Liseur, euse n. et adj. = personne qui aime lire, qui lit beaucoup. Un grand liseur.
BIBLIOPHILE : Définition de BIBLIOPHILE.
L'amoureux des livres est appelé "bibliophile". Fier de sa propre bibliothèque, ce grand amateur d'ouvrages écrits est décrit par le Larousse comme une personne qui aime et recherche les livres rares et précieux.
Les séniors et les femmes comptent parmi les plus gros lecteurs. Le livre reste un objet de plaisir pour nombre de Français, qui en offrent volontiers à leurs proches.
illettré (adj.) illettré (n.m.)
Liseur, euse n. et adj. = personne qui aime lire, qui lit beaucoup. Un grand liseur.
anthropophobe . (Celui, celle) qui n'aime pas l'homme, les hommes. Synon. misanthrope.
LECTURE - Si l'Inde rafle la première place du classement, la France ne s'en sort pas trop mal, à la huitième place. Les pays occidentaux en mauvaise position. Les champions du monde de la lecture, les Indiens, lisent quatre heures de plus que les Français, avec 10h42 par semaine et par jour.
Alors, dans les pays qui lisent le plus, on retrouve en première place l'Inde, avec plus de 10 heures de lecture par semaine, suivie de près par la Thaïlande et la Chine.
Les hommes décrochent
Si 73 % des hommes avaient lu au moins un livre en 1981, ils ne sont plus que 52 % en 2018. Alors que la proportion de lectrices, elle, reste stable. Elles étaient 73 % en 1981, 70 % en 2018.
Selon un classement du World Culture Index, les plus gros lecteurs de la planète seraient les Indiens : ils consacreraient plus de 10 heures par semaine à la lecture. Juste derrière l'Inde, on retrouve d'autres pays asiatiques : la Thaïlande, la Chine et les Philippines.
Le lecteur chronologique: celui qui lit un livre l'un après l'autre, méthodiquement, sans jamais le lâcher avant la fin. Le lecteur casseur: celui dont les livres sont écornés, fatigués, plein de sable ou auquel manquent des pages. Son contraire: le bibliophile, celui qui aime les livres plus encore que leurs contenus.
Car en 2021, seuls 80% des 15-24 ans se perçoivent comme lecteurs, ils étaient 92% à le penser en 2019. 91% des jeunes sondés ont lu au moins un genre littéraire cité dans l'enquête, une chute de sept points par rapport à 2019. Ils restent malgré tout la tranche d'âge qui lit le plus, juste devant les seniors.
Le fait de lire a un effet immédiat sur le cerveau. Le corps et l'esprit se détendent au bout de quelques minutes grâce au travail répétitif (et fatigant) des yeux. Lire est bon pour le moral et permet en effet de placer son corps et son esprit dans un état capable d'accueillir le sommeil rapidement.
7) Le bibliothécaire
Le documentaliste, qui travaille principalement dans les Centres de documentation et d'information (CDI) des collèges et des lycées. Il est possible que ce soit le bibliothécaire qui vous ait fait aimer les livres.
Selon le baromètre du Centre national du livre, plus de 4 Français sur 5 se déclarent lecteurs. C'est plus qu'en 2017. Ce sont les jeunes qui lisent de plus en plus (91 %, +9 points), mais ceux qui considèrent lire "beaucoup de livres" sont toujours les femmes (32 %) et les 65 ans et plus.
Une étude de l'ONG International Publishers Association montre que deux pays dominent la production mondiale de livres. En 2015, la Chine a publié un total de 470 000 nouveaux titres alors que les États-Unis arrivaient en deuxième position avec presque 339 000 ouvrages publiés.
Les vrais solitaires sont des personnes qui embrassent le temps passé seul. Ceux qui deviennent violents sont généralement des personnes seules contre leur volonté : ils veulent s'intégrer , ils veulent être aimés et être l'objet de désir. Mais ils ont au contraire été exclus et rejetés.
Adjectif. Qui est misanthrope, qui éprouve de l'hostilité, voire de la haine envers le genre humain.
adjectif. Qui persévère ; qui a de la persévérance. ➙ obstiné, opiniâtre, patient.
Nous sommes très nombreux à être librocubicularistes sans le savoir. En effet, ce terme désigne tout simplement une personne qui lit dans son lit ! Il semble que ce mot ait été inventé par l'auteur, essayiste et poète américain Christopher Morley dans son roman The haunted Bookshop paru en 1919.
Les lecteurs exercent souvent un autre métier à côté : écrivains, souvent, étudiants souhaitant mettre un pied dans l'édition, ou même, comme Virginie Arthus-Bertrand, coach sportif à domicile. Il faut dire que l'activité n'est pas très rémunératrice. Un lecteur est payé entre 30 et 90 euros.
Il n'existe aucun diplôme spécifique formant précisément au métier de lecteur-correcteur. Néanmoins, des formations sont proposées dans des écoles spécialisées et il est préférable d'avoir une formation supérieure de niveau bac + 3 si l'on se destine à ce métier.
Les réponses des bibliothécaires sont presque unanimes à le souligner : on lit pour se distraire, beaucoup plus qu'avec le souci de s'instruire. Ce besoin de distraction correspond également à un besoin d'évasion.