antécédent
Élément qui précède et auquel se rapporte un pronom relatif (par exemple homme dans l'homme dont je parle).
1.La proposition relative avec antécédent
La proposition subordonnée, au sein d'un groupe nominal, vient apporter des informations supplémentaires sur le nom. Elle est introduite par un pronom relatif qui remplace le nom. On dit alors que le nom est l'antécédent du pronom relatif.
L'antécédent est le mot que remplace le pronom. Je te parle d'une fille. La fille (dont) je te parle.
En grammaire, l'antécédent (du latin ante, avant, et cedere, marcher) est le nom, le pronom, l'adjectif ou l'adverbe auquel se rapporte un adjectif, ou un adverbe relatif ou conjonctif.
Un pronom relatif représente et remplace son antécédent placé généralement devant lui. Il prend le genre et le nombre de cet antécédent. Un pronom relatif introduit une proposition qui sert de complément à ce nom (ou pronom).
Dans l'alphabet, on a dans l'ordre : x, y et z. y est après x, c'est l'image de x. x est avant y, c'est l'antécédent de y.
Règle générale : les propositions subordonnées sont introduites par un mot de liaison : pronom relatif, conjonction de subordination ou un mot interrogatif. Il pense étudier demain. Les cours l'ennuyant, il préfère rester à la maison. Exceptions : les propositions infinitives et participes dérogent à cette règle.
L'antécédent de 0 est 0. -1 n'admet pas d'antécédent car l'équation x² = -1 n'admet pas de solution (et oui un carré est TOUJOURS positif !)
Dans certains cas, qui peut s'employer sans antécédent ; c'est alors un pronom relatif indéfini : Qui vivra verra. Invite qui tu veux.
Il existe deux catégories de subordonnées relatives : la proposition subordonnée relative adjective (a un antécédent) ; la proposition subordonnée relative substantive (n'a pas d'antécédent).
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où et les formes composées : lequel, auquel, duquel, etc.). Le plus souvent, elle complète un nom ou un pronom (= son antécédent), sur lequel elle apporte des précisions. Sa fonction est alors épithète.
Dans une fonction, l'antécédent est le nombre x qui sert de base au calcul de l'image y par la fonction f.
Réponse : pour déterminer l'antécédent d'un nombre par une fonction linéaire, il faut résoudre une équation. Soit x l'antécédent cherché, on a f(x) = 48 autrement dit 6x = 48, soit x = 486 = 8, donc l'antécédent de 48 par f est 8.
Lire les antécédents sur un graphe
On trace une droite horizontale à partir de la valeur de l'image dont on cherche l'antécédent. On note toutes les intersections entre cette droite et le graphe de f. En chaque intersection, on trace une droite verticale et on lit la valeur de l'intersection avec l'axe des abscisses.
Adam et Ornicar
Mais où est donc Ornicar ? Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
chef. grade d'autorité (chef de gare, chef d'orchestre...)
La proposition subordonnée interrogative est introduite par un mot interrogatif (pronom, déterminant ou adverbe) : elle peut être transformée en question. Ex. : Les gens du village se demandent [si le mauvais temps durera longtemps].
Elle présente toujours trois caractéristiques : - elle est introduite sans mot subordonnant ; - son verbe est à l'infinitif ; - cet infinitif a un sujet qui est exprimé dans la phrase et qui est différent de celui du verbe de la proposition principale.
comme, parce que, sous prétexte que, en raison de, etc. ainsi que, autant que, bien plus que, comme, de même que, davantage que, etc. bien que, même si, quand bien même, quoique, etc. à condition que, à moins que, dans la mesure où, pourvu que, pour autant que, si, etc.
L'antécédent de 3 par f est 1. L'antécédent de 3 par f est 3. L'antécédent de 3 par f est 0. L'antécédent de 3 par f est 6.
À retenir L'image d'un nombre placé sur l'axe de abscisses se lit sur l'axe des ordonnées. Pour lire un antécédent de 1 : on place 1 sur l'axe des ordonnées, on regarde le point de la courbe qui a pour ordonnée 1 (ici c'est N ), un antécédent de 1 est l'abscisse du point N c'est à dire – 4 .
On dit que l'image de 5 par la fonction f est 25. Cette image est unique. L'image de 5 par la fonction f se note f(5). On dit aussi que 5 est un antécédent de 25 par la fonction f.