Utilisez le thermomètre
Si la température affiche 45°, le saumon n'est pas assez cuit. Si la température dépasse les 60°, le saumon est trop cuit et la cuisson doit cesser au risque qu'il soit trop sec. Si la température est entre 50 et 55°, votre saumon sera cuit juste comme il faut.
Remuez une fourchette dans la chair du poisson. Si celle-ci se détache toute seule, alors il est cuit. Votre poisson est doré à la surface, mais pas encore cuit à cœur ? Recouvrez votre plat d'une feuille de papier d'aluminium et laissez cuire encore quelques minutes.
« Le temps de cuisson est d'environ 15 min, mais pour savoir si c'est cuit il suffit d'attendre que la papillote se gonfle et c'est prêt! »
Certains saumons semblent tirer vers l'orange, voire le rouge, d'autres vers le rose pâle… Ces différences tiennent tout simplement à l'origine du poisson et à la quantité d'astaxanthine qu'il a pu trouver dans son alimentation. Il faut cependant toujours être attentif à la fraîcheur du poisson.
Sa qualité dépend de ses conditions d'élevage. Les saumons élevés sous signe de qualité garantissent certaines conditions de production (alimentation par exemple) et résultats en matière organoleptique (couleur, odeur et texture).
A Rungis, le filet de saumon a vu son prix s'envoler, notamment depuis le mois d'avril. En cause, à la fois le prix des aliments utilisés par les salmoniculteurs mais aussi une forte mortalité supérieure à la normale dans les élevages et des stocks congelés au plus bas.
À la vapeur, en papillote, au four : pour savoir si votre poisson est prêt, regardez sa chair. Si celle-ci se détache facilement, votre poisson est cuit !
Nos préférées : la citronnelle pour sa fraîcheur, le gingembre pour sa subtilité, le safran pour sa richesse, la cannelle pour son originalité, le piment d'Espelette et le paprika fumé pour leur caractère affirmé.
On cuit souvent le saumon au court-bouillon, mais il peut aussi être poêlé, braisé, rôti ou cuit à la broche. Avant de poêler le saumon, vous pouvez le faire mariner. Il est par ailleurs excellent en quiche ou en terrine. Le saumon se cuisine également en papillotes.
Pour cela, il existe une astuce : mettre son pouce sur son index (puis le majeur, l'annulaire et l'auriculaire) et, avec un doigt de l'autre main, toucher la base du muscle de son pouce. Cela donne la résistance ressentie pour chaque type de cuisson.
Quels sont les poissons qui se tiennent le mieux à la cuisson ? Les poissons plats comme le turbo, les grosses soles, la limande, les barbues, s'accommoderont parfaitement d'une cuisson au four assez simple ou d'une cuisson à la poêle et au beurre.
Préchauffer votre four à 200°C, puis placez votre poisson dans un plat et versez-y un filet d'huile d'olive. Ajoutez quelques herbes, épices ou condiments selon vos envies et enfournez. Comptez environ 8 à 10 min pour du poisson en filet et 20 à 30 pour un poisson entier.
Enlever la peau du saumon en versant de l'eau chaude dessus. Découper le saumon en 2 pour obtenir 2 pavés et faire des entailles régulières en diagonale dessus.
Pour rehausser le goût du saumon, une touche de citron, de l'huile d'olive et quelques fines herbes sont particulièrement recommandées. Pensez spécialement à l'aneth. Vous pouvez déguster le saumon frais avec une tranche de pain grillée.
Assaisonner le saumon de sel et de poivre. Ajouter le saumon dans la poêle; faire cuire de 8 à 10 minutes, en tournant une fois, jusqu'à ce que le poisson s'émiette facilement. Poursuivre la cuisson à feu doux; ajouter l'ail, le vinaigre balsamique, la moutarde et le miel dans la poêle.
Les herbes les plus fréquemment associées au poisson sont l'aneth, l'estragon, le fenouil, l'oseille, le laurier et le thym. On peut également utiliser du romarin ou de la sauge mais en très petite quantité car leur parfums entêtants peuvent masquer le goût subtil du poisson.
La cuisson en papillote permet de préparer des portions individuelles et donc de contrôler la quantité d'aliments ingérés. Un atout de taille pour les personnes qui surveillent leur ligne. De plus, ce mode de cuisson met en vedette des aliments bons pour la ligne tels que le poisson, la viande blanche, les légumes..
Idéal pour la cuisson au four de tartes, gâteaux, viennoiseries, cakes, le papier sulfurisé facilite le démoulage. Imperméable, il ne colle pas. Résistant, il supporte les températures élevées de la cuisson au four traditionnel.
Pour autant, sachez que des études récentes accusent le papier alu de devenir toxique au contact des aliments. Par précaution, donc, mieux vaut privilégier le papier de cuisson, également nommé papier sulfurisé, à moins de ne faire cuire que des aliments non épluchés et non percés.
Mieux vaut privilégier le saumon sauvage d'Alaska, où la mer est moins polluée, ou mieux encore, le saumon sauvage de l'Adour. Un véritable produit d'exception, selon Jonathan Goube, MOF poissonnier.
Écosse ou Norvège, quelle différence ? Tout est une question de goût... Si vous cherchez un poisson maigre, légèrement rosé et ferme, tournez-vous vers les saumons élevés en Norvège. Si, à l'inverse, vous préférez un saumon plus orangé, plus gras et à la chair tendre et beurrée, le saumon d'Écosse est fait pour vous.
La chair de tous les saumons, quelle que soit leur origine (sauvage ou d'élevage) est de couleur rose car le saumon consomme un antioxydant, le caroténoïde, qui provient de son alimentation. Les caroténoïdes sont un groupe de pigments d'origine naturelle qui transmettent leur couleur aux tissus de plusieurs organismes.
VRAI Car c'est du muscle ! Non seulement sa consistance ferme est dépourvue de saveur, mais le muscle concentre les toxines. Mieux vaut découper ces petites parties avant consommation, et ne pas les confondre avec les hématomes sans gravité que l'on trouve parfois sur la chair des saumons sauvages.