Changements ou manifestations physiques : modification de la forme d'un sein, perte de poids inexpliquée, nouveau grain de beauté ou modification d'un grain de beauté, apparition d'une grosseur ou d'un gonflement qui ne diminue pas, quel qu'en soit l'endroit, voix rauque ou enrouée, difficultés à avaler, importantes ...
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
- des examens d'imagerie : radios, échographies, scanners, Imagerie par Résonance Magnétique (IRM), scintigraphie. Ces tests et examens peuvent aider au diagnostic. Ils aideront surtout à localiser la tumeur, à évaluer son étendue et à savoir si elle est opérable ou non par un chirurgien.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
A quoi est due cette peur ? La peur du cancer est souvent une peur irraisonnée, car pour beaucoup, il est synonyme de mort. Lors de l'annonce de cette pathologie, les malades sont souvent anéantis et étouffés par une immense angoisse, parfois avec un sentiment d'incompréhension (pourquoi moi ?) et d'injustice.
Symptômes du cancer les plus fréquents
Si vous perdez 5 à 10 % de votre poids en 6 mois, cela peut être un symptôme de cancer. Un cancer peut également provoquer une fatigue persistante. Si vous vous sentez souvent fatigué, sans raison apparente, cela peut être un signe de cancer.
Au total, les connaissances actuellement disponibles sont contradictoires et ne permettent pas d'établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer. Le cancer peut en revanche générer un stress chez les patients atteints de cancer et leurs proches.
La probabilité pour un individu d'avoir un cancer au cours de sa vie est actuellement évaluée, sur la base de l'incidence 1988-1992, à 46,9 % pour les hommes (soit près d'un homme sur 2), et 36,6 % pour les femmes (soit plus d'une femme sur 3) (Ménégoz et Chérié-Challine, 1998).
Pour qu'un cancer fasse mal, il faut que la tumeur ou des métastases* touchent, compriment ou envahissent une partie sensible du corps. Ce sont les conséquences de la tumeur et ses effets sur le corps qui produisent des douleurs. L'apparition de douleurs dépend de la localisation de la tumeur.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
Stress, hérédité, surpoids, comportements à risque, pollution, peuvent être autant d'éléments d'explication envisageables mais pas seulement. Car « le cancer est une maladie multifactorielle, [et] aucun facteur isolé n'est capable de provoquer la maladie à lui seul. »
Habituellement, le cancer du côlon évolue silencieusement, parfois des années durant, avant de provoquer le moindre symptôme. Lorsque les symptômes apparaissent, il s'agit essentiellement de douleurs abdominales, d'une modification du transit intestinal et de la présence de sang dans les selles.
Le cancer foudroyant est une maladie qui se propage très rapidement. Certaines tumeurs comme au pancréas, au sein, au cerveau ou au poumon peuvent survenir foudroyants.
L'étude « Face », menée en partenariat avec la Société Française de Psycho-Oncologie (SFPO), confirme le rôle essentiel de l'entourage : 82 % des patientes atteintes d'un cancer du sein peuvent compter sur le soutien moral de leur noyau familial qui fait bloc contre la maladie. Le conjoint est le principal soutien.
La fatigue est le symptôme le plus fréquent chez les personnes atteintes de cancer. C'est également l'effet secondaire le plus courant du traitement du cancer. La fatigue est un manque d'énergie, une lassitude ou un épuisement généralisés.
Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
L'hypocondrie se manifeste en général par différents schémas comportementaux, comme : le fait de scruter régulièrement son corps ; s'inquiéter de manière obsessionnelle du fait d'être malade ; faire une fixation sur un symptôme bénin et être persuadé de sa gravité.
Avoir une bonne hygiène de vie
Dormir suffisamment, manger équilibré, éviter les excès en tous genres, savoir se relaxer éloignent les crises d'hypocondrie. Une mauvaise hygiène de vie entraîne des dérèglements du corps, bénins s'ils sont ponctuels.
La personne hypocondriaque ne craint pas d'attraper une maladie : elle est persuadée d'être déjà malade. Elle s'inquiète des suites de sa pathologie, invente des scénarios catastrophes et rumine beaucoup." Ne pas confondre avec la peur d'attraper des maladies, qui est la nosophobie.