'enfonceront jusqu'à 25 étages sous terre.
Le futur peut se décliner en trois temps : le futur simple, le futur antérieur et le futur proche. Le futur proche possède un statut particulier, en raison de sa construction avec le semi-auxiliaire aller conjugué au présent de l'indicatif et d'un infinitif.
Le futur simple exprime un fait postérieur par rapport au moment présent, un fait qui n'est pas encore réalisé. Il se forme à partir du verbe à l'infinitif + les terminaisons -ai, -as, -a, -ons, -ez, -ont.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
En 2100 nous vivrons surement dans une planète très chaude suite au réchauffement climatique. Les températures seront très élevées. Nous serons beaucoup sur la planète. Que mangerons-nous ?