Faiblesse musculaire, maux de tête, troubles du sommeil, dérèglement des sens, tremblements, mauvaise coordination… Dès l'apparition des premiers symptômes, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant qui saura interpréter les signaux d'alerte et vous orienter vers un neurologue si votre état le nécessite.
Pour tester la coordination, les médecins peuvent demander à la personne d'utiliser son index pour toucher les doigts de l'examinateur, puis son propre nez et de répéter rapidement ces actions. On peut demander à la personne d'effectuer ces gestes les yeux ouverts puis les yeux fermés.
Le test de Folstein permet de vérifier que votre cerveau est toujours en forme. Il est très utile, car il arrive, quand on atteint un certain âge, que l'on ait des trous de mémoire ou des troubles de l'attention.
Divers symptômes peuvent amener à consulter un neurologue : maux de tête aigus ou chroniques, fourmillements, diminution de la motricité ou de la sensibilité, troubles de la mémoire…
engourdissement, picotements ou sensation de brûlure dans les mains ou les pieds. douleur moyenne ou intense. sensations inhabituelles comme une chaleur ou une impression de brûlure quand vous touchez quelque chose de froid.
Alzheimer, Parkinson, accident vasculaire cérébral, sclérose en plaques, maladie de Charcot, tumeurs du cerveau ou maladie de Ménière en font partie. Les migraines et l'épilepsie aussi. Qu'il s'agisse de leur mécanisme d'apparition ou des facteurs les favorisant, ces maladies restent entourées d'un large mystère.
La maladie d'Alzheimer.
Les maladies neurologiques se définissent par un dysfonctionnement du système nerveux central ou périphérique. Elles peuvent être d'origine génétique, mentale, traumatique ou idiopathique.
Le diagnostic d'une maladie neuromusculaire repose sur un interrogatoire médical, un examen clinique et des examens complémentaires (analyses biologiques, immunologiques, électro- myogramme, imagerie, étude de muscle (biopsie))...
Les nerfs et les muscles, fonctionnant à l'aide de courants électriques de très faible intensité, un électromyogramme est l'examen qui permet d'étudier leur fonctionnement : on analyse ainsi la contraction musculaire et la conduction nerveuse (capacité des nerfs à conduire le courant nerveux).
La maladie d'Alzheimer et autres démences sont les plus fréquentes des maladies neurodégénératives. Elles représentent une cause majeure de perte d'autonomie.
La drogue, la fatigue et les nuisances sonores ou visuelles perturbent le fonctionnement du système nerveux|systeme nerveux. Les perturbations du système nerveux sont dues à des modifications de l'action des neurotransmetteurs des synapses du cerveau.
Le syndrome de Guillain-Barré est une affection rare dans laquelle le système immunitaire du patient attaque les nerfs périphériques. Bien qu'elle puisse toucher les personnes de tout âge, cette maladie est plus fréquente à l'âge adulte et chez les sujets de sexe masculin.
par maladie, suite à un accident vasculaire cérébral, une hémorragie cérébrale, un manque d'oxygène du cerveau dû à un arrêt cardiaque ou respiratoire, une infection du système nerveux, une tumeur bénigne ou maligne, une maladie neurodégénérative (maladie affectant le cerveau ou le système nerveux de manière ...
L'importance du dépistage reste primordiale. En effet, plus un cancer est diagnostiqué tôt, plus il a de chance d'être guéri. La prise de sang est l'un des examens qui aident à diagnostiquer un cancer.
On n'a pas recours aux analyses sanguines pour diagnostiquer une tumeur au cerveau ou à la moelle épinière. Cependant, elle peut fournir des renseignements utiles sur votre état général de santé, le fonctionnement d'autres organes et d'autres affections médicales.
Au total, les connaissances actuellement disponibles sont contradictoires et ne permettent pas d'établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer (NCI, 2012). Seule une association avec l'augmentation du risque de maladies cardiovasculaires a été mise en évidence (Kivimäki, 2012).
Le neurologue fait partie des exceptions au parcours de soins coordonnés : il est possible de consulter un neurologue en accès direct, sans passer par son médecin traitant au préalable. L'assuré est alors dans le parcours de soins et bénéficiera d'un remboursement optimal de la Sécurité sociale de 70 %.
Ce spécialiste fait partie des exceptions du parcours soin, car vous n'avez pas besoin d'une ordonnance de votre médecin traitant pour aller le consulter.
Le neurologue interroge le patient avec des questions basiques (âge, traitements, antécédents, profession…) et procède ensuite à l'examen selon les symptômes décrits. Cela commence souvent par l'analyse des fonctions de l'ensemble du système nerveux (sensitives, sensorielles et motrices).