Vaquant, avec -qu-, participe présent du verbe vaquer. Inva-riable : les tribunaux vaquant en été, cette affaire ne pourra être plaidée qu'à la rentrée ; je l'ai vue vaquant à ses occupations.
3Il se dit des tribunaux lorsque les fonctions ordinaires y cessent pendant quelque temps. La cour vaque pendant tel temps. 4Vaquer à, se livrer, s'adonner à, s'occuper de (pour la transmission du sens d'être vacant au sens de s'occuper, comparez se livrer à, qui vient du latin liberare).
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
Être sans titulaire, être libre; devenir, être vacant.
Synonyme : activité, affairement, besogne, distraction, divertissement, loisir, passe-temps, tâche, travail. Contraire : désœuvrement, inaction, inactivité, inoccupation, oisiveté, repos.
occupation
Période pendant laquelle la France a été occupée par les troupes allemandes (1940-1944). [Avec majuscule.] 3. Action d'occuper un lieu, un local, d'y habiter, d'y travailler : Occupation insuffisante d'un appartement.
nom féminin. Ce à quoi on consacre son activité, son temps.
Cesser pour un temps ses activités : Les écoles vaqueront deux jours. Consacrer son temps à ; s'appliquer à, s'occuper de : Il vaque à ses affaires.
Personne peureuse ; lâche. REM. Parfois employé au féminin pour désigner un homme : Ce type, c'est une vraie baltringue !
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps. 1. a) [L'antécédent désigne un lieu, au propre ou au fig.]
Nom commun. (Argot) (Péjoratif) Mouchard ; personne qui dénonce ; balance. (Argot) Traitre ; renégat.
couard, couarde
Littéraire. Qui manque de courage ; poltron, lâche, capon.
Familier. Personne naïve ou peu courageuse, au comportement ridicule, voire stupide ; bouffon : Tu nous as lâchés au dernier moment, t'es qu'un bolos !
Occupation divertissante. Synonyme : délassement, dérivatif, distraction, divertissement, hobby, loisir, occupation, récréation, violon d'Ingres.
Alors qu'elle n'est pas envisagée par l'article 712 du Code civil, l'occupation est selon des auteurs « le prototype de l'acquisition originaire »[1]. Elle consiste pour une personne à appréhender une chose sans maître, abandonnée ou perdue avec la volonté d'en devenir propriétaire.
Ce : pronom démonstratif
Lorsque ce est pronom démonstratif, il s'emploie à la place d'un nom commun ou d'un groupe nominal, et occupe une fonction nominale dans la phrase. Il précède généralement un pronom relatif. Exemple : “Ce dont nous parlons est important.” ; “Je ne comprends pas ce que tu me dis.”
Différence entre a et à
- a provient du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif : il a. - à est une préposition. La façon la plus simple pour les distinguer est de mettre la phrase dans un autre temps comme l'imparfait. À l'imparfait, "a" devient "avait" tandis que "à" ne change pas.
« Ou » sans accent et « Où » avec accent grave sont des homophones grammaticaux. Leur prononciation identique nous conduit souvent à faire des erreurs et à les confondre. « Ou » sans accent est une conjonction de coordination tandis que « Où » avec accent grave est un adverbe ou un pronom.
Définition "poltronne"
Qui manque de courage, timide et lâche.
Contraires de loyal en parlant de quelqu'un
Une personne loyale est sincère, elle respecte les codes de l'honneur. Dans le cas inverse, on qualifie la personne de malhonnête , perfide , fourbe , fausse . Citons aussi hypocrite , trompeur , sournois , imposteur et menteur comme autres antonymes.
Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ». Tantôt elle sera teintée d'humour, tantôt elle sera accusatrice, un peu comme on dirait « pauvre type ! ».
Dès le début du XVIIIe siècle, daron signifie « père » et c'est aussi, selon le Trésor de la langue française, un « sobriquet que les ouvriers donnent à leurs bourgeois ». S'il continue à signifier « patron » ou « père », daron désigne aussi « un tenancier de cabaret » au XIXe siècle.