Le syndrome d'enfermement est généralement provoqué par un AVC, mais peut être causé par le syndrome de Guillain-Barré ou par un cancer qui touche une certaine partie du cerveau.
Quoi qu'il en soit, l'accident vasculaire cérébral étant pour le cerveau ce que l'angine de poitrine est pour le cœur, ses facteurs de risque sont bien connus, les principaux étant le tabac, l'hypertension, l'excès de cholestérol, l'obésité et le diabète de type 2.
Il faut plutôt s'inquiéter quand l'entourage vous met en garde contre votre attitude : pertes de mémoires fréquentes et sur des sujets que vous maîtrisez habituellement, attitudes bizarres, rangements improbables, troubles du langage et de l'orientation dans des lieux que vous maîtrisez parfaitement jusqu'à présent.
Faiblesse musculaire, maux de tête, troubles du sommeil, dérèglement des sens, tremblements, mauvaise coordination… Dès l'apparition des premiers symptômes, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant qui saura interpréter les signaux d'alerte et vous orienter vers un neurologue si votre état le nécessite.
1. Le stress. Le stress peut être utile ou nuisible pour le cerveau, cela dépend de son intensité et de sa durée.
Les premiers symptômes d'une tumeur au cerveau sont : des maux de tête, de la fatigabilité accrue, une perte d'appétit et de poids, des troubles de la mémoire, de la parole, ou encore de l'équilibre.
Crise d'anxiété, le cerveau à la manœuvre
L'angoisse (peur de mourir, peur de perdre la raison, agoraphobie…) active l'amygdale, une structure limbique qui avertit de la présence d'un danger immédiat et déclenche la réaction de peur (réelle ou subjective).
L'exposition prolongée ou répétée à l'agent stressant épuise les capacités énergétiques de l'organisme, le taux de glucose dans le sang est au plus bas, les cellules ne sont plus nourries : l'état d'épuisement est atteint. L'état d'épuisement devient un terrain propice au développement des maladies.
Il ne s'agit pas à proprement parler d'une maladie, mais plutôt de la perception subjective d'une personne de ne pas pouvoir penser aussi clairement qu'à l'habitude. La personne atteinte a tendance alors à se sentir confuse, à perdre la mémoire ou encore à se sentir abattue.
On parle également de surcharge cognitive ou d'épuisement par saturation. La saturation, ou surcharge cognitive, s'installe lorsque le cerveau doit faire face à plus d'informations qu'il ne peut en traiter. Il se trouve tout simplement dépassé par le volume de sollicitations qui se présentent à lui.
Chaque année, on estime qu'environ 2 400 nouveaux cas de glioblastome sont diagnostiqués en France. Touchant majoritairement l'adulte, il est plus fréquent chez l'homme que chez la femme. 70 % des cas concernent des personnes de 45 à 70 ans et l'âge moyen au diagnostic est de 58 ans.
Le stress psychologique peut avoir des répercussions sur le plan physique. Certaines études avancent que divers facteurs psychologiques pourraient accroître le risque d'apparition d'un cancer.
Sueurs nocturnes. Perte d'appétit. Douleur nouvelle et prolongée. Problèmes de vue ou d'audition.
Au-delà de l'éthique sportive, c'est bien les séquelles sur la santé qui inquiètent le plus. « Il n'y a pas de sport plus dangereux pour le cerveau, assure le neurologue Jean-François Chermann.
Les fruits rouges
Or, dans les bleuets, canneberges, mûres ou framboises, se concentrent de fortes doses d'antioxydants, qui combattent les radicaux libres et boostent notre cerveau. Le corps humain ne produisant pas d'antioxydants, il est impératif de les lui apporter par l'alimentation.
On pense notamment aux aliments frits, aux boissons sucrées, aux sucres raffinés et aux viandes transformées.
En 2019, une personne sur huit dans le monde – soit 970 millions de personnes – présentait un trouble mental, les troubles anxieux et les troubles dépressifs étant les plus courants (1). En 2020, le nombre de personnes atteintes de tels troubles a augmenté considérablement du fait de la pandémie de COVID-19.
Les symptômes commencent par de la fièvre, des maux de tête, une raideur cervicale, des nausées et des vomissements et progressent pour inclure des modifications de l'état mental et des signes neurologiques particuliers. La maladie se caractérise par une dépression générale des sens, variant de la somnolence au coma.
Les symptômes psychotiques et la maladie bipolaire sont des formes plus graves de mauvaise santé mentale. Les premiers sont caractérisés par une pensée désordonnée dans laquelle la personne n'est pas en contact avec la réalité.