Regarder le ciel à travers la fenêtre, écouter de la musique, s'installer sur le canapé ou faire du tricot ou du coloriage... Laissez votre esprit divaguer et accueillez le flux de vos pensées sans réfléchir. Eloignez-vous des écrans (ne rien faire devant la télé ne compte pas) et savourez ces moments de pause.
Pour ce qui est de la culpabilité saine, on commence par arrêter de lutter contre et l'accepter pleinement. Déjà parce qu'il ne faut JAMAIS lutter contre ses propres sentiments qui risqueraient d'être plus envahissants que jamais (c'est comme si je vous dit de ne surtout pas penser à la couleur rouge.
La culpabilité est à la fois un symptôme et une cause de dépression. Elle peut être intense au point d'affecter la personne dans son énergie physique et psychologique, dans sa capacité de ressentir de la joie de vivre, de poursuivre ses activités.
La culpabilité est un sentiment de faute que l'on ressent, peu importe que cette faute soit réelle ou imaginaire. Cette émotion naît de l'écart existant entre ce que l'on veut être idéalement et les actions que l'on fait réellement.
Elle est souvent héritée de l'enfance où, impuissants à agir, nous prenions nos pensées, parfois ambivalentes, pour des actes (pensée magique). Et dans l'illusion de notre toute-puissance, nous nous sentions responsables des événements, donc coupables de ne pas en réparer les dégâts éventuels.
S'accepter
Se punir pour une erreur signifie dans la plupart des cas que nous aurions pu mieux gérer une situation donnée. Il est inutile de faire semblant de rien et d'essayer de se convaincre que nous n'avons pas tort. Mais accepter notre vulnérabilité et apprendre à aimer nos faiblesses sont beaucoup plus efficaces.
La culpabilité : une émotion qui peut nous ronger
La culpabilité, c'est cet intense sentiment d'erreur passée et irrémédiable, qui se définit par rapport à quelqu'un d'autre. En effet, pour se sentir coupable : il faut nécessairement qu'il y ait quelqu'un d'impliqué.
Une des causes principales de cette impression d'être exclu provient d'un manque affectif pendant l'enfance. La croyance va ensuite se renforcer à travers des pensées et des paroles telles que « je suis de trop », « je ne me sens pas à ma place », « on ne veut pas de moi car je suis différent »,…
Pratiquer le niksen consisterait donc à cesser toute activité productive, et à relâcher tout objectif. "Pour les Néerlandais, c'est un temps de ressourcement avec soi, sans but", traduit Malene Rydahl, auteure emblématique du bonheur nordique et conférencière internationale.
Selon la science, ne rien faire serait bon pour la santé. Explications. Lorsque le corps humain est inactif, son cerveau se met alors en mode « par défaut » et fait le tri des informations qu'il contient. C'est ce que démontre une étude menée par le neuropsychologue Francis Eustache qui exerce au CHU de Caen.
La charge émotionnelle de cette culpabilité est très lourde. La première chose à faire pour vous en libérer est d'accepter et de comprendre vos émotions, et surtout de ne pas les réprimer. Faites l'exercice suivant : écrivez une lettre avec tout ce qui vous préoccupe, sans omettre de détails.
Les sources du sentiment d'impuissance.
Le sentiment d'impuissance peut être relié au sentiment d'injustice car il touche une situation qui devrait être mais qui n'est pas. Exemple : je ne réussis pas à trouver une place en accueil de jour pour mon proche pourtant il devrait pouvoir y accéder, il en a besoin !
Apprendre à s'aimer, à se pardonner, à être indulgent avec soi et les autres, à être son propre ami, à se respecter, à s'accepter même imparfait, aide à avancer sur le chemin de l'estime de soi. Des techniques comme l'auto-hypnose, le développement personnel, peuvent améliorer l'estime de soi.
Le foie est lié à la colère ou la culpabilité.
Recentrez vous sur le moment présent, le vrai, aussi dur soit-il à atteindre. Enfin, entraînez-vous le plus souvent possible ! Avec ces exercices, votre conscience sera de plus en plus alerte et stoppera immédiatement le retour de ces pensées négatives.
Pour ces raisons, la culpabilité est parfois qualifiée d'émotion morale, autoconsciente, mais aussi d'émotion sociale, puisqu'elle exige une forme de confrontation avec autrui et l'environnement extérieur.
Exemples : Réparer ce qu'on a cassé, remettre en place ce qu'on a dérangé, nettoyer ce qu'on a sali. Ou bien supprimer une heure de la prochaine sortie si l'ado est rentré une heure en retard sur l'horaire prévu. Chacun juge de ce qui est important dans le cadre familial.
Autopunition pour satisfaire des sentiments de culpabilité inconscients. Dans la névrose obsessionnelle, où l'auto-reproche et le comportement d'autopunition étaient liés à des sentiments réprimés, agressifs, hostiles et cruels. Dans la mélancolie, où la compulsion d'autopunition peut conduire au suicide.
Le punir ne fera que renforcer son mauvais comportement, et là encore, on entre dans un cercle vicieux ! Si au contraire on écoute et on reconnaît sa souffrance, qu'on lui redonne confiance, qu'on reconnaît sa part de responsabilité dans la situation, alors son comportement pourra s'améliorer de manière durable…
On a pu voir que les narcissiques sont des personnes obsédées par la publication quasiment constant de leurs réussites, objectifs atteints, vertus apparentes et compétences élevées. Cependant, ce type de personnalité caractérisé par une vision élevé de soi-même n'admet jamais ses propres erreurs.
Lorsqu'on se sent agressé par les autres, c'est généralement qu'on a peu confiance en soi. Il n'est pas possible de faire face aux autres quand on n'a pas une construction solide de soi-même. ➜ Par conséquent, il est plus facile de ressentir une agression. On va être aussi plus facilement vexé à la moindre critique.
Une personnalité orgueilleuse aura du mal à reconnaître ses erreurs en se pensant supérieure aux autres, et remettra toujours la faute sur les autres.