Le gouvernement prévoit une revalorisation des pensions de retraite au 1er janvier 2023, à hauteur de 0,8%, afin de tenir compte de l'évolution des prix à la consommation. Cette hausse intervient alors qu'une revalorisation de 4% des pensions du régime générale est entrée en vigueur, via la loi sur le pouvoir d'achat.
Au 1er novembre 2021, le point augmente d'1%, passant à 1,2841 euros. La hausse des retraites au 1er juillet 2022 ne concerne pas la retraite complémentaire des salariés du secteur privé, puisque celle-ci est gérée par les partenaires sociaux.
28 septembre 2022 : hausse de 4% pour les retraités de la fonction publique d'Etat. 29 septembre 2022 : hausse de 4% pour les retraités de la fonction publique hospitalière. 1er novembre 2022 : hausse de 5% pour les complémentaires Agirc-Arrco. 1er janvier 2023 : hausse de 0,8% pour les retraites du régime de base.
Oui, votre retraite personnelle du régime général est revalorisée de 1,1 %. Cette augmentation a eu lieu début 2022, suite à la publication de l'indice des prix à la consommation. Si vous étiez travailleur indépendant, vos points de retraite sont également revalorisés de 1,1 %.
Oui. Les anciens agents de la fonction publique vont bénéficier de la revalorisation de la pension de retraite au 1er juillet 2022. La pension de retraite de base constitue la majorité de la pension totale. L'augmentation des retraites devrait donc être plus profitable que pour les retraités du secteur privé.
Pour compenser la hausse des prix, la loi du 16 août 2022 portant mesures d'urgence pour la protection du pouvoir d'achat prévoit la revalorisation de 4 % des pensions de retraite et d'invalidité de base, avec effet rétroactif au 1er juillet 2022.
Au 1er juillet 2022, l'article 9 de la Loi n°2022-1158 du 16 Août 2022 prévoit la revalorisation des pensions de retraite avec une date d'effet au 1er juillet 2022. Cette revalorisation de 4% sera appliquée sur le paiement de votre pension du mois de septembre.
Cette année, l'Agirc-Arrco n'a pas pu appliquer le nouveau taux de CSG applicable au 1er janvier 2022. Par conséquent, la CSG sera appliquée sur les pensions de mars, qui subiront également un rattrapage au titre des cotisations CSG des mois de janvier et février.
Le taux de CSG applicable sur ses pensions de retraite pour 2022 est donc de 6,6 %.
Depuis le 1er janvier 2021, la valeur d'un point Agri-Accro est de 1,2841 €. En estimant que notre salarié part à la retraite en 2022 et qu'il a accumulé 2500 points tout au long de sa carrière, il profitera d'une retraite complémentaire de 3210,25 € bruts par an, soit 267,52 bruts par mois.
À noter : les pensions de retraite bénéficient d'un abattement forfaitaire de 10 % plafonné à 3 912 € (pour les revenus 2021) pour l'ensemble des membres du foyer fiscal. Les montants sont pré-remplis sur la déclaration des revenus (case 1AS ou 1BS).
Les pensions de retraite sont soumises à l'impôt sur le revenu, et le taux d'imposition est le même que pour les revenus d'un actif. Il en va de même pour l'abattement de 10% qui est automatiquement appliqué par l'Administration fiscale.
Assuré âgé de plus de 65 ans au 01/04/1983
la retraite calculée en majorant le taux (de 1,25 par trimestre situé après son 65e anniversaire) ; la retraite calculée en majorant la durée d'assurance (2,50 % par trimestre situé après son 65e anniversaire).
Le montant de votre pension de retraite est un pourcentage de votre dernier traitement indiciaire brut. Ce pourcentage dépend du nombre de trimestres liquidables que vous avez. Ce pourcentage est au maximum égal à 75 % de votre dernier traitement indiciaire brut.
Pour un salaire annuel moyen (SAM) d'environ 26 154 € brut (soit 20 400 net correspondant à 1700 x 12), cette personne pourrait percevoir une pension de base de :50% x 26 154 € = 13 077 € bruts par an, soit 1089, 75 € bruts par mois. La retraite complémentaire dépend d'une autre formule de calcul.
Pour avoir droit à une retraite à taux plein, vous devez soit avoir un nombre précis de trimestres d'assurance retraite, soit partir en retraite à 67 ans. Le nombre de trimestres d'assurance retraite exigé pour avoir droit à une retraite à taux plein varie selon votre année de naissance.
L'obtention d'une retraite pleine
Le cas le plus courant est celui des personnes qui atteignent l'âge du taux plein automatique (65 à 67 ans) avec un nombre de trimestres insuffisant. Par exemple, un assuré né en 1957, âgé aujourd'hui de 66 ans, a droit automatiquement à une retraite à taux plein de 50 %.
Puis-je partir ? Oui, vous pouvez partir à la retraite dès que vous atteignez 62 ans. Cependant, votre retraite n'est pas calculée au taux maximum si vous ne réunissez pas le nombre de trimestres nécessaire. Cette réduction (ou "décote") est définitive.
Voici le barème du taux neutre qui s'applique au 1er janvier 2022 : Base mensuelle de prélèvement inférieure ou égale à 1440 euros : 0% Base mensuelle de prélèvement de 1440 euros à 1496 euros : 0,5% De 1496 euros à 1592 euros : 1,3%
Explications. En 2022, si vous êtes éligible à un remboursement d'impôt sur le revenu, celui-ci est intervenu le 21 juillet ou le 2 août. En revanche, si vous devez régler un solde d'impôt sur le revenu, celui-ci sera : prélevé en une fois le 26 septembre pour un montant inférieur ou égal à 300 €
votre retraite de base s'élèvera à 1 500 € bruts (50 % de la moyenne de vos 25 meilleures années) ; votre retraite complémentaire, si vous avez acquis par exemple 5 500 points, s'élèvera à 7 062,55 € par an, soit 589 € bruts par mois.
Exonération fiscale et réduction d'impôt
Depuis 2018, toutes les personnes âgées d'au moins 60 ans peuvent bénéficier d'une exonération de la taxe d'habitation sur leur résidence principale. Un abattement de 30% s'applique en 2021 sans condition de revenus.
Quel montant pour ne pas être imposable en 2021 ? Vous n'aurez pas à vous acquitter de l'impôt sur le revenu en 2021 si vous appartenez à la tranche dont taux d'imposition est de 0 %, votre imposition est nulle : les contribuables dont les revenus n'excèdent pas 10 086 € sont en effet exonérés du paiement des impôts.
1150 euros nets par mois : Selon une étude de l'Observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale (INPES) de 2015, il fallait 1 150 euros par mois, à une personne seule retraitée, pour " vivre décemment ".