L'agression sexuelle est toute atteinte sexuelle commise avec violence, contrainte, menace ou surprise. Par exemple, des attouchements. S'il y a eu pénétration, il s'agit d'un viol. Pour qu'il y ait agression sexuelle, il faut qu'il y ait eu un contact physique entre la victime et l'auteur des faits.
Tout contact physique à connotation sexuel, non désiré et effectué sans le consentement de l'autre peut être considéré comme une agression sexuelle. Ces attouchements ne se font pas nécessairement sur des parties intimes. Un baiser, une caresse peuvent aussi être considérés comme une agression sexuelle.
Comportements possibles lors de l'examen:
Il peut reproduire des scènes lors de ses jeux (poupées par exemple) Il ne prend pas plaisir aux jeux et aux activités physiques. Il a des problèmes d'alimentation, de défécation, des infections urinaires ou des douleurs lorsqu'il court ou veut s'asseoir.
1. Ils ont des problèmes d'engagement, probablement parce qu'ils avaient des difficultés à faire confiance aux autres pendant leur enfance. 2. Ils passent parfois en mode pilote automatique et sont effacés lors des conversations ou des événements.
Le Code pénal ne comporte pas le vocable d'attouchement. la victime. d'outrage sexiste où aucun contact n'existe entre l'auteur et la victime. considérées comme sexuelles : la poitrine, les fesses, les parties génitales.
· Il peut porter un intérêt soudain aux parties génitales des gens ou des animaux (questions, dessins, envie de donner des baisers, etc.…) ·Alors que jusque là tout allait bien, il peut avoir un sommeil agité, faire des cauchemars, mouiller son lit, avoir peur de dormir seul ou encore sans lumière.
L'abus et la négligence envers les personnes aînées peuvent être d'ordre physique, psychologique, financier, sexuel et spirituel. L'abus physique suppose le rudoiement ou la violence, même si ces manifestations ne causent pas de blessures. L'abus physique peut aussi se manifester par la menace de l'usage de la force.
Tenter par surprise d'embrasser quelqu'un sur la bouche constitue une tentative d'agression sexuelle réalisée par contrainte et surprise.
Une relation sexuelle n'est pas consentie si elle a lieu sous la contrainte ou la menace. D'autres situations peuvent empêcher une personne de donner son consentement librement, par exemple si elle n'a pas la capacité mentale de consentir ou si elle est mineure.
Les attouchements sexuels sont punis de 5 ans d'emprisonnement. Si la victime a moins de 15 ans au moment des faits : le viol est puni de 20 ans et les attouchements de 10 ans de prison et de 150 000 € d'amende.
L'abus émotionnel est un comportement psychologiquement destructeur de la part d'une personne en position de pouvoir, d'autorité ou de confiance, qui comprend une attaque continue sur l'estime de soi d'une personne.
L'abus physique sous-entend l'utilisation d'une force physique envers un enfant qui peut lui causer des blessures ou lui en a causées.
Rejet et humiliation : faible estime de soi, colère/rage, culpabilité, manque de régulation affective… Ces personnes ont tendance à être violentes et à maltraiter sur le plan émotionnel.
Un prédateur sexuel est une personne considérée comme obtenant ou tentant d'obtenir des actes sexuels avec une autre personne d'une manière métaphoriquement « prédatrice » ou abusive.
Certains agresseurs vont jusqu'à accuser leurs victimes d'être elles-mêmes négligentes, voire carrément maltraitantes. Il s'agit d'un jeu psychologique, utilisant l'influence et la perte de repères pour parvenir à des fins de domination.
une ITT de plus de 8 jours
représentent un délit passible de trois ans de prison et d'une amende de 45 000 euros.
La violence physique inclut les actes suivants : battre, brûler, porter des coups de pied, donner des coups de poing, mordre, mutiler ou tuer, utiliser des objets ou des armes.
Mauvais emploi, usage excessif ou injuste de quelque chose.
Il y a aussi un aspect physique des lésions cérébrales impliquées. Lorsqu'elles subissent un abus émotionnel constant, les victimes subissent un rétrécissement de l'hippocampe et un gonflement de l'amygdale, ces deux circonstances conduisent à des effets dévastateurs.
Détaillez votre agression au mieux. N'oubliez pas que pour être valide, la plainte doit être justifiée et doit donc être accompagnée d'un maximum de preuves. Pour cela, munissez-vous d'un certificat médical décrivant les blessures subies, leur gravité et/ou la durée d'ITT prévue.
Porter plainte au criminel
Toute personne qui a connaissance d'une agression sexuelle peut le faire, pas seulement la victime. C'est un procureur du Directeur des poursuites criminelles et pénales, souvent appelé « la couronne », qui décide si des accusations peuvent être déposées à la suite de l'enquête policière.
Si quelqu'un porte plainte contre vous, vous en serez informé par écrit ou par téléphone. Les forces de l'ordre vous communiqueront l'identité de la personne qui vous met en cause et le motif de la plainte.
Pour conclure, après le dépôt d'une plainte, la victime, l'auteur des faits et les témoins peuvent être convoqués si l'acte aboutit à l'engagement des poursuites. Toutefois, la loi pénale n'impose aucun délai de convocation.
Le 3919 n'est pas un numéro d'appel d'urgence. Sur la plateforme de signalement vous pouvez échanger avec des policiers ou des gendarmes spécialement formés aux violences sexistes et sexuelles qui peuvent déclencher des interventions. Anonyme et gratuit, ce tchat est accessible 24h/24 et 7j/7.