Reconnaître ses vrais besoins, en dehors des besoins primaires comme se nourrir et de s'hydrater (et encore…), est bien plus complexe qu'on ne le pense. Toutefois, apprendre à les connaître, à les identifier c'est faire un grand pas vers la connaissance de soi, de ses émotions, et donc de son fonctionnement.
Il s'agit de créer des pensées objectives et favorables qui répondent à 6 critères : Un message bienveillant. Le premier critère d'un discours intérieur qui favorise l'estime de soi et un état d'esprit plus positif, c'est de se parler à soi-même avec bienveillance. Se parler comme on voudrait qu'on nous parle.
Les besoins systémiques de base sont l'échange systémique et l'équilibre entre donner et recevoir. Un autre besoin important est le respect mutuel. Enfin, un besoin d'honorer son sexe, virilité ou féminité, d'être accepté comme homme ou comme femme est primordial.
Être écoutée pour la femme est aussi un moyen de jauger l'intérêt de son partenaire. Elle apprécie tout particulièrement qu'il se souvienne des choses importantes à ses yeux. C'est en effet le témoignage qu'il accorde intérêt et considération à ce qui compte fondamentalement pour elle.
Expression émotionnelle et besoins
Une autre lecture est possible: derrière l'émotion se cache l'expression d'un besoin. La peur exprime par exemple un besoin de sécurité, la colère un besoin de respect et de considération, la tristesse un besoin de réconfort et la joie un besoin de partage.
A la fin de chaque expiration accompagnée d'un son, on continue à tourner la tête et les mains en faisant une hyperventilation, c'est-à-dire qu'on inspire et expire rapidement (par le nez si possible) pendant 5 à 10 secondes, puis on reprend le son. On fait cet enchaînement de son et d'hyperventilation 3 ou 4 fois.
Des systèmes neuronaux dysfonctionnels. Dans les troubles anxieux, le dysfonctionnement des systèmes émotionnels du cerveau se traduit par des réactions émotionnelles beaucoup plus intenses que celles qui se produisent habituellement, ainsi que par une perception accrue de la menace et une vision négative du monde.
Ils incluent les éléments indispensables à la survie : respirer, boire, manger, éliminer, se protéger du froid et de la chaleur, être en sécurité, dormir. Plus généralement, on parle de besoins vitaux.
Nous pouvons identifier des besoins dans 3 domaines : physiques, psychologiques et existentiels.
Pour rappel les besoins fondamentaux sont d'ordre physique, social et mental. On tend à satisfaire nos besoins. S'ils ne sont pas satisfaits, l'organisme et par extension l'individu va ressentir un état de manque.
Chacun doit apprendre à reconnaître ses propres besoins au risque de répondre à ceux des autres. Il s'agit également d'apprendre à dire non, à poser des limites, à se respecter inconditionnellement. Parfois, il est nécessaire de passer par une phase « égocentrique », au tout du moins par un « égoïsme altruiste ».
Le besoin naît d'un manque. Au lieu de chercher à créer à un besoin donc, mieux vaut chercher à le révéler, à travailler sur la nature de l'insatisfaction du client. De ce travail de révélation de l'insatisfaction client émanera alors une réponse adaptée de la part de l'entreprise.
Répondre à nos besoins par l'action
Et bien, il faut se mettre en action. Lorsque l'on est accompagné par un coach, c'est lui qui mène le questionnement qui va permettre au coaché de mettre en place les solutions qui lui sont propres. Quand nous souhaitons avancer seul, il faut nous poser les bonnes questions.
La colère lèse le foie. Il est l'organe en relation avec la colère. Lorsque l'énergie du foie est faible, il y a des colères fréquentes. Lorsque l'énergie des Reins est faibles, l'énergie du foie peut s'affaiblir, il y a plus de colères, on parle de montée de l'énergie yang du foie.
Lorsque l'on s'énerve trop souvent pour de mauvaises raisons et que l'on ne parvient plus à garder son calme, la cause est toujours la même : une mauvaise gestion de la colère. Beaucoup de personnes ne font qu'alimenter leur colère au quotidien, et ne savent pas la gérer sainement.
«Blocage émotionnel» est un terme couramment utilisé dans l'espace du développement personnel, mais que signifie-t-il réellement ? L'expression peut être définie comme des blessures émotionnelles refoulées ou non cicatrisées subies par des expériences de vie antérieures.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Les émotions primaires (ou dites « de ba- se») peuvent être observées chez la plu- part des vertébrés. Leur nombre varie se- lon les études, cependant on en retient généralement six : la joie, la surprise, la peur, la colère, le dégoût et la tristesse (une septième émotion, le mépris, est parfois ajoutée).
La solitude n'est pas une maladie, mais plutôt le symptôme d'une difficulté à s'adapter à son environnement. Cela peut parfois résulter d'un problème de santé mentale préexistant. Dépression, anxiété, troubles du sommeil ou bipolarité, peuvent se manifester également par un sentiment profond de solitude.
Les défauts physiques qui font fuir les hommes. Alors là les statistiques sont claires ! 100% des hommes nous ont répondu sans hésiter : les poils et les odeurs.
Les hommes n'aiment pas les filles trop possessives ou trop jalouses. Tu cherches, tu cherches, avant même qu'il est fait, quoi que se soit. Et pire en cherchant, tu risques de trouver un message, que tu pourrais mal interpréter. Et tu lui aura enlevé toute envie de se justifier, voire même de continuer avec toi.
Pourquoi une femme indépendante fait-elle peur aux hommes ? Et bien c'est simple : ils ont peur de ne pas être à la hauteur. Car s'ils ne sont pas ceux qui apportent l'argent, le statut, la sécurité, ou même le patronyme, qui sont-ils ? Ces femmes représentent pour eux un trop gros risque identitaire.