Quand on répond à une question comportant le mot « pourquoi », il faut écrire les mots « parce que » à l'intérieur de la phrase de réponse et non au début. Exemple : Pourquoi le chien remue-t-il la queue ? Le chien remue la queue parce qu'il est content.
« Parce que je suis sorti dans les 10 premiers de ma promotion » ; « Parce que postuler pour occuper ce poste dans votre entreprise me motive beaucoup » ; « Parce que mon CV vous a poussé à m'appeler pour un entretien. »
Lorsqu'on vous pose une question difficile, je vous recommande de commencer par paraphraser la question avant de répondre. Cette paraphrase confirme que vous avez bien entendu la question, valide le demandeur, vous donne le temps de réfléchir et vous permet de recadrer la question pour faciliter la réponse.
Au contraire, s'il a répondu à un ordre, félicitez-le avec une récompense (caresse, biscuit…). Et ce même si cette réponse est un petit peu tardive. Dans tous les cas, faites en sorte qu'il ne puisse jamais associer l'obéissance à la correction ou vous n'obtiendrez plus aucun résultat. Surtout, ne vous impatientez pas.
Quand quelqu'un vous provoque verbalement et essaie de vous pousser à bout, choisissez tout naturellement de l'ignorer et de ne pas lui répondre, voire même de quitter la pièce sans mot dire. Cette méthode va embarrasser la personne qui essaie de vous toucher, et celle-ci se retrouvera penaud face à votre silence d'or.
La réponse par une question est un moyen de creuser, de repousser la réponse ou de botter en touche. Exemple de contre question : “Et vous même, qu'en pensez-vous?”, “”Pourquoi me posez-vous cette question ?”, “qu'attendez)-vous de moi en me posant cette question ?”
Je vous prie de m'excuser, mais je crois que nous allons en rester là. Je n'accepte pas que tu me parles sur ce ton, si tu as quelque chose à me dire fais-le de façon polie s'il-te-plaît. Je ne suis pas en état de parler de manière constructive. Parlons-en plus tard.
Autre technique, si quelqu'un est trop curieux, vous pouvez dire quelque chose comme « Ah la curiosité… un défaut difficile à corriger n'est-ce pas ? » ou bien « J'avais oublié combien il était difficile de combattre sa curiosité. ».
Pensez à un défi, à une réalisation ou à tout autre scénario qui correspond à la question, puis parlez de la situation, de la tâche, des actions que vous avez prises et des résultats obtenus. Une phrase ou deux pour chaque exemple suffiront à fournir une réponse brève, professionnelle et pertinente.
C'est pourquoi elle consacre beaucoup de temps à sa famille. C'est pourquoi, s'il le pouvait, il reviendrait sur sa décision.
On distingue deux grandes catégories de questions : les questions fermées et les questions ouvertes.
N'éludez pas la question
Si on vous la pose, c'est qu'on attend de vous une réponse. Vous montrez ainsi que vous êtes capable de faire un travail d'introspection et que vous êtes conscient de vos atouts. Alors, ne répondez pas au recruteur : « c'est à vous de me le dire ! » ou « c'est à vous de répondre ! ».
Conseils. Généralement posée en toute fin d'entretien, la question « Pourquoi vous et pas un autre ? » peut surprendre. L'objectif du recruteur n'est pas de mettre le candidat mal à l'aise, ni de lui demander de se comparer aux autres postulants, mais plutôt d'évaluer son degré de motivation.
En résumé : La question « Pourquoi vous et pas un autre » vous donne l'occasion de briller une dernière fois en entretien d'embauche et de vous différencier des autres candidats. C'est votre chance de persuader le recruteur que vous avez la motivation, l'envie, les compétences, et que vous savez vous vendre.
Si une personne dont vous n'êtes pas trop proche vous pose la question (comme un collègue par exemple), vous pouvez lui répondre vaguement, sans trop vous étaler sur le sujet afin de lui faire comprendre gentiment que le sujet ne sera pas abordé pendant votre pause déjeuner.
Les réponses réflexes comme « rien de spécial et toi ? » ou « comme d'habitude » coupent court à l'échange. Votre interlocuteur vous prend au dépourvu, retournez la question par un « ça me fait plaisir de te retrouver, mais toi d'abord, quoi de neuf ? ».
Le critiqueur. Le critiqueur ne rate aucune occasion de vous juger ouvertement, de vous rabaisser ou de relever vos plus infimes imperfections.
(Argot) Plaisanter, blaguer.
En linguistique moderne (pragmatique), on appelle question rhétorique une question qui attend une réponse dichotomique : soit oui soit non, par opposition aux questions indirectes, qui attendent une réponse construite comme dans « Avez-vous l'heure ? ». L'interlocuteur ne répondra pas oui mais donnera l'heure.
La question rhétorique (interrogation oratoire) est une "fausse question" qui n'attend pas de réponse et qui permet d'affirmer un point de vue et d'éveiller la curiosité. Elle sert à provoquer l'auditeur et a donc un effet immédiat...