La coule, aussi appelée cuculle (du latin cucullus), est un vêtement à capuchon porté par les moines.
Ainsi, la soutane est noire pour les prêtres, violette pour l'évêque, rouge pour le cardinal.
Le kesa a aussi une grande importance symbolique. C'est le vêtement de la transmission, remis par le maître au nouveau moine ou à la nouvelle nonne lors de l'ordination, symbolisant le lien spirituel qui unit, depuis le Bouddha Shakyamuni, le maître et son disciple.
Vêtement fait de cette étoffe, porté par les membres de certains ordres religieux qui ont fait vœu de pauvreté. Un moine portant la bure.
La bénédictine porte une robe noire à larges manches, une tunique sous la robe, un scapulaire noir, une guimpe blanche, un bandeau blanc et un voile noir. Au chœur, la religieuse bénédictine porte la coule monastique noire mais sans capuchon.
La chape. Il s'agit d'un manteau ample, sans manches mais avec capuchon, que le prêtre, et d'autres ministres aussi, revêtent lors de certains offices solennels, en dehors de la messe.
La soutane intérieure (souvent appelée tout simplement soutane) est une robe portée par tous les clercs, moines, et souvent par des séminaristes. Les lecteurs et les sous-diacres la portent souvent quand ils sont à l'église, mais en général ils ne sont pas censés la porter au quotidien.
Progressivement les évêques et les autres clercs l'ont porté aussi pendant les liturgies. L'étole est une longue bande de tissu de couleur identique à la chasuble (l'origine de ce mot signifie « vêtement long ») que portent les évêques, prêtres et diacres, signe de leur ordination.
Fascia (ceinture)
Sa couleur dépend de la dignité de celui qui la porte, rouge de soie moirée pour les cardinaux, violette de soie moirée pour les nonces, violette de soie lisse pour les évêques et les prélats ou noire de soie lisse pour les prêtres.
Blanc pour les fêtes. Rouge pour les martyrs et la Pentecôte. Vert pour le temps ordinaire. Violet pour les temps de pénitence : Avent, Carême et enterrements.
L'orange a été choisi principalement en raison de la teinture disponible à l'époque. La tradition est restée et l'orange est aujourd'hui la couleur de prédilection des adeptes du bouddhisme Theravada en Asie du Sud-Est, par opposition à la couleur marron des moines tibétains.
La tonsure est une pratique adoptée par certaines Églises, consistant à raser une partie des cheveux d'un clerc. Signe de renonciation au monde, elle est aussi, avec la prise d'habit et le changement de nom, un élément d'un rituel de mort et de renaissance qui efface les péchés antérieurs.
Avant la loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat de 1905, les prêtres étaient payés par l'Etat, qui leur versait un salaire. Depuis cette date, ils font appel aux dons des fidèles pour se verser un salaire. S'ils étaient salariés de l'Etat, ils sont désormais salariés d'associations créées par l'Eglise.
Le kamilavkion (du grec καμιλαύκιον) est un couvre-chef cylindrique, généralement de couleur noire, porté par les moines orthodoxes ou catholiques-orientaux, pouvant être recouvert d'un koukoulion (κουκούλιον : voile blanc ou noir), lorsqu'ils remplissent des fonctions dans la hiérarchie ecclésiastique (hiérodiacres, ...
Religieuse: elle est vêtu d'un voile. Curé: il a une longue robe marron. Chanoine: il a une grande robe noir et une sorte de gros gilet blanc. Pape: avec une croix à triple traverse et de grandes robes.
moniale n.f. Religieuse à vœux solennels.
La barrette, de l'italien berretta lui-même emprunté au latin médiéval biretum, est une coiffe de forme carrée, en étoffe doublée de tissu épais, de carton ou de cuir, autrefois portée au chœur par les clercs qui n'avaient pas l'usage de la mitre et parfois comme coiffure ordinaire en dehors des églises.
L'étole, dérivé du latin stola qui signifie longue robe, lui-même du grec στολη (stolē), est un morceau de tissu porté sur les épaules, dans son usage profane, et un ornement liturgique de l'évêque, du prêtre et du diacre. Elle est l'insigne par excellence de la prêtrise.
La tiare pontificale, appelée aussi le trirègne (en latin tiara ou triregnum), est la triple couronne des papes, à caractère non liturgique (contrairement à la mitre papale), mais doctrinal car la tiare symbolise le pouvoir pétrinien donné par Jésus-Christ à saint Pierre.
Indissociable de la figure contemporaine du Pape, la soutane blanche n'a pas toujours été son « vêtement officiel ». Naguère rouge, la soutane est devenue immaculée depuis le pontificat de Saint Pie V qui appartenait à l'Ordre des Dominicains dont la tenue est blanche.
Le vêtement liturgique propre du diacre est la dalmatique qu'il doit revêtir sur l'aube et l'étole. Afin de respecter une noble tradition de l'Église, il est louable de ne pas faire usage de la faculté d'omettre la dalmatique.
L'aube est une tunique longue allant jusqu'aux pieds et de couleur blanche, à manches étroites, serrée à la taille par un cordon. Elle est portée par tous les clercs, de l'évêque à l'acolyte comme habit liturgique.
Le jupon, aussi appelé fond de robe pour femme, est un accessoire qui se glisse en dessous de votre robe ou de vos jupes afin de maintenir celles-ci en place. Le jupon blanc peut, par exemple, jouer le rôle de fond de jupe, afin d'atténuer la transparence de celle-ci et lui donner davantage de matière.
Le qamis est le vêtement que portent les hommes musulmans, en règle générale, pour se rendre à la mosquée prier.
Dans les coutumes orientales, la djellaba est un symbole d'élégance et de raffinement. La djellaba est un costume qui a marqué le patrimoire et l'histoire du monde musulman. Aujourd'hui, la djellaba est moderne, mais c'est toujours une tenue traditionnelle que de nombreux Maghrébines et Maghrébins apprécient beaucoup.