Tout commence lorsque le fiancé présente la fiancée aux parents et en présence des fiancés, les deux familles se fixent une date pour la dot. Le jour de la dot, le fiancé et sa famille se rendent chez la fiancée. Après les préparatifs les invités s'installent et la cérémonie débute.
Une dot désigne dans le langage courant l'apport de biens par une des familles, ou par le fiancé, au patrimoine de l'autre, ou du nouveau ménage ; elle accompagne le mariage dans de nombreuses cultures. Il peut s'agir de biens dont la femme ou le mari sont dotés par leurs familles, mais aussi d'un don entre époux.
En effet, la valeur de la dot qu'une famille est en mesure d'établir conditionne les opportunités matrimoniales de la fille, et donc le choix du milieu social dans lequel le mariage aura lieu.
Selon la coutume : que représente la dot ? Muhima Sikilivu : Une dot ce n'est pas de l'argent, ni de la richesse pour la famille. Mais c'est un symbole sacré qui représente : l'honneur, le respect, la reconnaissance ou de la gratitude d'une famille envers une autre.
Elle est indisocciable du mariage coutumier ou traditionnel. La dot consiste pour la famille du fiancé à offrir à la famille de la fiancée, lors d'une cérémonie solennelle, un ensemble d'objets et de cadeaux, en espèces ou en nature, et d'accomplir certains rituels afin d'unir les futurs époux.
La dot est un symbole fort du mariage coutumier. Elle est une grande marque de considération pour l'homme et la femme. Il paraît ainsi très important pour le jeune, appelé à découvrir sa vocation, de disposer de toute la connaissance relative cette dernière.
Fonction et processus de désignation des chefs traditionnels
On distingue chez les Bassa-Mpoo (Bassas et Elog Mpoo), deux types de dirigeants, les chefs traditionnels et les patriarches.
Exode 22 :16-17 «Si un homme séduit une vierge qui n'est point fiancée, et qu'il couche avec elle, il paiera sa dot et la prendra pour femme. Si le père refuse de la lui accorder, il paiera en argent la valeur de la dot des vierges.
Toquer à la porte
Pour cela, il doit venir rencontrer le père de sa future épouse – pas bras ballants hein, avec un « Quatre Côtés » une sorte de whisky conditionné dans une bouteille carrée – pour lui signifier son désir de rencontrer la famille entière pour leur annoncer sa candidature officielle.
Pour que le mariage religieux musulman soit valide, il faut suivre 4 règles : consentement, présence du tuteur, présence de témoins, et présence de la dot de mariage. De nombreux hadiths de mariage (recueil d'actes et de paroles de Mahomet et ses compagnons) encadrent les règles du mariage halal.
La cérémonie doit se dérouler devant deux témoins au minimum. Parmi eux, des hommes obligatoirement, on comptera le père ou le frère de la mariée. La cérémonie dure une trentaine de minutes et peut se dérouler dans divers endroits : A la mairie, à la mosquée, au futur domicile du couple ou bien celui des parents.
Ces paiements peuvent être classés en deux catégories : la dot dans les pays asiatiques implique des paiements effectués par la mariée au marié et à sa famille ; et la dot en Afrique (« prix de la mariée »), où c'est le futur époux et sa famille qui la paient à une future épouse et à sa famille.
Pour le non initié, la dot est un procédé de négociation complexe et très formel entre les deux familles pour parvenir à une entente mutuelle sur le prix que le fiancé aura à verser pour pouvoir épouser la fiancée. Cela peut se voir comme un achat vente, mais cette coutume n'a rien de commerciale.
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
Selon lui, le prix exorbitant de la dot est justifié du fait que cet argent est consommé par la famille de l'homme, lors de la fête qui, dans certaines coutumes, peut réunir jusqu'à plus de 150 personnes. La moyenne dans une réception ordinaire étant au maximum de 15 à 20 dollars par personne.
Pour un mariage traditionnel français, il y a par exemple les traditions du type : dormir séparément la veille du mariage, les 4 éléments porte-bonheur, la lancée de riz en sortant de l'église, le cortège, la pièce montée, le lancer de bouquet, la jarretière, etc.
Chez les Bamiléké, c'est une cérémonie spéciale avant le mariage. Tout commence lorsque le fiancé présente la fiancée aux parents et en présence des fiancés, les deux familles se fixent une date pour la dot. Le jour de la dot, le fiancé et sa famille se rendent chez la fiancée.
Le bassa est une langue bantoue en voici quelques mots : Ngonda = Mademoiselle Iloga = Jeune homme Mè yéga = Merci (on utilise couramment cette expression pour dire aussi bonjour à n'importe quel moment de la journée ) kel lam = bonjour kokoa lam= bonsoir nan ii lam= bonne nuit I nkè laa?
je t'aime en bassa. En bassa je t'aime signifie : mé ngwës wê (nous avons trouvé des traductions 1).
Delhi, les magistrats déclaraient (Verghese, ibid., 177) : « La dot est un mal social dans ce pays depuis plusieurs siècles [...]. Il est grand temps de combattre ce mal au plan social comme à celui de l'État. »
Comme pour la mariée, la famille de l'époux prend en charge les frais pour sa tenue et celle des témoins. C'est elle qui paie aussi les alliances, les frais administratifs, le bouquet de la mariée, les frais de réception des invités du marié, l'enveloppe pour le prêtre et sa paroisse en cas de mariage à l'église.
Le mahr (arabe : مهر) est le don, selon les prescriptions de l'islam, que l'époux doit faire à l'épouse. Ce don serait une forme d'appréciation et permettrait d'offrir certaines garanties à la femme.