le coing est généralement commercialisé lorsqu'il est suffisamment mûr ; le coing mûr doit dégager un parfum agréable ; le coing doit posséder une peau bien jaune et sans meurtrissure, avec un fin duvet qui s'en va facilement en frottant, preuve de sa maturité ; au toucher, il doit rester bien ferme et intact.
Une récolte pour les stocker
Dans un objectif de conservation, il est conseillé de faire la récolte des coings avant leur maturation, car ils continuent à mûrir même après avoir été cueillis (on dit que c'est un fruit climactérique).
Sa récolte se fait le plus tard possible, entre octobre et novembre. Pour savoir si le coing est à maturation, il suffit d'observer sa couleur qui doit être d'un beau jaune doré, et de frotter délicatement le duvet qui doit s'ôter sans peine.
L'éthylène est un gaz qui accélère ce processus naturel. Pour faire mûrir des fruits pas assez mûrs, placez-les dans un lieu à température ambiante, sur un plat, dans la cuisine. Pour plus d'efficacité, vous pouvez recouvrir le plat d'une cloche. Ainsi, le gaz dégagé restera concentré sur les fruits.
Le coing a besoin de mûrir sur l'arbre, il ne peut pas être cueilli avant d'être mûr. Il se consomme donc en automne, au mois d'octobre-novembre jusque début décembre.
Sa mince peau verte devient jaune lorsque le fruit est mûr. La chair est très parfumée, sèche et ferme. Le coing ne se mange pas cru.
Consommé sous forme de gelée ou de pâte, le coing offrirait une action bénéfique et protectrice pour le colon et le rectum. Ses propriétés anti-diarrhéiques sont reconnues, et ses tannins joueraient un rôle protecteur sur la muqueuse intestinale.
Pourquoi?» Le cognassier, l'un des plus rustiques de nos arbres fruitiers, a rarement besoin d'être traité mais il peut lui arriver d'être attaqué par la tavelure, un champignon responsable de la chute prématurée des fruits. C'est ce qui est arrivé à vos coings, vos photos ne laissent aucun doute possible.
Le coing, riche en fibres et en fructose, devrait favoriser le transit intestinal. Or, il contient également de nombreux tanins (qui lui donnent son goût un peu acre). Ce sont ces tanins qui ralentiraient le transit intestinal. C'est pourquoi le coing est un fruit constipant et en revanche conseillé en cas de diarrhée.
Le coing est toujours consommé cuit, souvent en compote, en confiture, en pâte, en gelée et dans des gâteaux. Alors, n'hésitez pas et régalez vos proches autour de savoureuses préparations sucrées, mais aussi salées.
Pulvérisez de nouveau dès le gonflement des bourgeons et la reprise de la végétation. Si le printemps prochain est vraiment humide, une ou deux autres pulvérisations peuvent être envisagées, par temps sec uniquement et jusqu'au début de la formation des coings.
Faire bouillir 20 min dans la cocotte minute à très petit feu ou 30 minutes sans pression. Gardez le jus et enlevez avec l'écumoire les coings. Les passer sous l'eau froide. Les peler et enlever parties dures (cœurs).
Récoltés tout juste mûrs, les coings se conservent jusqu'à 2 mois dans un endroit frais (2-7°C) et bien aéré. Il faut les isoler de tous les autres fruits, auxquels ils risquent de transmettre leur puissant arôme.
Le coing se conserve dans un espace frais et aéré à l'air ambiant pendant plusieurs semaines. Il peut également être congelé si besoin. Pour cela il faut l'éplucher, l'épépiner et le couper en quartiers avant de les faire blanchir. Une fois refroidis, mettre les quartiers dans des sacs de congélation et au congélateur.
Le cognassier est un arbuste ou un petit arbre caduc qui appartient à la famille des Rosacées, cousin du pommier et du poirier. Originaire d'Eurasie, plus précisément du Caucase et d'Iran, il semble avoir été cultivé depuis encore plus longtemps que la pomme, et bien connu des Grecs et des Romains.
Choisir des coings à bonne maturité, éliminer au couteau toute pourriture. Broyer les coings (j'ai fabriqué un broyeur idéal). Presser (j'ai fabriqué deux pressoirs, un de 100l et un plus petit de 60 l) Filtrer et décanter le jus.
La banane, la pomme, la datte, la figue, le raisin, le kiwi ou encore les cerises sont également pourvues d'intéressantes propriétés laxatives. Pour plus d'effets, les fruits sont à consommer de préférence crus ou cuits.
Oui ! Le coing entier est riche en tanins et en pectine. Les tanins ralentissent le péristaltisme intestinal, et les pectines sont capables de retenir une grande quantité d'eau. Ces deux actions concourent à atténuer la diarrhée (sans pour autant en soigner la cause).
À l'inverse des prunes, des pruneaux, des oranges et de la plupart des fruits rouges, la banane fait partie des fruits qui constipent. Mais attention, lorsqu'elle est bien mûre, le sucre présent dans le fruit devient un laxatif naturel.
Le cognassier du Japon se tailler après la floraison qui a lieu au printemps. Coupez toutes les branches en surnombre, le bois mort et le bois cassé. Coupez ensuite à ras les rameaux qui gênent la silhouette pour réduire la ramification et obtenir un arbuste plus aéré.
Les jeunes fruitiers se séparent généralement de leurs fruits si toutes les conditions de leur survie ne sont pas réunies. La première des causes est le manque d'eau disponible, soit parce que l'enracinement est trop superficiel, soit parce que les ressources en eau ne sont pas suffisantes.
Pour favoriser la fructification du cognassier, il faut apporter à ce dernier un entretien régulier. En effet, pendant le printemps, le centre de l'arbre fruitier a besoin d'être aéré. La lumière peut ainsi passer et nourrir les différentes parties du cognassier.
Le coing est un anti- diarrhéique très puissant, grâce à 2 composants : Les fibres présentes en grande quantité (6g/100g), (pectine principalement), retiennent l'eau. Les tanins (70 mg/100g) ralentissent les contractions du tube digestif et donc la progression du bol alimentaire.
Ce fruit étonnant se consomme toujours cuit. En effet, sa forte concentration en tanins rend sa chair très âpre lorsqu'elle est crue. Heureusement, cette sensation disparaît à la cuisson pour laisser place à un goût floral délicat.
Il renferme plus de 84 % d'eau, dans laquelle sont dissous différents minéraux et oligo-éléments : potassium, phosphore, magnésium, fer, cuivre. Sa chair contient des vitamines du groupe B et de la vitamine C, cette dernière étant toutefois en grande partie détruite par la cuisson.