Comme la Lune et les planètes, les satellites artificiels reflètent la lumière du Soleil. À l'aube ou au crépuscule, ces
Quelques critères pour les distinguer des avions : Les avions clignotent, mais les satellites aussi. Les avions clignotent parce qu'ils ont des lumières clignotantes rouge et verte (une sur chaque aile).
Contrairement à la plupart des satellites d'observation et de surveillance en orbite autour de la Terre, le satellite Capella 2 peut prendre une image claire de nuit comme de jour, même par temps de pluie ou nuageux.
Types de satellites
Actuellement, la Station Spatiale Internationale est l'objet le plus brillant à traverser le ciel de part en part. Dans le passé, on a pu observer Mir et Skylab. Ce sont de gros satellites en orbite basse. Certains amateurs, bien équipés, parviennent à en observer des détails.
On parle ainsi de "bande du bleu", du "rouge, du proche infrarouge", etc. Chaque bande va couvrir une portion plus ou moins large du spectre électro magnétique. Par exemple, la bande du bleu correspond à des longueurs dans un intervalle autour de 480 nm, celle du rouge autour de 600 nm.
Comme la Lune et les planètes, les satellites artificiels reflètent la lumière du Soleil. À l'aube ou au crépuscule, ces objets spatiaux sont visibles à l'œil nu, apparaissant sous forme de points lumineux dans le ciel.
Quasi-circulaire, car ces orbites ont une trajectoire quasiment en forme de cercle (la Terre n'étant pas une sphère parfaite). Cette propriété permet au satellite de maintenir une altitude fixe (comprise entre 500 et 1 000 km pour les satellites d'observation de la Terre).
En tournant très rapidement autour de la Terre, les satellites s'en rapprochent peu à peu. Certains tournent au même rythme que la Terre en 24 heures exactement. De ce fait, ils restent toujours au-dessus du même point de notre planète : on les appelle alors des satellites géostationnaires.
Il s'agit de Vénus et de Jupiter, les deux planètes les plus brillantes du Système solaire.
Chaque satellite ne mesure que quelques mètres de côté, panneaux solaires compris, et n'émettent pas de lumière propre. S'ils brillent dans le ciel nocturne, c'est à cause du Soleil.
Comment différencier les satellites des étoiles filantes ? « Les deux phénomènes n'ont rien à voir », tranche Emmanuel Jehin. L'étoile filante passe dans le ciel en une fraction de seconde, alors que le satellite artificiel peut prendre plus de deux minutes pour le traverser et ne change pas d'éclat.
Mis en orbite dans la nuit du 3 au 4 juin, les 60 nouveaux satellites Starlink de SpaceX peuvent être observés dans le ciel Un premier passage facilement observable est prévu dans la soirée du 4 juin.
Pas mal, tout d'abord, il faut dire que les étoiles sont les seuls qui scintillent, Alors que les planètes restent comme des points fixes dans le ciel. La raison pourquoi on voit clignoter la première est due à la distorsion produite par notre atmosphère sur les rayons lumineux qui viennent de leur.
Pour rester en orbite, un satellite doit avoir une très grande vitesse, qui dépend de sa hauteur. Pour une orbite circulaire à 300 km au-dessus de la surface de la Terre, il faut par exemple une vitesse de 7,8 km/s (28 000 km/h).
Sirius, l'étoile la plus brillante au firmament (visible surtout en hiver et au printemps), émet une lumière blanc-bleuté très intense. Elle semble souvent clignoter rapidement avec une multitude de couleurs. Comme elle ne s'élève jamais beaucoup au-dessus de l'horizon sud, elle est très sujette à ce phénomène.
Un flash Iridium (en anglais Iridium flare) est un phénomène lumineux produit par la réflexion de la lumière du Soleil sur l'une des surfaces réfléchissantes (antennes ou parfois panneaux solaires) d'un des satellites Iridium.
Les phosphènes sont observés essentiellement dans le cadre d'un décollement postérieur du vitré pathologique. Lorsque la hyaloïde tire fortement sur la rétine et s'en détache, elle peut entraîner une traction sur les fibres nerveuses rétiniennes et, dans ce cas, occasionner une déchirure, en forme de clapet ou de trou.
Saturne est visible à compter du milieu de la soirée et jusqu'à l'aube. La planète aux anneaux émerge à l'horizon est-sud-est vers 21 heures, culmine à 33 degrés de hauteur au sud vers 2 heures du matin, et s'éteint au-dessus de l'horizon sud-ouest avec le lever du jour.
Les satellites géostationnaires sont placés très haut, à 35 786 km, à une vitesse qui est exactement celle de la rotation de la Terre. Ils sont situés au-dessus de l'équateur. C'est pour cela que les bases de lancement en sont proches, comme Kourou, en Guyane, pour la France.
La plupart des satellites sont à moins de 2000 kilomètres d'altitude : c'est ce qu'on appelle l'orbite basse. A 500 kilomètres, ils mettront une heure et demie ; à 2000 kilomètres, ils prendront deux heures pour faire un tour complet.
Même si l'atmosphère de la Terre, à quelques centaines de kilomètres d'altitude, est extrêmement ténue, le frottement contre les molécules d'air résiduelles des satellites artificiels réduit leur énergie et les fait redescendre progressivement. Plus leur orbite est basse, plus ils retombent vite sur Terre.
En effet, les satellites artificiels en orbite autour de la Terre réfléchissent la lumière du Soleil vers la Terre à certains moments. C'est à cet instant que l'on peut voir un satellite passer. Les moments les plus favorables pour faire ces observations sont 1 à 2 heures après le coucher ou avant le lever du Soleil.
Pour les satellites à orbite quasi-polaire, le satellite se déplace selon une trajectoire nord-sud. Cependant, vue de la Terre, la trajectoire du satellite semble avoir une composante vers l'ouest à cause de la rotation de la Terre.