- Vous vous inscrivez sur le site de Pôle emploi www.pole-emploi.fr (si vous n'avez pas accès à Internet, vous pouvez vous rendre en agence). - À la fin de votre inscription, les pièces nécessaires vous seront demandées, en fonction de votre situation (carte vitale, bulletins de salaire, attestation employeur, etc.).
Il faut remplir plusieurs conditions : Avoir travaillé au moins 88 jours ou 610 heures (soit environ 4 mois) sur les 24 derniers mois (ou les 36 derniers mois pour les 53 ans et plus). C'est la condition de durée d'affiliation minimale pour bénéficier du CSP.
Au lendemain de la notification de la décision administrative de validation ou d'homologation du Plan de sauvegarde pour l'emploi (PSE) pour les entreprises d'au moins 50 salariés, en cas de licenciement d'au moins 10 salariés dans une même période de 30 jours.
le salarié doit vous renvoyer ou vous remettre son bulletin d'acceptation complété et signé (copie de carte d'assurance maladie et de pièce d'identité) que vous devez transmettre à Pôle emploi.
Toute déclaration d'une formation doit s'effectuer lors de l'actualisation mensuelle de vos informations, directement depuis votre espace personnel Pôle Emploi en ligne. Cette formalité peut également être effectuée par téléphone.
Qu'en est-il de mes cotisations retraite pendant la durée du CSP ? Les périodes indemnisées au titre de l'ASP sont comptabilisées par les caisses de retraite. Par ailleurs, vous cumulez des droits auprès des régimes de retraite complémentaire selon les mêmes modalités que les bénéficiaires de l'assurance chômage.
L'indemnité versée en cas de licenciement (hors plan de sauvegarde de l'emploi) est en partie exonérée d'impôt sur le revenu. Le montant correspondant à l'indemnité fixée par la loi ou la convention collective est exonéré en totalité.
Cette prime de reclassement est accessible uniquement aux bénéficiaires du CSP qui avaient au moins 1 an d'ancienneté dans l'entreprise au moment de leur licenciement économique. La prime est versée en deux fois : une 1ère fois à la reprise d'activité, une 2ème fois 3 mois plus tard s'il a conservé son emploi.
Durant la période au cours de laquelle il bénéficie du CSP, le salarié peut travailler, soit en CDD, soit en contrat intérimaire. La durée de chaque contrat doit être toutefois comprise entre 3 jours et 6 mois. Le cumul total des périodes d'activité professionnelle ne doit cependant pas être supérieur à 6 mois.
Dernier inconvénient mais non des moindres : l'ancienneté du salarié. Malheureusement, les personnes en exercice depuis moins de 12 mois ne peuvent prétendre à une allocation de sécurisation complète. Au lieu de 75 %, il touchera immédiatement l'allocation chômage, soit 57 % de son ancien salaire brut.
Au moins 1 an d'ancienneté dans l'entreprise: vous devez verser une somme équivalente à l'indemnité de préavis (ainsi que les charges patronales et salariales correspondantes) que le salarié aurait perçue, dans la limite de 3 mois de salaires. Vous devez verser cette contribution à Pôle emploi et non à l'Urssaf.
Elle ne peut pas dépasser 75 % du salaire journalier de référence ni être inférieure à 57% de celui-ci, et son montant maximal est limité à 256,96€ par jour. Cette allocation ne vous sera pas versée immédiatement après votre inscription à Pôle emploi.
Tout d'abord le salarié qui en bénéficie touchera pendant un an, soit la durée du CSP, une rémunération correspondant à 75 % de son salaire au lieu de l'indemnité chômage de 57 %.
- Vous vous inscrivez sur le site de Pôle emploi www.pole-emploi.fr (si vous n'avez pas accès à Internet, vous pouvez vous rendre en agence). - À la fin de votre inscription, les pièces nécessaires vous seront demandées, en fonction de votre situation (carte vitale, bulletins de salaire, attestation employeur, etc.).
Vous avez 12 mois après la fin de votre contrat de travail pour vous inscrire à Pôle emploi et faire valoir vos droits aux allocations chômage. C'est le délai de forclusion.
Le bénéficiaire, quel que soit son âge, doit avoir reçu une indemnité pendant plus de 12 mois avant de reprendre une activité professionnelle ou de plus de 50 ans. Ensuite, il doit prendre un nouvel emploi chez un autre employeur que le précédent. S' il s'agit d'un SDR, sa durée doit être d'au moins 30 jours civils.
Suite à un licenciement économique, le salarié bénéficie : D'indemnité de licenciement légale, ou l'indemnité conventionnelle si elle est plus avantageuse. D'une indemnité compensatrice de préavis (sauf si le salarié dont l'ancienneté est supérieure à un an a souscrit au contrat de sécurisation professionnelle)
Quels sont les avantages du CSP ? Le CSP est classiquement plus avantageux s'agissant du montant de l'allocation chômage, du délai de carence et d'un accompagnement personnalisé par Pôle Emploi du salarié qui en bénéficie.
La durée d'indemnisation ne peut pas dépasser : 24 mois (2 ans), soit 730 jours calendaires, pour tous ceux qui ont moins de 53 ans* ; 30 mois (2 ans et demi), soit 913 jours calendaires, pour ceux qui ont 53 ou 54 ans* ; Et 36 mois (3 ans), soit 1 095 jours calendaires, pour les 55 ans* ou plus.
L'ASP est versée dès le début du CSP, c'est-à-dire au lendemain du délai de réflexion de 21 jours. Pour que l'allocation soit versée, l'allocataire doit actualiser sa situation tous les mois auprès de Pôle emploi.
Dans le cadre du CSP (contrat de sécurisation professionnelle), le montant versé par l'employeur à Pôle emploi correspond à l'indemnité compensatrice de préavis, dans la limite de 3 mois de salaire sans droit aux congés payés, majorée d'un taux de charges sociales (ensemble des charges salariales et patronales) arrondi ...
Ces sommes sont à mentionner dans la rubrique "Traitements et salaires", au niveau des "Revenus d'activité connus" (cases 1AJ à 1DJ) ou des ''Revenus exceptionnels" (case 0XX) de votre déclaration de revenus quel que soit le montant imposable.
Malheureusement, oui. Les sommes que vous percevez à la fin de votre contrat sont soumises à l'impôt sur le revenu. Elles doivent être mentionnées dans votre déclaration de revenus, dans le cadre 1, consacré au Traitements et salaires (formulaire 2042), en case 1AJ à 1DJ.
les autres ressources, même les ressources non imposables : pensions alimentaires ou compensatoires, pensions de retraite, de réversion, pension invalidité, rentes accident de travail, les rentes orphelin, éducation, les revenus de l'argent placé (livret , assurance vie, PEL , etc.), les loyers perçus en nom propre ou ...