Pour pouvoir se libérer d'une mère toxique, il est essentiel de d'abord se sentir libre d'être qui on est en sa présence. Alors n'hésitez plus à exprimer vos besoins, vos désaccords et vos positions face à elle, quitte à la vexer ou la décevoir.
De manière générale, on désigne, par "mère toxique", une mère qui ne sait pas tenir compte de l'individualité et de la personnalité de son enfant. Tournée vers ses propres besoins, elle utilise l'enfant pour son principal profit et, au lieu de favoriser son bon développement, va contribuer petit à petit à le détruire.
La mère toxique est excessivement contrôlante, que ce soit dans la pensée de l'enfant comme dans son comportement. Elle l'empêche d'être libre, de penser, de choisir, de faire ce qu'il entend et même ce qui l'épanouit, tout simplement. Il s'agit là du profil de la “mère intrusive”.
Autre piste de réflexion, votre colère peut également provenir d'une trop grande satisfaction de vos désirs. En effet, si votre mère a tenté de combler toutes vos envies, vous pouvez vous en sentir encore dépendante. Dans les deux cas, vous essayez de vous détacher d'une force maternelle étouffante.
Non, il n'est pas obligé d'aimer sa mère du point de vue du devoir, si celle-ci lui nuit et ne lui porte elle-même aucun amour. Mais de là à dire qu'on peut réellement ne ressentir strictement aucun amour pour sa mère, quel que soit son comportement, il est plus compliqué d'y répondre.
Ca s'explique par le fait que ma mère n'est pas très câline et tactile. C'est dans son caractère, elle est réservée là- dessus, et a du mal à montrer ses sentiments. A vrai dire, c'est la même chose pour moi. Je n'ose pas aller vers elle et la câliner, ça n'est pas dans mes habitudes, et je suis aussi réservée.
Il y a différents profils, commela mère intrusive, celle qui est autoritaire, la défaillante, la jalouse, la dominante... Souvent, cela découle de leur propre histoire personnelle. Elles ont pu manquer d'amour maternel et ne peuvent pas donner ce qu'elles n'ont jamais reçu.
Le manque de temps n'est pas la seule chose qui fait culpabiliser les parents. Le manque de patience (54%), mais aussi le stress (près d'un parent sur deux se déclare stressé, voire très stressé) sont en tête de liste.
Les mères narcissiques qui se sentent accablées par la maternité négligent leurs enfants, elles leur mettent la honte et les critiquent, parfois parce qu'elles sont trop nécessiteuses ou enfantines. Elles sont elles-mêmes dans le besoin et ne peuvent pas subvenir aux besoins de leur enfant.
Vous avez le sentiment que votre vie d'adulte aurait pu être nettement plus épanouissante si vous aviez eu des parents différents. Vous êtes particulièrement peiné. e lorsque vos parents critiquent vos choix, votre mode de vie. Leurs propos ont tendance à vous blesser profondément et de façon assez récurrente.
Toujours dans une approche stratégique que l'on pourrait qualifier de salutairement égoïste, pardonner, non pas pour absoudre l'autre de sa responsabilité, mais dans le simple but d'aller mieux, peut-être en leur trouvant des circonstances atténuantes, peut permettre de sortir de la position de victime et de dépendance ...
Quelles sont les éventuelles séquelles pour l'enfant? Un manque d'estime de soi. La mère ne lui donnant pas la sécurité affective dont il a besoin, il aura tendance à penser en grandissant qu'il n'est pas assez bien pour être aimé. Ces blessures peuvent être atténuées s'il peut créer un lien d'attachement avec le père.
Faire preuve d'affirmation de soi : reconnaître ses droits, apprendre à dire non, se fixer des limites et les défendre de manière claire et directe sans crainte de conséquences possibles. Assumer le rôle qui vous correspond : en tant que fils ou fille, ne soyez en aucun cas un père ou une mère ou un protecteur.
Si les conflits entre mère et fille sont inévitables, c'est parce qu'il s'agit de deux femmes, qui cherchent d'abord à élaborer, ensuite à séparer leurs destins féminins. Il n'y a pas de lien mère-fille simple: la normalité est que celui-ci soit fait d'accords et désaccords, d'éloignements et réconciliations.
La clé pour ne plus laisser une mère intrusive prendre le contrôle de sa vie, c'est la confiance en soi. Ne plus douter, savoir ce qui bon pour soi et ce qui ne l'est pas, prendre le contrôle de sa vie, s'imposer en tant qu'adulte et ne plus accepter d'être toujours traitée comme son enfant.
Pour cela, une seule solution : faire une pause et pratiquer l'écoute active. Cessez de parler. Posez-lui des questions et reformulez clairement ce qu'elle vous dit. Vous comprendrez mieux son point de vue et elle se sentira, de son côté, davantage écoutée.
Pour agacer et surtout déstabiliser sa belle-mère toxique, il faut garder son calme. Inspirer de manière profonde avant d'agir, et répondre par un silence. C'est la meilleure façon de contrer à sa façon de faire.
Une relation est dite toxique, lorsqu'elle engendre une souffrance pour la personne au sein de celle-ci. Il peut s'agir d'une souffrance physique ou psychique, prenant un caractère envahissant et qui va handicaper le quotidien de la personne issue de cette famille.
Un comportement destructeur pour la fille
La mère jalouse peut également rabaisser systématiquement sa fille, l'empêcher de voir ses amis. Cette rivalité s'opère aussi dans les tenues vestimentaires, où "l'on ne sait plus qui est la mère et la fille", illustre Yves Morhain.
Dès que vous décidez de rompre la relation avec le parent qui vous a fait du mal, vous pouvez décider de lui parler pour l'informer. Faites-lui savoir que vous n'allez plus lui rendre visite et que vous ne répondrez plus à ses appels téléphoniques ou à ses tentatives de vous contacter.