Un bon poulet se reconnaît à sa chair tendre et savoureuse lorsqu'il est cuit et ferme lorsqu'il est cru. La couleur de la chair peut varier du très blanc au doré selon le type d'alimentation qu'il reçoit.
Pour bien choisir votre poulet, optez pour le bio ou le Label rouge fermier (élevage en 81 jours) plutôt que pour un poulet standard (40 jours), ou « certifié » (56 jours)… Sans être chauvins, recommandons les volailles élevées et abattues en France où les normes sanitaires sont généralement correctement respectées.
Si votre poulet est cru : Tout d'abord, prêtez attention à la couleur du poulet, celle-ci doit être rose clair. Si elle tend vers le gris, jetez-la ! Si vous n'êtes pas sûr(e), alors concentrez-vous sur l'odeur du poulet. Lorsque la viande pourrie, elle dégage une forte odeur.
Mais c'est surtout le roi du poulet. En supermarché, il se cache derrière trois des plus grands noms du rayon: le leader Le Gaulois, le numéro 2 Maître Coq et le pro de la volaille fermière Loué, pour une part de marché cumulée de 28%.
Je vous conseille d'acheter UNIQUEMENT du poulet Label Rouge, du poulet Bio ou du poulet de Bresse quitte à en manger moins souvent. Le reste des autres poulets vendus a été maltraité et peut même contenir des bactéries.
La raison est très simple : le poulet cru serait très fragile, et peut contenir énormément de bactéries dans sa chair. En passant votre viande sous l'eau, vous risquez de les disperser ce qui multiplie vos risques d'avoir une intoxication alimentaire ou une infection bactérienne.
Les autorités sanitaires européennes rappellent qu'il est dangereux de laver le poulet cru avant de le cuire, sous risque d'être affecté par une bactérie.
Bien que le poulet cru puisse contenir des bactéries, la recherche a montré que laver de la volaille crue augmente les risques de propagation de pathogènes d'origine alimentaire.
À partir de la mention "Label Rouge" ou au moins "poulet fermier", vous pouvez faire confiance. Un bon poulet est un poulet bien nourri. Un bon poulet se reconnaît à sa chair tendre et savoureuse lorsqu'il est cuit et ferme lorsqu'il est cru.
Le poulet blanc
Sa chair est très raffinée et ferme. Sa peau fine croustille à la cuisson. Sa saveur est cependant un peu plus subtile et moins intense que celle du poulet jaune. Du côté de sa préparation, partez sur un poulet rôti ou mijoté pour profiter de toutes ses saveurs.
[2] Une volaille de classe A est dotée d'une bonne proportion graisse / muscle et correctement plumée, sans déchirure de la peau ni hématome. Si ces conditions ne sont pas remplies, le produit est classé B.
La viande de poulet en parfait état doit être lisse et non collante ou désagréable au toucher. Dans certains cas, le seul signe que le poulet est mauvais est son goûtA, ainsi, si en le goûtant, vous remarquez un goût bizarre ou inhabituel, vous ne devriez pas le manger.
Le poulet jaune cru est plus gras que le poulet blanc. Cependant, une fois cuit, c'est l'inverse : le poulet jaune contient un peu moins de graisse que le poulet blanc. La couleur de la volaille ne doit donc pas intervenir lors de votre choix.
Le poulet cru a une chair rosâtre. Sa couleur vire au gris dès qu'il commence à pourrir. Si elle vous semble plus terne qu'auparavant, consommez-le le plus rapidement possible avant qu'il tourne. Si elle vous semble plus grise que rose, il est probablement déjà trop tard.
Manger de la viande avariée peut entraîner une intoxication alimentaire, ce qui provoque, vomissements, diarrhée, maux de tête, de la fièvre et des crampes. Évitez l'intoxication alimentaire en veillant à ce que la viande que vous cuisinez soit fraiche et n'a pas eu le temps de mal tourner.
Si vous remarquez que la viande dégage une odeur d'ammoniaque, aigre, ou de moisi, qu'elle est visqueuse ou grise, il vaut mieux la jeter. La viande de volaille est censée aller du blanc au jaune, et celle du porc devrait être gris rosé, la viande rouge emballée sous vide peut parfois tendre sur le violet.
Clairement, les volailles de Bresse, qui bénéficient -et ce sont les seules- de l'Appellation d'Origine Contrôlée, restent encore les Rolls de l'élevage, qu'il s'agisse de poulardes, de chapons ou de simples poulets élevés en plein air, où ils trouvent tous seuls un tiers de leur alimentation.
En volailles de chair, le terme « fermier » est réservé (définition dans le règlement CE européen n°1538-91et dans le code rural français depuis janvier 2001) aux volailles élevées en plein air et élevées en liberté sous Label Rouge, biologiques ou AOC, à l'exception des volailles issues de production de petite taille ...
Les volailles fermières Label Rouge sont élevées depuis 1960 selon un mode de production fermier (lien vers un élevage différent), en plein air, dans le respect d'un cahier des charges Label Rouge officiel (lien vers une démarche collective autour d'un cahier des charges) homologué par les Pouvoirs publics français.
Les poulets vivent naturellement jusqu'à 6 ans ou plus. Les poulets de chair intensifs sont abattus à moins de six semaines, les poulets certifiés sont généralement abattus à 8 semaines et les poulets fermiers et biologiques à environ 12 semaines.
Reconnaissable de la même manière que le poulet blanc, le poulet noir se différencie à la couleur noire de ses pattes et son plumage. Sa chair délicate, moelleuse, fine et croustillante a un léger goût de noisette. Il se cuisine en morceaux, mijotés ou poêlés pour le plus grand plaisir de vos papilles !
Le lait permet à la viande de se relâcher et d'être moins ferme. Faire mariner les volailles, ou viandes, est une façon très simple de les rendre plus savoureuses, mais aussi de les attendrir et de conserver leur moelleux pendant la cuisson. Cela permet de diminuer, voire de supprimer tout dessèchement à la cuisson.
Le laisser trop longtemps au frigo
Pour qu'un poulet puisse cuire de manière optimale, il est indispensable de le sortir du réfrigérateur 1h minimum avant de l'enfourner.