L'apathie se caractérise par une perte de motivation, de désirs et d'émotions. Un comportement apathique peut être la conséquence d'un traumatisme émotionnel, de troubles psychologiques ou de lésions cérébrales.
La solution : redéfinissez vos objectifs. S'ils ne vous donnent plus envie de vous dépasser, c'est qu'ils ne sont plus alignés avec ce que vous voulez vraiment. Alors, prenez le temps de vous reposer la question de ce que vous désirez, et revoyez vos objectifs en fonction. Chacun se motive à sa manière.
Le manque de motivation s'exprime par le sentiment de ne plus avoir envie de rien faire, même les activités auxquelles on s'adonne avec un certain plaisir peuvent nous rebuter. Tout semble exténuant et le corps est trop faible pour s'atteler à des taches habituelles.
L'apathie est définie médicalement comme un déficit persistant de la motivation rapporté par le sujet lui- même ou par l'entourage. Cet état contraste avec le niveau antérieur de fonctionnement du sujet ou les standards d'âge et de culture.
L'aboulie est un trouble psychique qui se caractérise par une absence ou une diminution de la volonté. Ce trouble est le plus souvent présent au cours d'une maladie psychiatrique. Son traitement associe psychothérapie et médicaments.
L'anosognosie signifie l'absence de prise de conscience ou une prise de conscience amoindrie des troubles. Elle est fréquente chez les patients souffrant de maladie d'Alzheimer ou d'autres types de démences.
L'anhédonie, ou perte de la capacité à ressentir le plaisir, est un symptôme central de la dépression majeure, de la schizophrénie et d'autres troubles neuropsychiatriques.
L'obsession de rester couché dans son lit, ce que les spécialistes appellent la clinophilie ou la clinomanie, pourrait constituer un symptôme annonciateur de troubles mentaux plus graves, comme la dépression ou la schizophrénie.
L'apathie se caractérise par une perte de motivation, de désirs et d'émotions. Un comportement apathique peut être la conséquence d'un traumatisme émotionnel, de troubles psychologiques ou de lésions cérébrales.
Lors d'un épisode dépressif, la personne atteinte de ce trouble présente une humeur morose (sentiment de tristesse, d'irritabilité, de vide) ou une perte de plaisir ou d'intérêt pour les activités, pendant la majeure partie de la journée, presque tous les jours, pendant au moins deux semaines.
Les personnes souffrant de lypémanie ou dépression sévère présentent une humeur dépressive presque toute la journée, presque tous les jours, une tristesse constante voire des pleurs, une fatigue et perte d'énergie, une perte de l'intérêt et du plaisir (elles n'ont plus envie de rien et plus rien ne leur fait plaisir).
La dépression est caractérisée par un désintérêt général. La personne atteinte n'a plus envie, ni la force de rencontrer ses amis, de sortir pendant la journée ou en soirée. Même des personnes qui étaient très actives auparavant peuvent soudainement ne plus sortir du tout et souffrir d'un profond repli sur soi.
Quelles sont les causes de l'apathie ? L'apathie peut être la conséquence d'un traumatisme, de troubles psychologiques, et de lésions neurologiques ou cérébrales. Même si elle est associée à des maladies très diverses, celle-ci est souvent liée à la maladie d'Alzheimer.
Causes liées à l'environnement :
La démotivation peut résulter d'un mauvais management. Le milieu de travail est souvent le domaine le plus touché par la démotivation : tâches répétitives, sentiments de ne pas progresser, manque de reconnaissance de la hiérarchie, mauvaise ambiance générale...
Se sentir vide est associé à la tristesse, à la peine. Ce sentiment est souvent dû à une rupture du quotidien, comme nous l'explique Joëlle DENOYER, notre psychologue. On peut alors ressentir l'abandon, la solitude et une sensation de rejet. Un sentiment qui se situe dans le ventre et le thoraxe.
L'épuisement émotionnel se traduit par un état d'épuisement général, aussi bien sur le plan physique qu'émotionnel. Il s'agit notamment d'un phénomène qui peut découler d'une période de surmenage intense ou de stress prolongé. Ses origines sont souvent multifactorielles.
Les symptômes de l'anhédonie
L'indifférence caractéristique des patients pour les interactions sociales ; L'absence d'émotion positive ; L'extinction de l'affection pour la famille et les amis ou l'incapacité a aimé ; La perte de satisfaction dans diverses activités.
Définition de la clinophilie
Il s'agit, de fait, d'une tendance à vouloir toujours être dans son lit, et par extension, d'une tendance à vouloir rester chez soi.
Clinophilie: De la tendance à la pathologie. De la simple difficulté récurrente à sortir de son lit, à la clinophilie ( le fait de rester au lit, la journée, allongé, pendant des heures, tout en étant éveillé), rester au lit alors que rien ne le justifie sur un plan somatique, n'est pas un symptôme anodin.
Incapacité d'identifier ses sentiments
Les personnes souffrant d'alexithymie sont incapables d'identifier leurs sentiments et de pouvoir les distinguer de leurs sensations corporelles. Le patient décrit sans cesse des symptômes physiques en lieu et place de tentatives de l'expression de ses sentiments.
L'anhédonie se caractérise par le fait de ne ressentir aucune émotion positive et il s'agit en réalité d'un système de défense généré par notre cerveau. L'alexithymie, en revanche, est un trouble qui rend le patient incapable de discerner ses émotions.
Les personnes atteintes souffrent généralement de troubles de l'équilibre (démarche titubante, dite « pseudo-ébrieuse »), de troubles de la coordination des mouvements et de problèmes d'élocution (parole scandée, explosive et mal articulée).