Sous mandat britannique à partir de 1920, la Palestine est finalement partagée par l'ONU en 1947 avant que David Ben Gourion ne proclame l'indépendance d'Israël en 1948.
Le territoire actuel sur lequel s'est constitué l'État d'Israël est celui appelé Filastin (ou Palestine) par les Arabes et Eretz Israel (ou «Terre d'Israël») par les Juifs. Avant la Première Guerre mondiale, la Palestine était sous domination de l'Empire ottoman et comptait 590 000 habitants, dont 57 000 Juifs.
En 1948, pendant la guerre qui l'oppose aux pays arabes voisins, l'État juif envisagé dans la résolution déclare son indépendance sous le nom d'Israël et prend le contrôle de 77 % du territoire de la Palestine sous mandat, notamment de la majeure partie de Jérusalem.
L'année 1948 signe la nakba (« la catastrophe ») pour le peuple palestinien : la proclamation de l'État d'Israël par David Ben Gourion et la première guerre israélo-arabe, qui contraint les Palestiniens à s'exiler massivement. Cet événement marque le début du long conflit israélo-palestinien.
Dans l'usage courant, le plus ancien est « pays de Canaan » (Canaan désigne un peuple). Les Juifs appelaient la région Eretz Israël, la terre d'Israël, qui fut divisée après la mort du roi Salomon entre les royaumes d'Israël au nord et de Juda au sud.
Annexée par l'Empire ottoman au XVIe siècle, la Palestine restera sous influence turque jusqu'au démantèlement de l'Empire après la première guerre Mondiale.
Les premiers habitants connus de la Palestine historique furent les Cananéens, qui n'ont rien de commun avec les Palestiniens arabophones actuels. Le terme de Cananéen peut être considéré comme un synonyme du mot Phénicien.
Les pays n'ayant pas de telles relations avec Israël sont généralement des pays musulmans à l'exception de la Turquie, de l'Égypte et de la Jordanie puis de ceux ayant signé les accords d'Abraham. Il faut aussi citer parmi les pays sans relations diplomatiques avec Israël, Cuba et la Corée du Nord.
Pour comprendre le conflit qui oppose Israël à la Palestine, il faut remonter aux origines du mouvement sioniste et à la création de l'Israël. En 1948, la proclamation de l'État juif ne prend pas en considération le territoire palestinien et s'empare des villes arabes. Depuis, le conflit se poursuit.
Dans la déclaration d'indépendance de 1948, l'État juif proclamé par le conseil national représentant la communauté juive de Palestine et les mouvements sionistes prend pour nom Israël, rejetant les possibles autres noms de Sion, Judée ou Eretz Israel (« Terre d'Israël »).
En résumé La création par l'ONU, en 1948, d'un État juif est d'abord le fruit de la détermination des sionistes à bâtir un « foyer national juif ». Les premières installations de nationalistes et de religieux juifs débutent à la fin du XIXe siècle en Palestine, alors sous administration ottomane.
Toute personne née d'un père israélien ou d'une mère israelienne, est un citoyen israélien de naissance, selon la loi sur la nationalité. Il convient de noter que cette règle vaut également pour un enfant né d'un citoyen israélien en dehors d'Israël.
« Palestine » est un terme que les Sionistes ont inventé ». Certains historiens considèrent l'identité palestinienne comme une invention, encouragée par les États arabes en conflit avec Israël.
Le 20 septembre 1948 , la Ligue arabe déclare la création d'un gouvernement palestinien, et le 22 septembre un gouvernement arabe de toute la Palestine est établi dans la Bande de Gaza occupée par l'Égypte. Cette décision n'est pas acceptée par la Jordanie qui annexe les territoires qu'elle occupe.
Les États-Unis et l'Union européenne via l'UNRWA en sont les principaux contributeurs. Depuis les années 2000, l'Union européenne a financé l'UNRWA de 1,6 milliard d'euros.
La France est résolument engagée pour une solution au conflit israélo-palestinien selon les paramètres internationalement agréés : deux Etats vivant en paix et en sécurité le long de frontières sûres et reconnues ; des frontières tracées sur la base des lignes de 1967, avec des échanges de territoires mutuellement ...
L'Etat d'Israël a été déclaré le 14/5/1948 et reconnu par les Nations unies le 11/05/1949 ; il est maintenant temps de reconnaître l'Etat palestinien avec sa pleine souveraineté.
Histoire. Le Conseil national palestinien déclare unilatéralement l'indépendance de la Palestine le 15 novembre 1988 à Alger, lors de sa dix-neuvième réunion. L'Algérie est le premier pays à reconnaître l'État de Palestine. Dans les jours qui suivent, soixante-quinze États reconnaissent cette indépendance.
Cette Eretz Israel est également appelée Terre promise par les Juifs en référence à la première promesse qu'a faite Dieu à Abraham, Isaac et Jacob de donner ce pays à eux et en héritage à leur descendance dans la Genèse : « Et je t'ai donné à toi et à ta postérité la terre de tes pérégrinations, toute la terre de ...
Capitale : les principaux ministères sont installés à Ramallah. Jérusalem-Est est revendiquée pour être la capitale du futur État palestinien.
Cette région correspond plus ou moins aujourd'hui aux territoires réunissant Israël, Palestine, l'ouest de la Jordanie, le Liban et l'ouest de la Syrie.
Les principaux points litigieux sont : l'objectif d'une reconnaissance mutuelle des deux peuples, laquelle n'est à ce jour pas absolue ; l'objectif de création d'un État palestinien aux côtés d'Israël et les problèmes posés par la contiguïté de leurs territoires (sécurité) et le tracé ultime des frontières (question du ...
Le conflit du Moyen-Orient entre l'Israël et la Palestine dure depuis 1948 avec la création de l'État d'Israël. Ces tensions géopolitiques sont matérialisées par les affrontements violents dans la bande de Gaza, à Jérusalem ou encore par les déclarations polémiques d'hommes politiques.
La terre promise
La Terre Sainte englobe un vaste territoire dans lequel tient l'actuel Israël, une partie du territoire syrien, la Palestine, la côte méridionale du Liban, une partie de la Jordanie, ainsi que Égypte, notamment avec l'épisode de la fuite en Égypte de la Sainte Famille.