Tel le malade imaginaire, l'hypocondriaque se croit malade à cause de symptômes qu'il s'invente ou qu'il exagère. Et à force, se rend vraiment malade. Quels sont les symptômes de l'hypocondrie ?
Et, oui, cela est susceptible d'arriver à tout le monde. » Les facteurs de déclenchement sont multiples, assure la psychiatre : « Un deuil brutal, un gros chagrin d'amour, une passion, une trahison… Les situations stressantes, alliées à des facteurs amplifiants comme la prise de toxiques – alcool, drogues, etc.
Les symptômes les plus connus sont le repli sur soi, l'incapacité d'agir, les sautes d'humeur, un comportement désorganisé, des problèmes de concentration, des mouvements répétitifs, des difficultés à tenir une conversation.
La schizophrénie est une maladie psychiatrique caractérisée par un ensemble de symptômes très variables : les plus impressionnants sont les délires et les hallucinations, mais les plus invalidants sont le retrait social et les difficultés cognitives.
La peur de devenir fou est parfois la raison-même qui mène au premier rendez-vous avec le psychologue. Il s'agit souvent d'une grosse inquiétude, qui provient généralement de pensées intrusives automatiques et incontrôlables, qui sont souvent à caractère agressif (faire du mal à quelqu'un, à un enfant, à soi-même).
Un fou qui pense qu'il est fou est pour cette raison même un sage. Le fou qui pense qu'il est un sage est appelé vraiment un fou. Cette phrase de Bouddha contient 28 mots. Il s'agit d'une citation de longueur normale.
Comme dans tous les troubles phobiques, l'agoraphobie comporte trois composantes : l'anxiété anticipatoire d'être confronté à la situation phobogène ; la réaction anxieuse elle-même ; le comportement d'évitement qui permet au patient de diminuer l'anxiété.
Une idée reçue très répandue est que les personnes schizophrènes peuvent être dangereuses pour les autres lors de leurs crises psychotiques. «La grande majorité d'entre eux ne sont dangereux que pour eux-mêmes, rappelle le docteur Gut-Fayand. Mais environ la moitié des patients fait au moins une tentative de suicide.»
La schizophrénie se manifeste par une incapacité à discerner le réel de l'irréel.La personne touchée n'est pas consciente de sa maladie. Elle apparaît le plus souvent chez les adolescents et les jeunes adultes.
Les effets de ce traitement se maintiennent au cours des années. Parfois, on observe une amélioration après l'âge de 40 ans qui permet de diminuer le traitement, voire de le supprimer progressivement. Sans traitement, la maladie s'aggrave souvent.
Schizophrénie. La schizophrénie touche environ 24 millions de personnes – soit une sur 300 – dans le monde (1). Les personnes qui en sont atteintes ont une espérance de vie de 10 à 20 ans inférieure à celle de la population générale (4).
Non. Chaque maladie – physique ou mentale – laisse des traces dans l'organisme. Mais elle a parfois des conséquences positives. Le terme de guérison est toujours difficile à définir dans la mesure où l'idéal qu'il représente n'est que rarement, voire jamais, atteint.
La forme de la folie, son évolution, sa fin ont un caractère irréfutable qui indique son origine. Dans son Traité sur les maladies mentales, Morel est très précis sur sa conception de l'hérédité : les parents transmettent à leurs descendants des affections nerveuses.
Les actions décalées sont parfois attribuées à de l'originalité ou de l'excentricité. Mais quand le hors-norme devient systématique, notamment lorsqu'il est accompagné de paroles délirantes, on considère volontiers qu'il relève de la folie.
2. Dont le comportement est extravagant, déraisonnable, imprudent ou malavisé : Un automobiliste fou l'a renversé. 3. Qui est hors de soi, très énervé, à bout de nerfs : Un homme fou de colère.
Le sujet répond le plus souvent favorablement aux traitements antipsychotiques. La schizophrénie catatonique : cette forme de schizophrénie est la plus grave et le traitement est difficile.
Les neuroleptiques améliorent l'évolution de la schizophrénie de manière favorable. Le traitement prévient également les rechutes et doit donc être pris en continu. Le contrôle de la maladie passe par l'observance du traitement.
La maladie touche les femmes comme les hommes mais selon les chiffres de l'OMS, ces derniers sont plus touchés, 12 millions d'hommes sont atteints de schizophrénie dans le monde, pour 9 millions de femmes. La schizophrénie serait également plus précoce chez l'homme.
Expérimentalement, le sommeil des schizophrènes se caractérise avant tout par un retard d'endormissement, une réduction du temps total de sommeil,une augmentation de l'éveil intrasommeil et du nombre de réveils nocturnes.
A l'extrême, ceci peut aller jusqu'à des stéréotypies gestuelles (parole explosive, balancement saccadé du cou) ou des comportements déroutants : éclats de rire dans une situation grave ou, au contraire, pleurs inattendus.
Signes et symptômes à repérer : Émotionnels : tristesse, peur, angoisse, irritabilité, sentiment de dépréciation de soi. Comportementaux : humeur labile, agressivité, difficultés à trouver de l'intérêt dans ses activités, à exécuter des tâches quotidiennes, abus de certaines substances.
Le trouble explosif intermittent (TEI) est un trouble comportemental caractérisé par des expressions extrêmes de colère, souvent au point de violence, disproportionnées par rapport à la situation qui survient (voir aussi à la définition de Seb Bouyer).
Le terme tachypsychie provient des mots grecs tachy qui signifie rapide et psyche qui signifie âme. Il s'agit non pas d'une maladie mais d'un symptôme psychopathologique caractérisé par une accélération anormale du rythme de la pensée et des associations d'idées créant un état de surexcitation.
On croit que le stress répété peut entraîner des changements de structure dans le cerveau et, progressivement, occasionner des symptômes plus graves : de l'anxiété, des crises de panique, des phobies, de la dépression, des dépendances, des troubles de l'alimentation (anorexie/boulimie).