La Menorah est un chandelier à sept branches utilisé par les Juifs à partir du VIIIe siècle.
Chandelier à sept branches construit pour orner le Temple de Jérusalem dans la religion juive. Les flammes représentent la présence de Dieu. Exemple : La Menorah trône sur la table.
Le soir du Shabbat, on allume les bougies de Hanoucca avant celles de shabbat, et au moins une des bougies doit être suffisamment longue pour durer 1h 40, afin qu'elle reste allumée une demi-heure après la tombée de la nuit.
J-C, les juifs ont adopté la ménorah comme emblème: après avoir représenté la lumière intérieure d'un peuple constitué en nation, désormais elle représentait la nation juive disloquée et dispersée. On la retrouve souvent dans les maisons des Juifs ou dans les Synagogues.
Une hanoukkia (hébreu : חַנֻכִּיָּה, plur. hannoukiot) est un chandelier à neuf branches dont une branche particulière est appelée shamash. Ce chandelier est utilisé par les Juifs lors de la célébration de Hanoucca, la fête des lumières, qui commémore la victoire des Maccabées sur les légions syriennes séleucides.
Que font les juifs pendant cette fête ? Pour commémorer le miracle des lumières, les juifs allument chaque soir de cette fête une bougie supplémentaire à la ménorah. Ce chandelier comporte neuf branches : huit branches pour accueillir les huits bougies, une neuvième pour porter la bougie utilisée pour l'allumage.
Le mezouza en respect des commandements de Dieu est aussi une marque d'appartenance à la communauté juive. À Mezouza (h) est un petit parchemin écrit à la main traditionnellement fixé sur les portes dans les maisons juives.
Selon Zacharie, ces sept lampes sont les yeux de Dieu qui veillent sur toute la Terre (ceci est une interprétation ; les sept yeux semblent plutôt signifier l'omniscience de Dieu). Toujours selon Zacharie, le chandelier à sept branches est encadré de deux oliviers qui fournissent l'huile aux lampes.
Dans ce temple, il y avait une esplanade sur laquelle était placée un chandelier avec sept branches qu'on allumait en permanence. Et cette lumière particulière représentait, selon la Bible, le signe de la présence de Dieu dans le monde, et plus particulièrement à cet endroit, à Jérusalem.
L'étoile de David, appelée également Maguen David ou Maghen Dawid, signifie Bouclier de David. Il s'agit du symbole de la religion juive. Elle représente deux triangles superposés formant une étoile à 6 branches. Ce symbole remonterait au VIIème siècle avant JC.
Alors que le grand temple de Jérusalem avait été profané et était voué au culte de Zeus, une poignée de résistants juifs parvint à défaire les troupes séleucides et à reconquérir Jérusalem, édifiant un nouvel autel dans le temple. Le mot hanouka, qui signifie "inauguration", célèbre donc cette reconquête.
Installez la bougie shamash sur la hanoukkia.
Toutes les nuits de Hanoucca, vous devez poser et allumer la shamash en premier avant d'allumer les autres bougies.
L'histoire
Hanouka (חג החנוכה, qui signifie "édification" ou "inauguration" en hébreu) commémore l'inauguration du Second Temple de Jérusalem, en 165 A.C.N. Cette fête est un hommage à la famille juive des Maccabées, qui est parvenue à prendre le dessus sur le roi Antiochos IV.
Ils notent que les Judéens se rassemblent dans des synagogues, où ils s'occupent de lire la Torah et d'étudier ses règles, alors qu'aucun ne fait mention de la prière en public; la lecture de la Torah l'aurait donc précédée (la prière individuelle est cependant déjà mentionnée dans le Tanakh).
1. À l'époque romaine, haut support de luminaire, ornementé, en bronze ou en marbre. 2. Aux époques médiévale et moderne, chandelier ou flambeau à plusieurs branches.
Difficultés. Les trois graphies kasher, casher et cachère sont admises. Kasher est la plus fréquente.
L'interdiction du fromage est due à la double précaution de faire ajouter par un Juif au lait casher de la présure d'origine animale (extraite de l'estomac des ruminants) dont il est établi qu'elle provient d'animaux casher ; de nos jours, la présure casher est obtenue par reconstitution de conditions dans lesquelles ...
Pessa'h (en hébreu : פֶּסַח, Pessa'ḥ ; en latin : Pascha, « Pâque ») est l'une des trois fêtes de pèlerinage du judaïsme prescrites par la Bible hébraïque, au cours de laquelle on célèbre l'Exode hors d'Égypte et le début de la saison de la moisson de l'orge qui inaugure le cycle agricole annuel.
Pendant ces 7 jours, on commémore l'Exode hors d'Egypte. La Pâque juive est l'une des fêtes les plus importantes de la religion hébraïque car, au-delà de la libération du joug de Pharaon, elle célèbre également la naissance d'Israël et la fin de l'asservissement.
Pour les Pharisiens et les docteurs de la Torah, l'étoile à six branches symbolisait les six jours de la semaine, le septième jour, celui du repos divin (le shabbat), était symbolisé par le centre de l'étoile. C'est en quelque sorte une représentation de la plénitude du chiffre sept, chiffre sacré.
Selon la doctrine religieuse, vous devrez fixer une mezouzah à l'entrée de chaque pièce. Vous devrez en placer une à l'entrée des couloirs et des dressings, mais pas à la porte des zones impures et où de celles où l'on n'est pas habillé décemment, comme les toilettes et les piscines intérieures X Source de recherche .
Ouvrir sa fenêtre, allumer une bougie est un geste de solidarité que tous peuvent offrir en hommage aux défunts, victimes du Covid-19, ainsi qu'à tous ceux qui nous aident à garder espoir : soignants, autorités politiques, mais aussi famille, amis, voisins .
La bougie : symbole de fertilité et d'innocence
Dans la Grèce Antique, les bougies étaient allumées en guise d'offrande aux dieux des Enfers ainsi qu'à ceux représentant la fertilité. Ainsi, on retrouve une nouvelle fois l'idée que la flamme d'une bougie représente la vie, la pureté et l'innocence.
Chaque 8 décembre à la tombée de la nuit, les Gones et Fenottes [surnoms des habitants] mettent des lumignons [petites bougies cannelées] sur leurs fenêtres pour illuminer la ville et rendre hommage à la Vierge Marie. Une coutume qui s'exporte au-delà des frontières rhodaniennes.
C'est pour commémorer le droit des enfants à retourner étudier la Torah après que les Grecs l'aient interdit pendant des années, qu'il est devenu courant de leur donner le « démei Hanouka », c'est-à-dire une petite somme d'argent censée les inciter symboliquement à retourner étudier.