La maladie débute généralement par une rhinopharyngite avec une légère fièvre, un écoulement nasal, une obstruction nasale et une toux sèche. Puis quelques jours plus tard, la respiration s'accélère, devient bruyante, avec des sifflements caractéristiques (« sibilants »), la toux devient grasse et s'aggrave.
L'évolution au cours des premiers jours. Entre 2 et 4 jours après le début de l'infection, les symptômes de la bronchiolite sont à leur climax. Dans la majorité des cas, elle évolue vers la guérison en 3 à 4 semaines. Les signes d'obstruction durent entre 8 et 10 jours, alors que la toux peut persister pendant 15 jours ...
La dyspnée peut amener des troubles alimentaires. Dans de rares cas, d'autres complications telles que le pneumomédiastin et le pneumothorax peuvent survenir. le plan hémodynamique, un déficit immunitaire ou une maladie pulmonaire, ainsi que les enfants âgés de moins de 1 an nés prématurément.
La bronchiolite est liée à une infection par le Virus respiratoire syncytial (VRS). Ce virus est potentiellement grave pour les jeunes enfants (bronchiolite du nourrisson en particulier) mais a aussi un impact sur les personnes âgées.
les signes qui impliquent un appel d'emblée au 15 : signes de cyanose autour de la bouche, malaises, pauses respiratoires, nourrisson qui dort tout le temps.
Vous pouvez dans un premier temps nettoyer ses narines à l'aide d'une compresse de gaze stérile, puis lui laver le nez régulièrement avec une solution physiologique, vendue sous forme de spray ou pipette en pharmacie. Cela l'aidera à évacuer ses glaires naturellement.
Une diarrhée ou vomissements associés. Une somnolence et pleurs inhabituels. Une fièvre mal tolérée avec convulsions. Une aggravation des signes respiratoires malgré le traitement.
Toutefois si votre enfant présente les symptômes de la bronchiolite et l'un des symptômes suivants, il est recommandé de vous rendre aux urgences pédiatriques : Nourrisson âgé de moins de 3 mois avec fièvre.
Toute perte de connaissance, vomissement, état de somnolence ou de confusion et désorientation après une chute ou une blessure. Présence d'un corps étranger inséré et impossible à enlever dans une partie du corps. Chute ou traumatisme avec suspicion de fracture ou entorse, notamment si l'enfant refuse de marcher.
Moins d'efforts d'inspiration en décubitus ventral
Pour diminuer les risques de mort subite du nourrisson,il est conseillé de coucher les bébés sur le dos jusqu'à l'âge d'un an. Cette position permet de dégager le nez et la bouche du nourrisson.
La bronchiolite débute généralement par un simple rhume ou rhinopharyngite avec une légère fièvre. Petit à petit, une toux sèche apparaît. Puis survient une gêne respiratoire qui se traduit par une respiration rapide et sifflante. À ce stade de la maladie, l'enfant peut avoir des difficultés à s'alimenter.
Il n'existe pas de traitement spécifique pour soigner la bronchiolite. Les antibiotiques sont inutiles car elle est due à un virus. Les antitussifs sont inutiles, voire contre indiqués. Pour protéger vos autres enfants, lavez-vous régulièrement les mains.
Bien couvrir son enfant est important, pull, sous-pull, écharpe, gants, bonnet... mais n'en faites pas trop. L'enfant doit être habillé comme l'adulte, ni plus, ni moins, sauf pour les bébés de moins de 6 mois, qui doivent avoir une épaisseur en plus.
Pas d'antibiotiques dans le traitement de la bronchiolite
La bronchiolite étant due à un virus, le traitement antibiotique n'a aucun effet. Les antibiotiques ne sont prescrits qu'en cas de surinfection bactérienne (pneumonie) ou d'otite associée.
D'autres signes d'alerte doivent conduire aux urgences. C'est le cas si l'enfant boit moins de la moitié de ses biberons à trois repas consécutifs, s'il vomit systématiquement, s'il dort en permanence ou, au contraire, ne peut s'endormir et s'il fait de l'apnée du sommeil.
Le nourrisson présente ensuite une respiration rapide entrecoupée de pauses, notamment pendant les repas. Il est agité, boit de moins en moins et repousse ses biberons. Ses bronches sont encombrées par des sécrétions qu'il n'arrive pas à évacuer. Parfois, on peut entendre des sifflements respiratoires.
Signes de lutte
Polypnée superficielle Accélération de la fréquence respiratoire associée à une diminution du volume courant. la mise en jeu des muscles inspiratoires du cou pour assurer la ventilation fait redouter la survenue d'une défaillance ventilatoire.
Le sifflement est dû au rétrécissement ou au blocage (obstruction) des voies respiratoires. Le rétrécissement peut être dû à un ou plusieurs des facteurs suivants : Gonflement des tissus tapissant les voies respiratoires. Spasme des minuscules muscles des parois des voies respiratoires (bronchospasme)
On vous préconise tout d'abord de ne pas trop couvrir bébé, l'habiller avec des vêtements légers, ou le laisser en body. Il est également important que sa chambre ne soit pas surchauffée, la température ambiante idéale étant de 18° à 20°C.
Mais si des quintes inexpliquées durent plus de trois à six semaines, si elles s'aggravent ou si elles s'accompagnent d'autres symptômes comme des difficultés à respirer ou du sang dans les crachats, il est important de consulter un médecin.