En 1871, le ministère prend le nom de ministère de l'Instruction publique et des Beaux-Arts.
À partir de la fin du xviii e siècle, au sein des sociétés européennes en évolution, l'éducation allait se manifester à la fois comme un enjeu social, comme une composante de la croissance économique, comme une organisation nationale, comme une idée régulatrice et un projet de gouvernement.
- Avant, l'école était différente. Les enfants étaient tous habillés d'une blouse grise. Ils écrivaient à l'aide d'un porte-plume qu'ils trempaient dans un encrier. - Depuis, les hommes ont inventé de nouveaux objets plus perfectionnés : des stylos, des feutres, des tableaux blancs…
Chez les Hébreux : L'éducation est initialement confiée à la famille et porte sur la lecture, l'écriture et l'histoire du peuple de dieu. Elle se fait sur la base du texte sacré. Les mathématiques, l'astronomie, la littérature et la géographie sont enseignées au degré supérieur.
Le système éducatif médiéval est basé sur de nombreuses disparités. Le premier degré de disparités est d'ordre géographique. En effet, à la fin du Moyen-Age une grande majorité de jeunes citadins apprennent à lire et calculer (ou écrire). Rares sont ceux qui maîtrisent à la fois la lecture et l'écriture.
Les classes des écoles du XIXème siècle sont très chargées : il peut y avoir jusqu'à 5O élèves dans une même classe. Les classes sont très souvent aussi multi-niveaux. Les matières principales sont la lecture, l'écriture et le calcul. On généralise également l'usage du français dans les écoles.
L'école des années 50 était beaucoup moins moderne qu'aujourd'hui. Les tableaux numériques et vidéo-projecteurs ont remplacé les tableaux à craie, les pupitres ont laissé leur place à des tables plates, et les élèves ont troqué leur porte-plume et bouteille d'encre contre des stylos bille de toutes les couleurs.
Oui, la pédagogie reposait essentiellement sur la répétition : tables de multiplication, récitations, pages d'écriture, exercices dans le Bled (la bible scolaire d'alors). C'est ainsi que les écoliers connaissaient sur le bout des doigts des poèmes dont le sens leur échappait .
Ils recommençaient l'après-midi et le soir. Les devoirs à la maison étaient nombreux. On pouvait être plus d'une quarantaine dans la même classe. Il n'y avait pas de cantine ; quand les familles habitaient loin, les enfants mangeaient à l'école : l'été sous le préau et l'hiver autour du poêle.
Les 3 sortes d'éducation
L'éducation grâce aux hommes : apprendre à utiliser notre corps et nos facultés intellectuelles (grande maîtrise) L'éducation grâce aux choses : notre propre expérience en fonction de notre environnement (maîtrise partielle)
L'éducation traditionnelle est fonctionnelle : elle prépare autant la jeune fille que le jeune garçon à jouer un rôle important dans la vie : être, par exemple, éleveur ou chasseur, pour le garçon, et, pour la jeune fille, être bonne ménagère pour s'occuper des enfants et cuisiner, tenir la maison.
Pourtant, par sa pensée utopique et « sa modernité paradoxale », Comenius aura préparé le monde protestant à accepter le rationalisme plutôt antichrétien des Lumières. Il est souvent considéré aujourd'hui comme le père de l'éducation moderne.
1870 : début de la IIIe République. 1874 : loi interdisant le travail des enfants avant l'âge de 12 ans. 1880 : les filles ont le droit d'aller au collège et au lycée. 1881-1882 : les lois Jules Ferry (nom du ministre de l'Instruction publique) rendent l'école primaire publique gratuite et laïque.
Le ministère de l'Économie et des Finances est le département ministériel chargé de la gestion des finances publiques et de la politique économique de l'État français. Par métonymie, il est souvent surnommé « Bercy » du fait de son installation en 1988 dans le quartier de Bercy, dans le 12e arrondissement de Paris.
C'était obligatoire et, pour la circonstance, on se lavait bien la veille. Tout le monde allait dans la lessiveuse, les uns après les autres. On ne changeait pas l'eau mais on n'était pas malade. L'école se faisait toute la semaine, sauf le jeudi, et on avait classe le samedi toute la journée.
Au début des années 1960 la fréquentation de l'école ma-ternelle est peu développée, dès le CP un cinquième des élèves sont en retard et au fil des classes le phénomène s'accentue. Avant la fin du CM2, presque la moitié des élèves ont au moins un an de retard.
Outils pédagogiques : - La classe des années trente. - Feuille d'écriture à réaliser par les élèves. Dans les années trente, il n'existait pas de cantine à l'école de Bothoa. Comme dans de nombreuses écoles rurales, les enfants, les plus éloignés, allaient manger dans les auberges du bourg.
(8h30 – 12h00 et 14h00 – 17h00) sauf le jeudi et le dimanche, bien sûr. Sinon c'était tous les jours et même le samedi ! - En 1964 ou 65 nous avions congé le samedi après-midi à 15h30. Quelques années plus tard ...
Entre 1969 et 1972, le ministre Olivier Guichard procède à plusieurs réformes. Les cours du samedi après-midi sont supprimés et la semaine passe de trente à vingt-sept heures (en 1969), puis la journée d'interruption au cours de la semaine est reportée du jeudi au mercredi (en 1972).
Les élèves de maternelle et du primaire n'auront plus cours le samedi matin dès la rentrée 2008. Le ministre de l'Education l'a annoncé à la FCPE et a rendu publique sa décision au journal de 20 heures de TF1.
Les classes duraient de 8 heures à 11 heures, et de 13 heures 30 à 16 heures. Il n'y avait pas de cantine, on amenait avec soi sa gamelle, qu'on pouvait réchauffer sur le poêle. Mais on mangeait surtout du pain et du fromage. C'était un poêle à charbon, rond.
Ils expliquaient que cela faciliterait la confection des horaires, (notamment d'éducation physique, voire même des cours de religion et de morale). Cette pratique, rencontrée surtout dans le premier degré de l'enseignement secondaire, était bien entendu contraire au principe de mixité et fut interdite[27].
L'année de CM1 peut paraitre comme étant l'année la plus difficile pour les élèves du primaire.