Traitements. Il n'existe malheureusement pas de traitement spécifique de l'atrophie cortico-sous-corticale. La prise en charge des sujets atteints doit surtout veiller à compenser leur déficit, que ce soit des troubles de mémoire ou du comportement.
L'atrophie cérébrale correspond à un rétrécissement du cerveau. Elle peut être liée au vieillissement mais aussi à une pathologie neurodégénérative comme Alzheimer.
L'étiologie de l'atrophie peut évoquer : la dénutrition, une mauvaise vascularisation ou innervation, la sénescence, un problème hormonal, une infection ou une maladie (comme la myopathie de Duchenne qui provoque une atrophie musculaire ou la cirrhose qui détruit le foie), une diminution ou une absence d'usage.
L'AMS est une maladie due à la mort des neurones dans certaines régions du cerveau. On parle « d'atrophie » parce que la dégénérescence neuronale entraîne une petite diminution de la masse du cerveau. Cette atrophie est « multisystématisée » parce qu'elle concerne plusieurs zones cérébrales, et donc plusieurs systèmes.
Lorsque la sécheresse est modérée, des gels lubrifiants et autres ovules non hormonaux peuvent la soulager. En revanche lorsqu'elle a évolué en atrophie, il faudra recourir à des procédés plus invasifs mais indolores comme le lipofilling, l'injection d'acide hyaluronique ou le laser MonaLisa Touch.
La maladie d'Alzheimer.
Pour prévenir la dégénérescence du cerveau, il convient que la personne âgée pratique une activité physique régulière pour augmenter l'apport de sang et d'oxygène dans le cerveau. À cela s'ajoute une alimentation équilibrée basée sur un régime méditerranéen.
Passé un certain âge, variable d'un individu à l'autre, une réduction des fonctions cérébrales se produit. La taille de certaines régions du cerveau diminue jusqu'à 1 % par an chez certaines personnes, mais sans perte fonctionnelle.
Les premiers symptômes de la maladie apparaissent vers l'âge de 20 ans, à savoir : de brèves secousses musculaires involontaires (fasciculations) une atrophie des muscles du corps en commençant par les mains (amyotrophie) une limitation du mouvement et une diminution de la force musculaire (parésie)
Des portions du cerveau rétrécissent avec l'âge, ce qui explique la raison pour laquelle la majorité des gens perdent un peu de mémoire en vieillissant, même s'ils évitent des problèmes comme la maladie d'Alzheimer. On sait maintenant que le cerveau des superaînés rétrécit plus lentement que celui des autres.
1. Diminution acquise de poids et de volume d'une cellule, d'un tissu ou d'un organe. 2. Perte ou affaiblissement d'une faculté : Atrophie de l'intelligence.
Comment prévenir les troubles de la mémoire ? Manger sain : Consommer des aliments riches en antioxydants et oméga-3 contribue au contrôle de l'oxydation des cellules du cerveau. Faire du sport : L'exercice physique participe au développement des neurones et baisse le risque de troubles de la mémoire.
Un outil particulièrement remarquable, c'est de lire, lire, lire. Ce que vous voulez, même les magazines, car cela stimule le cerveau. Cela fait faire des associations, vous parlez dans votre tête, cela stimule énormément de zones. C'est vraiment le sport le plus complet pour le cerveau.
Faiblesse musculaire, maux de tête, troubles du sommeil, dérèglement des sens, tremblements, mauvaise coordination… Dès l'apparition des premiers symptômes, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant qui saura interpréter les signaux d'alerte et vous orienter vers un neurologue si votre état le nécessite.
Plusieurs études ont déjà montré que les fruits rouges comme les fraises ou les cranberries ont des effets protecteurs du cerveau et améliorent les performances de la mémoire.
Il faut plutôt s'inquiéter quand l'entourage vous met en garde contre votre attitude : pertes de mémoires fréquentes et sur des sujets que vous maîtrisez habituellement, attitudes bizarres, rangements improbables, troubles du langage et de l'orientation dans des lieux que vous maîtrisez parfaitement jusqu'à présent.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
Accident vasculaire cérébral, traumatismes crâniens, diabète, médicaments, etc.: de nombreux facteurs favorisent l'apparition de démences et la perte de la mémoire. Lorsqu'on parle de démence, on pense aussitôt à la maladie d'Alzheimer.
Une étude révèle qu'un cerveau fatigué réclame des pauses, à moins qu'une incitation financière n'en repousse les limites.