Se parler durant une action permet de cadrer les gestes, de ne pas s'éparpiller, et d'être ainsi plus "clair". Précisément, cela permet de se concentrer et donc d'être plus efficace, et même de réfléchir et d'analyser une situation plus rapidement que la moyenne.
S'exprimer à l'oral demande avant tout de savoir placer des mots variés pour que votre cible puisse vous comprendre en une seule phrase. Oubliez le superflu et travaillez votre expression orale : diction, expression, comparaison, métaphore, etc. Tout est bon pour que vous puissiez faire la différence.
Pour Antoine Pelissolo, la meilleure manière de faire face à la timidité est de prendre l'habitude, de s'entraîner, de maîtriser la chose. Le théâtre peut aider, car souvent on joue un rôle. Le métier, quel qu'il soit, peut être également une bonne manière de vaincre sa timidité.
Arrêtez de préjuger de ce que pensent les autres. Invitez-les à parler d'eux. Développez l'écoute active, par des mouvements de la tête, en reformulant le discours de votre interlocuteur, en rebondissant sur ce qu'il est en train de vous dire plutôt que de penser à votre prochain monologue.
Le titre de mon exposé est ... Aujourd'hui, nous sommes réuni(e)s ici pour parler de… / aborder la question / débattre de … Aujourd'hui, nous allons parler de … Présentation du titre Dans mon exposé, je vais parler de / je vais vous présenter/montrer..
Prononcez la phrase à voix haute pour entendre les différents sens que donnent les différentes intonations. Pour apporter ces variations à votre façon de parler au quotidien, lisez à voix haute tous les jours et efforcez-vous de varier votre intonation sur différents mots pour exprimer différentes émotions.
Répétez votre texte à voix haute, d'abord seul(e), puis éventuellement devant votre famille. Vous pouvez même le faire face à un miroir, ou bien vous filmer. C'est un bon moyen de s'évaluer, de repérer ce qui ne va pas, et de prendre confiance. Une bonne maitrise du sujet aidera aussi à se sentir plus à l'aise.
"Tous ceux qui coupent la parole aux autres de façon systématique, agissant tels des envahisseurs, ont un déficit dans la capacité à s'intéresser à autrui, à penser qu'ils peuvent apprendre quelque chose de l'autre ou à être curieux de ce qui se passe dans la tête de l'autre.
Conseil N°8 : Parler lentement
Ainsi, évitez de parler trop vite même si vous êtes très enthousiaste. Présenter plusieurs informations dans une seule phrase, c'est aussi déconseillé. En outre, prenez une pause après avoir prononcé quelques mots.
Ne parlez pas trop fort.
Faites en sorte de baisser votre voix quand vous parlez aux gens et attendez le bon moment pour attirer leur attention plutôt que de parler si fort que l'on soit obligé de vous écouter. N'interrompez pas non plus brusquement les gens pour essayer d'exprimer votre point de vue.
Vous lisez ce texte et il est plus que probable que vous vous entendiez le lire dans votre tête. Ce phénomène porte un nom: inner speech, traduit en français par parole intérieure.
Parler tout seul est un bon signe!
En effet, des scientifiques de l'Université de Bangor au Royaume-Uni ont mené une étude qui le confirme. Parler à voix haute développe des bienfaits cognitifs ! Les personnes qui utilisent cette pratique, supposée être un réflexe, peuvent être très intelligents.
Dabney, psychothérapeute exerçant à Virginia Beach (Virginie), fait savoir qu'il est “tout à fait normal de se parler à soi-même”. Il ne s'agit pas nécessairement d'une habitude vouée à disparaître en grandissant ou d'un signe de maladie mentale mais d'une pratique bien plus courante qu'on ne pourrait le penser.
Parler avec constance, même si vous êtes avec beaucoup de gens, est un signe de classe, car cela signifie que vous avez suffisamment confiance en vous pour n'avoir pas besoin de crier pour attirer l'attention des gens.
Bien parler, c'est autrement dit bien savoir s'exprimer. Cette expression renvoie à ce que le langage populaire appelle le « beau parleur », autrement dit, celui qui sait persuader, qui subjugue les foules voire qui peut les manipuler.
Poussez volontairement la voix, sans crier, forcez vous à parler à la limite du supportable pour vous. C'est à ce moment là que vous atteindrez le niveau sonore optimal pour que vos interlocuteurs puissent vous entendre correctement. Une conversation normale tourne autour de 60 décibels.
« Arrivez la tête haute, avec le sourire et regardez l'assemblée pour capter son attention », explique Philippe Janiaux. Et si vous ne vous sentez pas à l'aise, mieux vaut le dire. « Il faut éviter de masquer son émotion à tout prix, soyez honnête et dites à votre auditoire que cet exercice n'est pas évident pour vous.
Bonjour Messieurs-dames. Bonjour Mesdames/Madame, bonjour Messieurs/Monsieur : pensez-y en arrivant face au jury.
Quelques mots sur qui vous êtes suffisent ! Par exemple, vous pouvez donner votre nom, votre âge et dire ce que vous aimez faire dans la vie, tout simplement ! Pas besoin d'écrire un pavé, quelques phrases suffisent. Décrivez vos passions et expliquez d'où elles vous viennent et comment vous les vivez.
Les causes
La « difficulté à parler » peut avoir des origines diverses. Il peut s'agir de situations bénignes comme celle d'une personne qui a « perdu sa voix » dans le cadre d'une infection des voies respiratoires ou de situations graves comme celle d'une personne victime d'un accident vasculaire cérébral (AVC).
Il faut que votre interlocuteur sache quels sujets aborder. Rien qu'avec ma réponse ci-dessus, vous avez donné trois indications à votre interlocuteur : j'aime mon travail – mon type de travail – ma passion hors travail. C'est tellement plus facile par la suite pour votre interlocuteur de savoir quoi dire.