Questionner les élèves sur ce qui les gêne pour lire vite. Utiliser des outils de référence pour l'entraînement et la mesure des progrès. Utiliser les textes qui ont été travaillés par ailleurs en compréhension. Amplifier et systématiser les activités d'écriture améliorent la fluence.
La fluence est mesurée en « nombre de Mots Lus Correctement en une Minute » (MLCM). Les objectifs de fluence, en fin d'année sont les suivants : fin de CE1 : 70 MLCM fin de CE2 : 90 MLCM fin de CM1 : 110 MLCM fin de CM2 : 130 MLCM ______________________ a obtenu ______ MLCM au test.
Plusieurs textes avec différenciation (syllabes marquées) pour permettre aux élèves d'améliorer leur fluence. Il s'agit de lire au moins 6 fois le texte à 6 moments différents pour améliorer son score de mots correctement lus en une minute.
Intégrez un moment de lecture à sa routine quotidienne, au moment du coucher, par exemple; Lorsque votre enfant commence à savoir lire, demandez-lui de vous faire la lecture d'une histoire à voix haute. Soyez patient. Il lira lentement et fera des erreurs, mais cette activité le motivera et aidera son apprentissage.
Le principe est simple. Il vous suffit de choisir un texte court, entre 50 et 200 mots, et de le lire à voix haute, en suivant les mots avec votre doigt. Après votre lecture, n'hésitez pas à expliquer à votre enfant les mots qu'il ne connait pas ou qu'il n'a pas compris, ainsi que le sens du texte.
À partir de période 3, on commence à entraîner de façon systématique la fluence à partir de 20 mots par minute. En fin de CP, on vise 50 mots par minute. L'efficacité de cette méthode repose sur une organisation ritualisée d'une séance. Elle permet de structurer l'enseignement en d'en faciliter l'explicitation.
La lecture suivie ne doit pas excéder 15 jours pour intéresser les élèves. Son objectif est d'apprendre à l'élève à garder en mémoire les détails du texte long. Lire le texte => repérer les moments importants => pouvoir restituer le texte.
Une lecture fluide est « une lecture précise, assez rapide, réalisée sans effort et avec une prosodie adaptée qui permet de centrer son attention sur la compréhension. ».
Le travail est simple : lire seul ou avec ses parents, et surligner tous les mots / groupes de mots incompris. Cette préparation servira au début de la séance 1. La séance 1 du mardi matin, de 10h30 à 12h00. Elle est divisée en deux temps : tout d'abord, un premier temps d'explicitation collective.
Le test de fluence permet de connaître la capacité des élèves à lire correctement un texte à voix haute. Cette compétence, travaillée dès le cycle 2, doit en effet faire l'objet d'une attention particulière et d'un enseignement explicite de la part des professeurs des cycles 3 et 4.
Pour calculer le MCLM, il faut soustraire le nombre d'erreurs du nombre de mots lus par l'élève et le rapporter à une minute. 247 mots lus en 3 minutes avec 7 erreurs. MCLM = (247 – 7) / 3 = 80 mots correctement lus par minute.
Ces élèves doivent lire à plusieurs reprises des textes de plus en plus longs, jusqu'à parvenir à une fluence d'au moins 50 mots par minute en fin d'année. Les élèves lisent des textes plus longs et plus diversifiés (texte théâtral, documentaire, texte informatif…).
Demander aux élèves d'apporter un livre pour le présenter en classe et en lire des passages à haute voix. Ils essaieront de communiquer leur plaisir. Envoyer un élève dans la classe maternelle ou au CP pour lire une histoire à haute voix devant les plus petits. Un élève vient présenter un livre.
Résumez rapidement l'histoire
Votre but, en effet, est d'éveiller la curiosité de vos camarades, de leur donner envie de lire le livre à leur tour. chiffrée sur 10 ou sur 20, une lettre (A pour très bien, B pour bien, etc.)
Une lecture à voix haute en classe doit ensuite faire l'objet d'un réel travail. Après avoir pris connaissance de l'histoire, l'enseignant doit favoriser une discussion analytique. Autrement dit, il doit inciter les élèves à élaborer une vraie réflexion sur l'histoire et ses éléments clés.
La lecture à voix haute permet de travailler l'expression et la communication. Cette pratique pédagogique permet de respecter le rythme, de développer les compétences requises mais aussi de se distraire et de rêver. Elle permet aussi d'être plus accessible, d'être à l'écoute de chacun, de partager le plaisir de lire.
En effet, des recherches anglophones ont montré que la lecture à haute voix, à travers la médiation de l'adulte, permet aux élèves d'acquérir de nouveaux mots de voca- bulaire, d'être sensibilisés à la structure du récit et d'entrer en contact avec le langage écrit.
L'objectif de la fluence au CE2 est que les enfants puissent lire 90 mots par minute. La fluence signifie également que le lecteur peut lire de la même manière qu'il parle, en utilisant l'expression et en changeant sa voix pour refléter ce qui se passe dans l'histoire.
Il est donc normal au début que sa lecture soit lente, hésitante et saccadée. Les erreurs seront inévitables et heureusement ! Les erreurs sont NORMALES et font parties de l'apprentissage. C'est grâce à elles que le cerveau va faire plus attention.
Un élève de fin CP/CE1 en lit en moyenne 57 Une lecture fluide : 80 mots à la minute. essentielle pour faire progresser les élèves qui maîtrisent le décodage, mais qui restent lents en lecture de textes.
15,3% des élèves de 6ème (et 30% des élèves en éducation prioritaire) lisent avec une fluence inférieure au niveau attendu en fin de CE2, soit 90 mots par minute.