C'est le phénomène de l'effet de serre naturel. Sans cet effet de serre, la température à la surface de la Terre serait de -18°C et la vie, si elle s' y avérait possible, serait fort différente. Le Soleil nous envoie un rayonnement composé d'un peu d'ultraviolets, et surtout de lumière visible et d'infrarouge proche.
Les gaz à effet de serre empêchent en effet les rayonnements infrarouges d'être renvoyés de la terre vers l'espace. L'effet de serre, phénomène naturel, est donc la condition indispensable à la vie sur terre. Sans lui, la température de notre planète serait alors de -18°C, contre une moyenne actuelle de 15°C.
L'effet de serre est déséquilibré par les activités humaines, en particulier l'utilisation des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon). Celles-ci provoquent artificiellement l'augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère et, par conséquent, accentuent le réchauffement de notre planète.
Sans effet de serre naturel, la vie ne serait pas possible sur terre: au lieu d'une température de 15 °C en moyenne sur toute la surface du globe, il y régnerait un froid polaire de -18 °C.
Ce thermostat naturel, appelé « effet de serre » est normal. La température moyenne de l'air à la surface de la Terre est d'environ + 15°C. Ce mécanisme empêche la Terre de se refroidir librement en absorbant puis en réémettant (vers le bas et vers le haut) une partie du rayonnement émit par la surface.
En effet, les gaz à effet de serre permettent de capter les rayonnements infrarouges et de réchauffer le climat. Sans l'effet de serre, la température sur Terre avoisinerait alors les -18°C !
De jour, l'absorption du rayonnement solaire est bien supérieure à l'émission du sol à travers l'atmosphère si bien qu'au final le sol chauffe sur une faible épaisseur dizaine de centimètres. La nuit, l'absorption du rayonnement solaire n'a plus lieu et le sol se refroidit vers le ciel à travers l'atmosphère.
Origine des gaz à effet de serre (GES)
Le dioxyde de carbone (CO2) : bien moins présent dans l'atmosphère que la vapeur d'eau, le CO2 participe à 25% de l'effet de serre car sa capacité à retenir la chaleur est très élevée. Le méthane (CH4) Le protoxyde d'azote ou oxyde nitreux (N2O) L'ozone (O3)
Il s'agit principalement des éléments uranium, thorium et potassium. Par exemple, la désintégration du noyau de l'uranium 238 donne en moyenne 6 neutrinos en même temps qu'elle libère 52 méga-électron-volt d'énergie portée par les particules émises qui s'arrêteront dans la matière et déposeront de la chaleur.
L'effet de serre est un phénomène très sensible aux variations de la composition de l'atmosphère. L'augmentation des émissions de GES modifie cette composition, provoquant une augmentation de l'effet de serre. Ce déséquilibre entraîne un réchauffement planétaire qui modifie les climats.
Les températures élevées augmentent également la concentration d'ozone, ce qui peut endommager le tissu pulmonaire et causer des complications chez les asthmatiques et les personnes souffrant de maladies respiratoires.
L'effet de serre est un phénomène naturel par lequel une partie de l'énergie solaire qui est émise par la terre est absorbée et retenue sous forme de chaleur dans la basse atmosphère. L'effet de serre est causé par des gaz contenus dans l'atmosphère, principalement la vapeur d'eau.
Lorsque l'énergie absorbée est réémise, une partie du rayonnement est renvoyée vers la Terre, et la surface terrestre ainsi que la basse atmosphère sont réchauffées. Ce processus s'appelle l'effet de serre.
Outre le réchauffement planétaire, les augmentations de différents gaz à effet de serre ont d'autres effets tels que: l'acidification des océans, la brume de pollution (smog), la destruction de la couche d'ozone ainsi que les changements de croissance et nutrition des plantes.
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
C'est là que par un échange avec l'air tout proche, le sang perd une bonne partie de son dioxyde de carbone que l'on rejette ensuite en expirant (l'air que l'on avait inspiré, lui, n'en contenait presque pas).
Le méthane est le principal responsable de la formation de l'ozone troposphérique, un polluant atmosphérique dangereux ainsi qu'un gaz à effet de serre, dont l'exposition provoque chaque année un million de décès prématurés (en anglais). Le méthane est également un puissant gaz à effet de serre.
Difficilement, car sans lumière les plantes disparaîtraient, suivies des animaux. Par ailleurs, sans la chaleur du soleil, la surface terrestre se refroidirait jusqu'à atteindre la température de l'espace: environ –270 °C.
Le Sahara n'est Sahara qu'en vertu du manque d'eau, et il ne manque d'eau que par suite de l'extraordinaire rareté des pluies, et il ne manque de pluies qu'à cause de la difficulté de la condensation d'humidité par suite du régime des vents.
Les experts du climat sont formels : la terre se réchauffe et à un rythme soutenu. En cause, l'augmentation des gaz à effet de serre d'origine humaine, avec pour conséquences des crises sanitaires, écologiques et humanitaires dont nous voyons les prémices.
L'accumulation du dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère contribue pour 2/3 de l'augmentation de l'effet de serre induite par les activités humaines (combustion de gaz, de pétrole, déforestation, cimenteries, etc.). C'est pourquoi on mesure usuellement l'effet des autres gaz à effet de serre en équivalent CO2 (eq.
La hausse des émissions de gaz à effet de serre modifie cette composition, provoquant une augmentation de l'effet de serre. La chaleur est piégée à la surface de la Terre. Ce déséquilibre entraîne un réchauffement planétaire. Depuis le début du XXème siècle, la température de la planète a augmenté de 1,1°C.
Il en résulte que si la vapeur d'eau restera toujours le principal gaz à effet de serre, le dioxyde de carbone reste pour l'instant le principal responsable du réchauffement climatique.