Donnez un coup de tête à votre adversaire.
Rapprochez le haut de votre front vers son nez et son visage. Un coup de tête peut facilement mettre votre adversaire KO ou casser les os de son visage. Assurez-vous de rentrer votre menton et de frapper avec le haut de votre tête.
Voici comment vous y prendre. Fléchissez votre coude à un angle de 30 à 45 degrés devant votre visage. Lancez votre poing, votre coude et votre épaule, en étendant votre bras. Envoyez votre poids, à travers votre épaule, dans votre bras, puis dans votre poing lorsque vous frappez, afin de frapper le plus fort possible.
La plupart du temps, la première frappe se concentrera sur les sites de silos à missile, les bombardiers stratégiques, les sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE), les postes de commandement et les entrepôts où se trouvent les armes dites « stratégiques ».
Traiter directement la peur
La seule façon de faire face à la peur est de l'aborder de front. Le déni est une tendance naturelle de la nature humaine. Se forcez à faire face à une situation de peur dans la vie renforcent l'estime et la confiance en soi.
Yeux, gorge, genoux ou encore parties génitales, Franck Ropers vous dévoile les points les plus sensibles du corps humain. Un doigt dans l'œil entraîne une douleur importante, une difficulté de l'adversaire à se concentrer, et obstrue temporairement le champ visuel.
Visez des points faibles comme la mâchoire ou le menton.
Les points sensibles comme le nez, le visage, les reins, le ventre et les tempes sont des cibles de choix à frapper pour immobiliser temporairement votre adversaire.
Les bonnes nouvelles sont qu'il y a beaucoup de façons de s'aider à gérer la peur de se battre. Cela commence par des changements simples dans son mode de vie, comme : la pratique de l'exercice physique régulier qui peut réduire le niveau de stress.
Écartez vos pieds et gardez vos poignets au-dessus des yeux et devant le visage. Si la personne vous donne un coup de poing direct du bras arrière, déplacez vos mains vers vos oreilles et protégez-vous le visage avec vos coudes. Lancez un coup de genoux ou de coude pour lui faire mal.
Si vous êtes hors de portée de ses attaques, privilégiez les coups de pied au genou, à l'aine ou à l'abdomen. Si vous êtes à mi-distance, visez sa tête et son corps. Si vous êtes suffisamment proche, vous pouvez lui donner un coup de boule, un coup de genou ou un coup de coude.
Faites tourner votre poing à 180 degrés vers votre cible. Gardez l'autre main devant votre visage. Ne laissez pas votre visage vulnérable à une attaque. Ramenez votre bras en arrière en position de départ.
Utiliser sa voix tout simplement. Votre voix n'est pas qu'un moyen de communiquer. Lors des phases d'engagement crier permet à la fois de beaucoup mieux vous faire comprendre de vos alliés, mais aussi de surprendre et d'intimider vos adversaires. L'effet psychologique est très très fort !
Lors d'une bagarre, faites tout pour adopter un langage corporel de confiance afin de montrer à votre adversaire que vous ne vous laisserez pas intimider. Pendant que vous vous battez, utilisez uniquement des mouvements défensifs. Cela montrera à votre adversaire qu'il ne pourra pas avoir le dessus sur vous.
L'une des raisons pour lesquelles la peur peut être si puissante, à tel point qu'elle inhibe notre capacité à combattre est qu'elle se cache dans l'obscurité. Inaperçue, dans les recoins de notre esprit, elle agit sans que nous le sachions. Donc, la première étape est de tenter de faire preuve de lucidité.
« Lorsque le cœur s'accélère et que le corps commence à trembler, c'est génial ! » lance Franck Ropers. Le corps envoie alors du sang dans vos muscles afin de préparer votre corps au combat.
La tempe est la zone située sur le côté du visage d'une personne, entre la racine des cheveux et les sourcils, au niveau des yeux. Si la tempe est ciblée avec précision, le coup de poing fera que le cerveau à se balancer violemment contre la paroi du crâne, causant le KO. Serrez votre poing et prolongez-le.
Le bout des doigts de la main arrive largement en tête ! C'est un médecin allemand nommé Ernst Weber qui l'a montré dès 1834, en mesurant la plus petite distance perçue entre deux points de stimulation sur différentes parties du corps à l'aide d'une sorte de compas. A cet endroit, la sensibilité est de seulement 2mm.
Vous pouvez comme exercice travailler ce relâchement et cette flexibilité en vous plaçant en posture de garde face à un mur à une distance d'un bras et main tendu, ensuite il suffit d'aller chercher à toucher le mur, vous pouvez petit a petit augmenter la distance entre vous et le mur pour améliorer votre flexibilité.
La respiration pour contrôler la peur
Il est possible de se préparer à l'aide de la respiration. Au premier signe de stress il faut commencer à respirer et accordez le rythme de sa respiration sur celui du cœur.